Pour compenser les accommodations limitées à l’arrière, on profite d’une carrosserie svelte qui confère à la Kizashi le titre de berline intermédiaire la plus sexy. On note un style imitant les VW et les Audi dans la partie avant, alors que la partie arrière dispose d’un couvercle de coffre en forme de queue de canard ainsi qu’un double échappement avec garnitures chromées. Cette voiture n’a pas besoin d’ailerons ou de bouches d’air sur le capot pour lui donner une silhouette dynamique.
Chaque Kizashi se garnit d’un 4-cylindres de 2,4 litres à 16 soupapes. Il produit 180 chevaux et un couple de 170 livres-pied dans la version S, géré par une boîte de vitesses à variation continue (ou CVT). Le 0-100 km/h s’effectue en 10,5 secondes: rien à coupler le souffle, quoi qu’on a l’impression que la voiture est plus rapide qu’en réalité.
Certaines personnes pourraient évidemment lamenter l’absence d’un moteur V6, proposé en option dans la plupart de ses rivales. Toutefois, très peu de gens optent pour le gros moteur, alors ça ne pose pas problème. Notre moyenne de consommation durant cette semaine d’essai enneigée se chiffre à 10,6 L/100 km.
La Kizashi dégage une impression de solidité, récompensant son conducteur avec une conduite silencieuse et une suspension d’une fermeté à l’européenne. Peu de berlines intermédiaires courantes offrent un caractère sportif comme cette Suzuki: en fait, la seule qui s’en rapproche est la Mazda6.
Le prix de base pour la Kizashi S est de 25 995 $ avant taxes, transport et préparation. Les rivales équipées de façon similaire incluent les Mazda6 GS-I4 avec ensemble confort (25 195 $), Fusion SE avec ensemble sport (25 399 $), Altima 2.5 S avec ensemble de luxe (28 398 $), Sonata GLS (26 249 $) et Avenger SXT (24 690 $).
Si vous préférez changer les rapports vous-même, la version Sport est pour vous. Vous désirez les avantages d’une transmission intégrale, la version SX vous conviendra. Si vous voulez ces deux caractéristiques ensemble, eh bien tant pis, Suzuki ne le suggère pas. Je crois que la version S s’avère parfaite pour la plupart des acheteurs de berlines intermédiaires.
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| La Kizashi S est équipée d’un 4-cylindres de 2,4 litres produisant 180 chevaux. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Chaque Kizashi se garnit d’un 4-cylindres de 2,4 litres à 16 soupapes. Il produit 180 chevaux et un couple de 170 livres-pied dans la version S, géré par une boîte de vitesses à variation continue (ou CVT). Le 0-100 km/h s’effectue en 10,5 secondes: rien à coupler le souffle, quoi qu’on a l’impression que la voiture est plus rapide qu’en réalité.
Certaines personnes pourraient évidemment lamenter l’absence d’un moteur V6, proposé en option dans la plupart de ses rivales. Toutefois, très peu de gens optent pour le gros moteur, alors ça ne pose pas problème. Notre moyenne de consommation durant cette semaine d’essai enneigée se chiffre à 10,6 L/100 km.
La Kizashi dégage une impression de solidité, récompensant son conducteur avec une conduite silencieuse et une suspension d’une fermeté à l’européenne. Peu de berlines intermédiaires courantes offrent un caractère sportif comme cette Suzuki: en fait, la seule qui s’en rapproche est la Mazda6.
Le prix de base pour la Kizashi S est de 25 995 $ avant taxes, transport et préparation. Les rivales équipées de façon similaire incluent les Mazda6 GS-I4 avec ensemble confort (25 195 $), Fusion SE avec ensemble sport (25 399 $), Altima 2.5 S avec ensemble de luxe (28 398 $), Sonata GLS (26 249 $) et Avenger SXT (24 690 $).
Si vous préférez changer les rapports vous-même, la version Sport est pour vous. Vous désirez les avantages d’une transmission intégrale, la version SX vous conviendra. Si vous voulez ces deux caractéristiques ensemble, eh bien tant pis, Suzuki ne le suggère pas. Je crois que la version S s’avère parfaite pour la plupart des acheteurs de berlines intermédiaires.
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| Le tarif d’une Kizashi S est de 25 995 $. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |