Bonne boîte, aussi. Comme pour la Legacy 3.6R, le mode manuel de la boîte automatique du Tribeca est obéissant, fluide et très rapide en amont comme en aval. Contrairement à pratiquement tous les autres utilitaires du genre, le mode sport de la Tribeca vaut le coup.
Toutes les quatre, tout le temps
Enfin, la transmission intégrale entraîne continuellement les quatre roues plutôt que d’activer et de désactiver les roues arrière au besoin en cas de patinage. Elle fonctionne à merveille dans pratiquement tous les scénarios, autorisant au conducteur de profiter d’adhérence sans tracas au lieu d’être aux prises avec le patinage, l’effet de couple et les tortillements typiques de systèmes moins accomplis.
Au bout du compte, la transmission du Tribeca permet au conducteur et à ses passagers de savourer leurs déplacements même lors de tempêtes de neige, l’emportant sur les éléments avec confiance et agilité.
De la place pour 7
Jusqu’à sept personnes peuvent monter à bord, et mon modèle d’essai profitait de commodités comme l’interface Bluetooth, une chaîne audio supérieure, un climatiseur automatique, des sièges en cuir et un lecteur DVD arrière pour le plus grand plaisir des enfants.
Grâce à un diamètre de braquage étonnamment serré (peut-être le plus petit de tout modèle de taille comparable que votre chroniqueur n’a jamais essayé), le Tribeca se stationne et s’extirpe d’endroits restreints en un tour de main.
Le choix des matériaux tombe à peu près dans la moyenne pour le marché du Tribeca, étant composé surtout de plastiques durs, de très peu de surfaces souples et d’un volant gainé de cuir pour faire bonne mesure. Le tableau de bord et les portières sont pour la plupart bien montés… mais très peu plaisants au toucher.
Bonne visibilité, convivial
L’habitacle accroche l’œil, toutefois. Une console coulante, contemporaine et sophistiquée loge de ravissantes commandes audio et s’est attiré bien des éloges de passagers. Encore mieux, les concepteurs ont intégré une tablette avant ininterrompue et concentré l’action visuelle sur la partie inférieure du tableau de bord, offrant au conducteur une vue nette et dégagée.
La visibilité arrière et le rangement à portée de la main sont adéquats, tandis que les feux et le climatiseur entièrement automatiques nous facilitent la vie. Bref, l’habitacle du Tribeca est légèrement plus intéressant que la moyenne, tant du côté visuel que de celui de la manipulation. Aucun problème d’accès à l’avant, mais à moins de mesurer moins de trois pieds, les passagers de la troisième rangée ne seront pas aussi choyés.
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| Le mode manuel de la boîte automatique du Tribeca est obéissant, fluide et très rapide en amont comme en aval. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |
Toutes les quatre, tout le temps
Enfin, la transmission intégrale entraîne continuellement les quatre roues plutôt que d’activer et de désactiver les roues arrière au besoin en cas de patinage. Elle fonctionne à merveille dans pratiquement tous les scénarios, autorisant au conducteur de profiter d’adhérence sans tracas au lieu d’être aux prises avec le patinage, l’effet de couple et les tortillements typiques de systèmes moins accomplis.
Au bout du compte, la transmission du Tribeca permet au conducteur et à ses passagers de savourer leurs déplacements même lors de tempêtes de neige, l’emportant sur les éléments avec confiance et agilité.
De la place pour 7
Jusqu’à sept personnes peuvent monter à bord, et mon modèle d’essai profitait de commodités comme l’interface Bluetooth, une chaîne audio supérieure, un climatiseur automatique, des sièges en cuir et un lecteur DVD arrière pour le plus grand plaisir des enfants.
Grâce à un diamètre de braquage étonnamment serré (peut-être le plus petit de tout modèle de taille comparable que votre chroniqueur n’a jamais essayé), le Tribeca se stationne et s’extirpe d’endroits restreints en un tour de main.
Le choix des matériaux tombe à peu près dans la moyenne pour le marché du Tribeca, étant composé surtout de plastiques durs, de très peu de surfaces souples et d’un volant gainé de cuir pour faire bonne mesure. Le tableau de bord et les portières sont pour la plupart bien montés… mais très peu plaisants au toucher.
Bonne visibilité, convivial
L’habitacle accroche l’œil, toutefois. Une console coulante, contemporaine et sophistiquée loge de ravissantes commandes audio et s’est attiré bien des éloges de passagers. Encore mieux, les concepteurs ont intégré une tablette avant ininterrompue et concentré l’action visuelle sur la partie inférieure du tableau de bord, offrant au conducteur une vue nette et dégagée.
La visibilité arrière et le rangement à portée de la main sont adéquats, tandis que les feux et le climatiseur entièrement automatiques nous facilitent la vie. Bref, l’habitacle du Tribeca est légèrement plus intéressant que la moyenne, tant du côté visuel que de celui de la manipulation. Aucun problème d’accès à l’avant, mais à moins de mesurer moins de trois pieds, les passagers de la troisième rangée ne seront pas aussi choyés.
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| Une console coulante, contemporaine et sophistiquée loge de ravissantes commandes audio et s’est attiré bien des éloges de passagers. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |