La sellerie en cuir, le volant inclinable et télescopique ainsi que le changeur de six CD intégré au tableau de bord sont également inclus de série. Bref, on pourrait presque parler d'un VUS grand format à prix d'aubaine.
Par ailleurs, le confort est remarquable sur l'autoroute. Le Sequoia semble flotter, quelle que soit la surface, principalement grâce à sa nouvelle suspension arrière indépendante qui atténue les coups avec brio. Cela dit, il n'en est pas moins robuste pour autant. À preuve: le Sequoia 2008 peut remorquer des charges allant jusqu'à 9095 livres... comme une maison! Sérieusement, il en offre beaucoup pour notre argent.
Pourquoi aussi gros?
Le problème, encore une fois, c'est le gabarit. Pourquoi l'avoir fait aussi gros? Par exemple, quand on regarde vers l'avant, le capot semble s'élever plus haut que la base du pare-brise. Et puisque le capot est surélevé, le moteur devient donc beaucoup plus difficile d'accès.
Au début, je pensais que la configuration du moteur de 4,7 litres créait cette illusion, mais ce n'est pas le cas. D'ailleurs, le V8 de 5,7 litres est monté encore plus bas!
Et que dire des énormes passages de roues? Ils semblent exister pour aucune autre raison que le fait d'avoir l'air énorme!
Selon moi, Toyota a voulu imiter les Américains, pour qui la grosseur est synonyme de splendeur... même si le réchauffement climatique et la hausse du prix de l'essence ont fait de ces véhicules de grands mal-aimés de la société.
Parlant de l'essence, le Sequoia n'a pas brillé par sa consommation lors de mon essai routier. Alors que Toyota parle de 16,1 litres aux 100 kilomètres en ville et de 12,3 litres aux 100 kilomètres sur l'autoroute, je n'ai jamais été capable de m'approcher de ces chiffres. J'ai même l'impression que le V8 de 5,7 litres de la Tundra, que j'essaie présentement, est plus économique. C'est à n'y rien comprendre...
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| La sellerie en cuir, le volant inclinable ainsi que le changeur de six CD sont également inclus de série. |
Par ailleurs, le confort est remarquable sur l'autoroute. Le Sequoia semble flotter, quelle que soit la surface, principalement grâce à sa nouvelle suspension arrière indépendante qui atténue les coups avec brio. Cela dit, il n'en est pas moins robuste pour autant. À preuve: le Sequoia 2008 peut remorquer des charges allant jusqu'à 9095 livres... comme une maison! Sérieusement, il en offre beaucoup pour notre argent.
Pourquoi aussi gros?
Le problème, encore une fois, c'est le gabarit. Pourquoi l'avoir fait aussi gros? Par exemple, quand on regarde vers l'avant, le capot semble s'élever plus haut que la base du pare-brise. Et puisque le capot est surélevé, le moteur devient donc beaucoup plus difficile d'accès.
Au début, je pensais que la configuration du moteur de 4,7 litres créait cette illusion, mais ce n'est pas le cas. D'ailleurs, le V8 de 5,7 litres est monté encore plus bas!
Et que dire des énormes passages de roues? Ils semblent exister pour aucune autre raison que le fait d'avoir l'air énorme!
Selon moi, Toyota a voulu imiter les Américains, pour qui la grosseur est synonyme de splendeur... même si le réchauffement climatique et la hausse du prix de l'essence ont fait de ces véhicules de grands mal-aimés de la société.
Parlant de l'essence, le Sequoia n'a pas brillé par sa consommation lors de mon essai routier. Alors que Toyota parle de 16,1 litres aux 100 kilomètres en ville et de 12,3 litres aux 100 kilomètres sur l'autoroute, je n'ai jamais été capable de m'approcher de ces chiffres. J'ai même l'impression que le V8 de 5,7 litres de la Tundra, que j'essaie présentement, est plus économique. C'est à n'y rien comprendre...
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| Mon testeur était équipé du 4.7L V8, plutôt que le 5.7L V8. |