MÉCANIQUE
Le meilleur du 4Runner : son V6 de 3,4 litres, très souple et vaillant. Il développe 183 chevaux et produit un couple de 217 livres-pied. Il est couplé à une transmission automatique à quatre rapports et doté d'un boîtier de transfert pour passer du mode deux roues au mode quatre roues motrices, puis à la prise basse (low) des quatre roues motrices. Ce passage se fait au moyen du levier du boîtier de transfert et d'un bouton-poussoir, le système s'autobloquant automatiquement. Mais il faudra consulter le manuel pour bien saisir le fonctionnement. La boîte manuelle à cinq rapports ne figure plus à la gamme depuis l'an dernier; pourtant c'était là l'une des raisons de l'appellation de la version SR-5. Le freinage est assuré par une combinaison disques/tambours avec système ABS. Toyota a inclus de série le système de contrôle du dérapage. Des roues et des pneus de 15 pouces équipent les versions Badlands et SR-5, alors que la version Limited jouit de pneus de 16 pouces avec des roues en alliage.
COMPORTEMENT
La force de ce gros tout-terrain est sa capacité de travailler efficacement et sûrement hors-route. Le 4Runner possède une bonne garde au sol et une bonne protection. C'est sur route bosselée que son comportement se gâte. Avec ses roues de 16 pouces, le 4Runner Limited rebondit constamment sur la route. Cela affecte le confort. Dès qu'on monte une côte, la transmission rétrograde trop rapidement, ce qui nous force à enlever la surmultiplication dans ces situations. La direction, bien que précise, transmet très peu de sensations de la route. En raison de sa taille, le 4Runner tangue facilement et demande une bonne attention dans les courbes, notamment sur les routes de gravier. Son système de contrôle du dérapage et de la traction entre en jeu rapidement pour aider à corriger la tenue de route au besoin. La capacité de freinage du 4Runner est très bonne pour un véhicule de ce gabarit : distances courtes et trajectoire droite.
Le meilleur du 4Runner : son V6 de 3,4 litres, très souple et vaillant. Il développe 183 chevaux et produit un couple de 217 livres-pied. Il est couplé à une transmission automatique à quatre rapports et doté d'un boîtier de transfert pour passer du mode deux roues au mode quatre roues motrices, puis à la prise basse (low) des quatre roues motrices. Ce passage se fait au moyen du levier du boîtier de transfert et d'un bouton-poussoir, le système s'autobloquant automatiquement. Mais il faudra consulter le manuel pour bien saisir le fonctionnement. La boîte manuelle à cinq rapports ne figure plus à la gamme depuis l'an dernier; pourtant c'était là l'une des raisons de l'appellation de la version SR-5. Le freinage est assuré par une combinaison disques/tambours avec système ABS. Toyota a inclus de série le système de contrôle du dérapage. Des roues et des pneus de 15 pouces équipent les versions Badlands et SR-5, alors que la version Limited jouit de pneus de 16 pouces avec des roues en alliage.
COMPORTEMENT
La force de ce gros tout-terrain est sa capacité de travailler efficacement et sûrement hors-route. Le 4Runner possède une bonne garde au sol et une bonne protection. C'est sur route bosselée que son comportement se gâte. Avec ses roues de 16 pouces, le 4Runner Limited rebondit constamment sur la route. Cela affecte le confort. Dès qu'on monte une côte, la transmission rétrograde trop rapidement, ce qui nous force à enlever la surmultiplication dans ces situations. La direction, bien que précise, transmet très peu de sensations de la route. En raison de sa taille, le 4Runner tangue facilement et demande une bonne attention dans les courbes, notamment sur les routes de gravier. Son système de contrôle du dérapage et de la traction entre en jeu rapidement pour aider à corriger la tenue de route au besoin. La capacité de freinage du 4Runner est très bonne pour un véhicule de ce gabarit : distances courtes et trajectoire droite.