Seul défaut, et il est bien mineur, j'avoue avoir eu quelquesdifficultés à trouver la position de conduite idéale malgré lesnombreux réglages électriques du siège. Et une fois trouvée, coupéoblige, la visibilité n'avait rien d'exceptionnel, ni vers l'arrière,ni dans les rétroviseurs latéraux. Un sacrifice qu'il faut consentir austyle sans aucun doute.
Des moteurs remodelés
La Passat CC (qui ne partage avec la Passat que le nom d'ailleurs puisque cette dernière quittera l'Amérique en 2011, alors que la CC est là pour rester) n'a que de peu de versions au catalogue. Un modèle de base, appelé Sportline, équipé de roues de 17 pouces et de quelques accessoires mais, surtout, du moteur de 2 litres TSI remodelé de 200 chevaux, offert avec la boîte de vitesses automatique ou manuelle à 6 rapports.
Puis, une version haut de gamme, la Highline, munie cette fois de roues uniques de 18 pouces, d'une longue liste d'accessoires, offerte uniquement en version 4MOTION et avec un moteur V6 de 3,6 litres de 280 chevaux dont les performances sont étonnantes de douceur. Il n'est jumelé qu'à une boîte automatique à 6 rapports.
Entre les deux, une version Highline, qui a été notre principal modèle d'essai, munie du même moteur de 2 litres et de la même boîte automatique, mais avec une liste d'accessoires de série plus longue, dont une chaîne audio haut de gamme et des roues exclusives.
Mais l'une et l'autre ont conservé le plaisir de conduire propre à Volkswagen. La direction est vive et précise, le freinage, agressif et progressif à souhait, et les accélérations, sans être essoufflantes, sont bien suffisantes en raison, notamment, de la présence de couple maximal sur une large fourchette, allant de 1500 à 5000 tours par minute.
Road Trip
Rarement lors des lancements de presse a-t-on l'occasion de mettre autant à l'épreuve la voiture testée. Cette fois, pas de demi-mesure, Volkswagen a amené un petit groupe de journalistes canadiens conduire la Passat CC de Nashville, Tennessee, à Atlanta, Georgie, en passant par la célèbre Chattanooga, ville célèbre pour ses trains... et pour être le site de la future usine de Volkswagen en Amérique. Comme quoi le hasard fait bien les choses.
Ce véritable « road trip », long de plusieurs centaines de kilomètres, a permis d'apprécier la Passat CC dans son habitat naturel. Sur les petites routes de campagne et sinueuses du Tennessee, elle abordait les virages avec précision, enfilant les lacets l'un après l'autre sans jamais rechigner.
Les courts rapports de la boîte Tiptronic permettaient aussi d'en contrôler le rythme, sans jamais avoir à souffrir de retard. En revanche, avouons-le, quelques montées plus abruptes ont permis d'atteindre la limite de notre moteur.
La Passat CC s'est montrée docile, même si elle était parfois un peu lourde du train avant en virages serrés. Mais en ville, où sa silhouette attirait de nombreux regards, la Passat a vraiment l'allure d'une intermédiaire de luxe, offrant confort et beaucoup de climatisation sous le chaud soleil du Tennessee.
Et n'eût été de mon collègue caméraman, Jérôme, pour qui les cartes constituent encore un secret bien gardé, ce qui nous a forcés à parcourir quelques kilomètres supplémentaires, la randonnée aurait été parfaite. Mais, qui se plaindra d'avoir dû rouler plus longtemps au volant de la Passat CC?
photo:Marc Bouchard, Volkswagen
Des moteurs remodelés
La Passat CC (qui ne partage avec la Passat que le nom d'ailleurs puisque cette dernière quittera l'Amérique en 2011, alors que la CC est là pour rester) n'a que de peu de versions au catalogue. Un modèle de base, appelé Sportline, équipé de roues de 17 pouces et de quelques accessoires mais, surtout, du moteur de 2 litres TSI remodelé de 200 chevaux, offert avec la boîte de vitesses automatique ou manuelle à 6 rapports.
Puis, une version haut de gamme, la Highline, munie cette fois de roues uniques de 18 pouces, d'une longue liste d'accessoires, offerte uniquement en version 4MOTION et avec un moteur V6 de 3,6 litres de 280 chevaux dont les performances sont étonnantes de douceur. Il n'est jumelé qu'à une boîte automatique à 6 rapports.
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| Le modèle de base est muni d'un 2 litres TSI remodelé à 200 chevaux. |
Entre les deux, une version Highline, qui a été notre principal modèle d'essai, munie du même moteur de 2 litres et de la même boîte automatique, mais avec une liste d'accessoires de série plus longue, dont une chaîne audio haut de gamme et des roues exclusives.
Mais l'une et l'autre ont conservé le plaisir de conduire propre à Volkswagen. La direction est vive et précise, le freinage, agressif et progressif à souhait, et les accélérations, sans être essoufflantes, sont bien suffisantes en raison, notamment, de la présence de couple maximal sur une large fourchette, allant de 1500 à 5000 tours par minute.
Road Trip
Rarement lors des lancements de presse a-t-on l'occasion de mettre autant à l'épreuve la voiture testée. Cette fois, pas de demi-mesure, Volkswagen a amené un petit groupe de journalistes canadiens conduire la Passat CC de Nashville, Tennessee, à Atlanta, Georgie, en passant par la célèbre Chattanooga, ville célèbre pour ses trains... et pour être le site de la future usine de Volkswagen en Amérique. Comme quoi le hasard fait bien les choses.
Ce véritable « road trip », long de plusieurs centaines de kilomètres, a permis d'apprécier la Passat CC dans son habitat naturel. Sur les petites routes de campagne et sinueuses du Tennessee, elle abordait les virages avec précision, enfilant les lacets l'un après l'autre sans jamais rechigner.
Les courts rapports de la boîte Tiptronic permettaient aussi d'en contrôler le rythme, sans jamais avoir à souffrir de retard. En revanche, avouons-le, quelques montées plus abruptes ont permis d'atteindre la limite de notre moteur.
La Passat CC s'est montrée docile, même si elle était parfois un peu lourde du train avant en virages serrés. Mais en ville, où sa silhouette attirait de nombreux regards, la Passat a vraiment l'allure d'une intermédiaire de luxe, offrant confort et beaucoup de climatisation sous le chaud soleil du Tennessee.
Et n'eût été de mon collègue caméraman, Jérôme, pour qui les cartes constituent encore un secret bien gardé, ce qui nous a forcés à parcourir quelques kilomètres supplémentaires, la randonnée aurait été parfaite. Mais, qui se plaindra d'avoir dû rouler plus longtemps au volant de la Passat CC?
photo:Marc Bouchard, Volkswagen
Volkswagen Passat CC Highline 2009
Volkswagen Passat CC Highline 2009
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