Mais, soyons honnêtes, la New Beetle n'a jamais visé les familles. Ce petit bolide distinctif attire surtout les femmes (dans une forte proportion).
Motorisation
Sous le capot, pas de grande nouveauté. Le même moteur 5 cylindres en ligne de 150 chevaux, pas du tout poussif, malgré le poids largement suffisant de la voiture.
Jumelé à la boîte automatique 6 rapports, il permet des reprises agréables, des démarrages suffisants pour une voiture aux prétentions urbaines et esthétiques davantage que foncièrement sportives.
Côté freinage, j'avoue avoir été un peu étonné de la sensibilité de la pédale. Dès mes premiers mètres de conduite, un geste un peu trop hâtif sur le frein a contribué à me faire voir de très près (merci à ma ceinture bien bouclée) tous les détails du tableau de bord. Il ne m'aura cependant fallu que quelques secondes d'attention pour bien maîtriser ce freinage un peu mal dosé.
En revanche, il faut l’admettre, la voie plutôt large de la New Beetle, et son centre de gravité savamment étudié favorisent une étonnante tenue de route, et un comportement plus que rassurant.
Évidemment, l’absence de toit rend le châssis un peu moins rigide, augmente considérablement les bruits dans l’habitacle et limite un peu les prétentions plus agressives de conduite. Mais combien de charme cela lui donne…
Conclusion
Pas sportive, ni raffinée, la New Beetle décapotable vieillit. Elle conserve son charme légèrement nostalgique, en raison essentiellement de sa silhouette unique, et des souvenirs d’enfance qu’elle nous ramène. Mais une petite cure de rafraîchissement pourrait peut-être améliorer cela, à tout le moins la mécanique. Ce qui, avouons-le, ne relève plus du luxe.
Mais même les plus machos d'entre nous trouveront plaisir à conduire cette petite voiture au tempérament plus agréable qu’il n’y paraît.
photo:Matthieu Lambert
Motorisation
Sous le capot, pas de grande nouveauté. Le même moteur 5 cylindres en ligne de 150 chevaux, pas du tout poussif, malgré le poids largement suffisant de la voiture.
Jumelé à la boîte automatique 6 rapports, il permet des reprises agréables, des démarrages suffisants pour une voiture aux prétentions urbaines et esthétiques davantage que foncièrement sportives.
Côté freinage, j'avoue avoir été un peu étonné de la sensibilité de la pédale. Dès mes premiers mètres de conduite, un geste un peu trop hâtif sur le frein a contribué à me faire voir de très près (merci à ma ceinture bien bouclée) tous les détails du tableau de bord. Il ne m'aura cependant fallu que quelques secondes d'attention pour bien maîtriser ce freinage un peu mal dosé.
Sous le capot, pas de grande nouveauté. Le même moteur 5 cylindres en ligne de 150 chevaux. |
En revanche, il faut l’admettre, la voie plutôt large de la New Beetle, et son centre de gravité savamment étudié favorisent une étonnante tenue de route, et un comportement plus que rassurant.
Évidemment, l’absence de toit rend le châssis un peu moins rigide, augmente considérablement les bruits dans l’habitacle et limite un peu les prétentions plus agressives de conduite. Mais combien de charme cela lui donne…
Conclusion
Pas sportive, ni raffinée, la New Beetle décapotable vieillit. Elle conserve son charme légèrement nostalgique, en raison essentiellement de sa silhouette unique, et des souvenirs d’enfance qu’elle nous ramène. Mais une petite cure de rafraîchissement pourrait peut-être améliorer cela, à tout le moins la mécanique. Ce qui, avouons-le, ne relève plus du luxe.
Mais même les plus machos d'entre nous trouveront plaisir à conduire cette petite voiture au tempérament plus agréable qu’il n’y paraît.
photo:Matthieu Lambert
Volkswagen New Beetle Édition Silver-Red 2009
Volkswagen New Beetle Édition Silver-Red 2009