Ce qui est bien, c’est qu’elle propose beaucoup de garniture, et son prix correspond à celui d’autres véhicules dans le segment dotés de commodités semblables.
Voici ce qu’on obtient : un siège du conducteur électrique à 10 réglages, un volant inclinable et télescopique avec commandes audio, un climatiseur automatique, une interface USB/iPod, une chaîne audio supérieure Rockford Fosgate et un éventail complet de coussins gonflables. Aucun système de navigation ne figure au catalogue, pas même en option.
C’est la seule voiture du segment, outre la Subaru Legacy, qui propose une transmission intégrale de série pour moins de 30 000 $. Tout un argument de vente.
L’intérieur, tout de noir vêtu, représente le seul choix offert. Le tableau de bord mélange les plastiques durs et les matériaux doux. Les commandes et les boutons sont bien répartis sur la console centrale, qui profite d’un fini noir brillant et d’appliques chromées.
La Kizashi est un des plus petits modèles dans ce segment intermédiaire. Si vous magasinez un peu, vous constaterez rapidement la différence, vu l’empattement plus court. Assise dans le siège du conducteur, je n’ai pas décelé de grosses divergences… mais les passagers arrière, eux, en remarqueront une! En effet, Toyota, Honda et Nissan sont toutes supérieures à ce chapitre.
La banquette arrière asymétrique se rabat, révélant un coffre de taille adéquate. La concurrence fait mieux à cet égard aussi.
La place du conducteur prévaut dans une voiture, et je suis partagée quant au succès de la Kizashi ici.
Comme pour le style, la suspension adopte une saveur européenne : expérience de qualité et tenue de route sensible se pointent au rendez-vous. Le conducteur reçoit une bonne rétroaction, et les virages se prennent gentiment. Une excellente voiture pour la ville.
Voici ce qu’on obtient : un siège du conducteur électrique à 10 réglages, un volant inclinable et télescopique avec commandes audio, un climatiseur automatique, une interface USB/iPod, une chaîne audio supérieure Rockford Fosgate et un éventail complet de coussins gonflables. Aucun système de navigation ne figure au catalogue, pas même en option.
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| Les commandes et les boutons sont bien répartis sur la console centrale, qui profite d’un fini noir brillant et d’appliques chromées. (Photo: Lacey Elliott/Auto123.com) |
C’est la seule voiture du segment, outre la Subaru Legacy, qui propose une transmission intégrale de série pour moins de 30 000 $. Tout un argument de vente.
L’intérieur, tout de noir vêtu, représente le seul choix offert. Le tableau de bord mélange les plastiques durs et les matériaux doux. Les commandes et les boutons sont bien répartis sur la console centrale, qui profite d’un fini noir brillant et d’appliques chromées.
La Kizashi est un des plus petits modèles dans ce segment intermédiaire. Si vous magasinez un peu, vous constaterez rapidement la différence, vu l’empattement plus court. Assise dans le siège du conducteur, je n’ai pas décelé de grosses divergences… mais les passagers arrière, eux, en remarqueront une! En effet, Toyota, Honda et Nissan sont toutes supérieures à ce chapitre.
La banquette arrière asymétrique se rabat, révélant un coffre de taille adéquate. La concurrence fait mieux à cet égard aussi.
La place du conducteur prévaut dans une voiture, et je suis partagée quant au succès de la Kizashi ici.
Comme pour le style, la suspension adopte une saveur européenne : expérience de qualité et tenue de route sensible se pointent au rendez-vous. Le conducteur reçoit une bonne rétroaction, et les virages se prennent gentiment. Une excellente voiture pour la ville.
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| La banquette arrière asymétrique se rabat, révélant un coffre de taille adéquate. (Photo: Suzuki) |