D’où le surnom « Retro Electro ». Ces jours-ci, c’est relativement simple de construire un hot rod. On en a parfait le gabarit pendant des décennies, et il existe de puissants V8 prêts-à-insérer.
L’équipe de la brasserie Steam Whistle Brewery de Toronto a décidé d’y aller d’une autre façon… diamétralement opposée. Ils ont construit un hot rod qui peut enflammer le bitume, mais qui dispose d’un puissant et sophistiqué système à courant alternatif comprenant un bloc de batteries au lithium-ion-phosphate commandées par ordinateur.
Je ne sais pas si vous avez déjà fait des recherches, mais on ne garde pas des systèmes comme ça en stock pour des camionnettes Chevrolet Apache 1958! C’est qu’ils nécessitent plus de méninges que d’huile de coude…
Alors avant de se pencher sur le « comment », regardons d’abord le « pourquoi ».
Prendre ses responsabilités
Steam Whistle endosse fièrement le titre d’une des sociétés les plus vertes au Canada. Pour un des cofondateurs de la brasserie, Greg Taylor, la responsabilité environnementale fait partie intégrante de la marque Steam Whistle. Parmi ses initiatives : des bouteilles de bière plus épaisses qu’on peut réutiliser plus souvent, l’alimentation électrique de l’usine (par l’intermédiaire de Bullfrog Power Inc.) et l’utilisation de biocarburant B20 pour la flotte de camions de livraison.
Par contre la compagnie se doit également d’offrir un environnement de travail agréable et amusant. Selon Taylor, il s’agit d’écouter les employés et de leur permettre de façonner l’entreprise. Cette ambiance enjouée s’enrichit d’une atmosphère branchée (la brasserie se situe dans le « Roundhouse », dans une ancienne gare ferroviaire patrimoniale) ainsi qu’une flotte de véhicules éclectiques et classiques. Tenez, la camionnette Chevrolet 1957 baptisée « Grumpy », le Jeep Wagoneer 1964 dénommé « Grand Verde » et le fourgon Dodge Fargo 1956 répondant au nom de « Chuckles ». Il y a en a d’autres, toutefois revenons à nos moutons : la Retro Electro.
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| Photo: Mike Goetz/Auto123.com |
L’équipe de la brasserie Steam Whistle Brewery de Toronto a décidé d’y aller d’une autre façon… diamétralement opposée. Ils ont construit un hot rod qui peut enflammer le bitume, mais qui dispose d’un puissant et sophistiqué système à courant alternatif comprenant un bloc de batteries au lithium-ion-phosphate commandées par ordinateur.
Je ne sais pas si vous avez déjà fait des recherches, mais on ne garde pas des systèmes comme ça en stock pour des camionnettes Chevrolet Apache 1958! C’est qu’ils nécessitent plus de méninges que d’huile de coude…
Alors avant de se pencher sur le « comment », regardons d’abord le « pourquoi ».
Prendre ses responsabilités
Steam Whistle endosse fièrement le titre d’une des sociétés les plus vertes au Canada. Pour un des cofondateurs de la brasserie, Greg Taylor, la responsabilité environnementale fait partie intégrante de la marque Steam Whistle. Parmi ses initiatives : des bouteilles de bière plus épaisses qu’on peut réutiliser plus souvent, l’alimentation électrique de l’usine (par l’intermédiaire de Bullfrog Power Inc.) et l’utilisation de biocarburant B20 pour la flotte de camions de livraison.
Par contre la compagnie se doit également d’offrir un environnement de travail agréable et amusant. Selon Taylor, il s’agit d’écouter les employés et de leur permettre de façonner l’entreprise. Cette ambiance enjouée s’enrichit d’une atmosphère branchée (la brasserie se situe dans le « Roundhouse », dans une ancienne gare ferroviaire patrimoniale) ainsi qu’une flotte de véhicules éclectiques et classiques. Tenez, la camionnette Chevrolet 1957 baptisée « Grumpy », le Jeep Wagoneer 1964 dénommé « Grand Verde » et le fourgon Dodge Fargo 1956 répondant au nom de « Chuckles ». Il y a en a d’autres, toutefois revenons à nos moutons : la Retro Electro.
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| Photo: Steam Whistle |