Une boîte qui dit bonjour
Le passage des rapports de la boîte de vitesses automatique, pour ceux qui ont connu la première génération, est légendaire pour provoquer des salutations ou des bonjours de la part des passagers. La nouvelle boîte automatique a rendu ses changements de rapports plus souples, mais si l'on tente de garder le pied au « fond », on ressentira ces contrecoups à nouveau. Il est possible de les réduire à presque rien : il s'agit de lever légèrement le pied de l'accélérateur au moment où ces passages se font. En mode manuel, avec le compte-tours, il est facile de repérer les moments propices pour passer les vitesses. On contrôle rapidement ce phénomène. On peut passer les rapports à l'aide du levier au plancher ou des leviers de sélection montés au volant (versions Passion). Les ingénieurs ont apporté un changement précieux à ce passage : en cliquant deux fois sur le levier ou en poussant rapidement le levier deux fois vers l'avant, on saute un rapport. Par exemple, après avoir démarré sur le premier rapport, on peut donc passer sur le troisième directement, ce qui se révèle utile en ville dans la circulation rapide. On peut également rétrograder de 5 à 3 si la circulation ralentit rapidement. Ainsi, avec tous ces trucs, on apprend à tirer le meilleur du groupe motopropulseur. Sinon, on laisse le levier sur le D et on joue de l'accélérateur.
Ville et autoroute
La nouvelle smart se comporte aussi bien sur l'autoroute que dans les rues de la ville. Mon collègue d'essai, Louis, maintenait aisément les 130 et 140 km/h sur les autoroutes américaines et suivait, comme on le dit souvent, la circulation. Avec les commandes de la boîte au volant, on peut anticiper les changements de rapports et, dans les côtes, rétrograder rapidement pour ne pas perdre le rythme. En ville, la smart démarre rapidement aux feux et, grâce à sa petite taille, se faufile adroitement dans la circulation. C'est un charme de conduire cette minivoiture. Et quand vient le temps de la garer, on rit dans notre barbe...
Bonne à tout faire ou presque
La nouvelle smart peut donc remplir de multiples rôles. Elle est avant tout une excellente métropolitaine. Mais comme elle se limite à deux passagers, il faudra dire aux amis de rester chez eux ou de prendre le taxi ou leur voiture pour se retrouver au théâtre ou au cinéma. Mais bon, on ne peut pas tout avoir.
Taille
Agilité
Moteur à essence
Bonne stabilité (autoroute)
Rangement
Adaptation à la boîte automatique
Rangement (cabriolet)
Pneus et jantes d'hiver recommandées
Aucun
photo:Amyot Bachand
Le passage des rapports de la boîte de vitesses automatique, pour ceux qui ont connu la première génération, est légendaire pour provoquer des salutations ou des bonjours de la part des passagers. La nouvelle boîte automatique a rendu ses changements de rapports plus souples, mais si l'on tente de garder le pied au « fond », on ressentira ces contrecoups à nouveau. Il est possible de les réduire à presque rien : il s'agit de lever légèrement le pied de l'accélérateur au moment où ces passages se font. En mode manuel, avec le compte-tours, il est facile de repérer les moments propices pour passer les vitesses. On contrôle rapidement ce phénomène. On peut passer les rapports à l'aide du levier au plancher ou des leviers de sélection montés au volant (versions Passion). Les ingénieurs ont apporté un changement précieux à ce passage : en cliquant deux fois sur le levier ou en poussant rapidement le levier deux fois vers l'avant, on saute un rapport. Par exemple, après avoir démarré sur le premier rapport, on peut donc passer sur le troisième directement, ce qui se révèle utile en ville dans la circulation rapide. On peut également rétrograder de 5 à 3 si la circulation ralentit rapidement. Ainsi, avec tous ces trucs, on apprend à tirer le meilleur du groupe motopropulseur. Sinon, on laisse le levier sur le D et on joue de l'accélérateur.
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| La boîte de vitesses à 5 rapports peut être opérée de trois façons. |
Ville et autoroute
La nouvelle smart se comporte aussi bien sur l'autoroute que dans les rues de la ville. Mon collègue d'essai, Louis, maintenait aisément les 130 et 140 km/h sur les autoroutes américaines et suivait, comme on le dit souvent, la circulation. Avec les commandes de la boîte au volant, on peut anticiper les changements de rapports et, dans les côtes, rétrograder rapidement pour ne pas perdre le rythme. En ville, la smart démarre rapidement aux feux et, grâce à sa petite taille, se faufile adroitement dans la circulation. C'est un charme de conduire cette minivoiture. Et quand vient le temps de la garer, on rit dans notre barbe...
Bonne à tout faire ou presque
La nouvelle smart peut donc remplir de multiples rôles. Elle est avant tout une excellente métropolitaine. Mais comme elle se limite à deux passagers, il faudra dire aux amis de rester chez eux ou de prendre le taxi ou leur voiture pour se retrouver au théâtre ou au cinéma. Mais bon, on ne peut pas tout avoir.
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Agilité
Moteur à essence
Bonne stabilité (autoroute)
Rangement
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Rangement (cabriolet)
Pneus et jantes d'hiver recommandées
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Aucun
photo:Amyot Bachand