Attention aux apparences!
Mettons tout de suite les choses au clair : la Roadster (et surtout sa version S) n’est pas un jouet. Je le répète : pas un jouet. Il s’agit d’un bolide sport de haute performance dont le bilan d’émissions de CO2 demeure absolument NUL. Nul comme dans zéro!
Cette voiture possède des caractéristiques bien particulières, notamment des sièges à dossier fixe inspirés de la course automobile et un petit volant sport MOMO à trois bras gainé de cuir. Autrement dit, quand on va au-delà des courbes sensuelles de la carrosserie en fibre de carbone, on se retrouve dans un véritable cockpit axé sur le conducteur et ses aspirations sportives. L’accès à l’intérieur demande certes un peu d’effort, mais si vous y arrivez, une immense récompense vous attend. Pour les autres, tant pis!
Une fois bien campé, on a droit à un superbe tableau de bord réunissant des commandes et des cadrans à la fois fonctionnels, luxueux et d’allure sportive. À la jonction du tableau et de la console, une interface à écran tactile nous permet d’ajuster les réglages et de visualiser l’information sur la voiture.
Ne vous laissez pas tromper par l’extérieur visiblement radical de la Tesla. Cette dernière offre de série des sièges en cuir chauffants, un climatiseur, des vitres et serrures électriques ainsi qu’un régulateur de vitesse. En option, on peut ajouter une sellerie en cuir de qualité supérieure et une puissante chaîne audio avec système de navigation.
La puissance intérieure
Voici la partie que vous attendiez tous, j’en suis sûr. La Tesla Roadster ne fait pas mentir ses fidèles. Elle anéantit à peu près toutes les autres voitures sport dans une ligne droite, préférablement sur le quart de mille. Son secret (de polichinelle, en fait) réside dans son incroyable ratio puissance/poids. Mais il y a plus, car on ne parle pas d’une puissance ordinaire, après tout.
Le groupe motopropulseur se compose d’un moteur électrique à induction de 375 volts, refroidi à l’air, qui génère l’équivalent de 288 chevaux (215 kW) et 273 livres-pied de couple (370 Newtons-mètre). Ça, c’est pour le modèle de base. La S libère quant à elle sa puissance maximale 600 tours/minute plus tôt et son couple augmente à 295 livres-pied (400 Newtons-mètre). Qu’est-ce que des tours/minute ont à voir avec un moteur électrique, vous dites? Eh oui, tout comme un moteur à combustion, le moteur électrique tourne, ce qui entraîne le ou les essieux (arrière, dans ce cas-ci) et les roues. Dans les faits, le cœur bionique de la Tesla peut grimper jusqu’à 14 000 tours/minute, à l’instar d’un moteur de F1.
Mettons tout de suite les choses au clair : la Roadster (et surtout sa version S) n’est pas un jouet. Je le répète : pas un jouet. Il s’agit d’un bolide sport de haute performance dont le bilan d’émissions de CO2 demeure absolument NUL. Nul comme dans zéro!
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| On se retrouve dans un véritable cockpit axé sur le conducteur et ses aspirations sportives. (photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com) |
Cette voiture possède des caractéristiques bien particulières, notamment des sièges à dossier fixe inspirés de la course automobile et un petit volant sport MOMO à trois bras gainé de cuir. Autrement dit, quand on va au-delà des courbes sensuelles de la carrosserie en fibre de carbone, on se retrouve dans un véritable cockpit axé sur le conducteur et ses aspirations sportives. L’accès à l’intérieur demande certes un peu d’effort, mais si vous y arrivez, une immense récompense vous attend. Pour les autres, tant pis!
Une fois bien campé, on a droit à un superbe tableau de bord réunissant des commandes et des cadrans à la fois fonctionnels, luxueux et d’allure sportive. À la jonction du tableau et de la console, une interface à écran tactile nous permet d’ajuster les réglages et de visualiser l’information sur la voiture.
Ne vous laissez pas tromper par l’extérieur visiblement radical de la Tesla. Cette dernière offre de série des sièges en cuir chauffants, un climatiseur, des vitres et serrures électriques ainsi qu’un régulateur de vitesse. En option, on peut ajouter une sellerie en cuir de qualité supérieure et une puissante chaîne audio avec système de navigation.
La puissance intérieure
Voici la partie que vous attendiez tous, j’en suis sûr. La Tesla Roadster ne fait pas mentir ses fidèles. Elle anéantit à peu près toutes les autres voitures sport dans une ligne droite, préférablement sur le quart de mille. Son secret (de polichinelle, en fait) réside dans son incroyable ratio puissance/poids. Mais il y a plus, car on ne parle pas d’une puissance ordinaire, après tout.
Le groupe motopropulseur se compose d’un moteur électrique à induction de 375 volts, refroidi à l’air, qui génère l’équivalent de 288 chevaux (215 kW) et 273 livres-pied de couple (370 Newtons-mètre). Ça, c’est pour le modèle de base. La S libère quant à elle sa puissance maximale 600 tours/minute plus tôt et son couple augmente à 295 livres-pied (400 Newtons-mètre). Qu’est-ce que des tours/minute ont à voir avec un moteur électrique, vous dites? Eh oui, tout comme un moteur à combustion, le moteur électrique tourne, ce qui entraîne le ou les essieux (arrière, dans ce cas-ci) et les roues. Dans les faits, le cœur bionique de la Tesla peut grimper jusqu’à 14 000 tours/minute, à l’instar d’un moteur de F1.
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| Le groupe motopropulseur se compose d’un moteur électrique à induction de 375 volts. (photo: Tesla) |