Un freinage exceptionnel
Je n'ai pu mesurer officiellement mes distances de freinage, faute de galon à mesurer. Mais je peux vous assurer que, en situation de panique, la CrewMax s'est arrêtée en moins de deux : j'ai évalué la distance à 40 mètres ou moins, et ce, sur une route détrempée.
Toyota a mis le paquet à ce chapitre en dotant toutes les Tundra de quatre freins à disque, surdimensionnés pour cette catégorie; on note même des étriers à 4 pistons à l'avant et un système d'antiblocage et de contrôle de la pression des plus efficaces. En termes de freinage, j'avais l'impression de conduire un X5 de BMW. J'ai hâte de comparer avec la concurrence qui, j'en ai bien peur, rougira de honte. Et ce sera tant mieux. Tout le monde cherchera à niveler par le haut.
Ça tient la route !
La CrewMax se révèle la plus douce des trois versions grâce à sa meilleure répartition du poids. L'arrière ne sautille pratiquement jamais. Sur la version à cabine régulière à caisse de 8,1 pieds, on ressentait parfois l'arrière rebondir quelque peu, phénomène régulier sur toutes les camionnettes.
Avec sa reconfiguration des amortisseurs, Ford est parvenue à bien maîtriser ces petits soubresauts. La GMC Silverado 2007, essayée tout récemment, semble également bien maîtriser cet effet par rapport aux versions antérieures.
La Toyota Tundra se compare avantageusement à ses deux concurrentes à ce chapitre. La direction est précise et rend la maniabilité facile en zone urbaine. Avec ses lames de suspension arrière en forme trapézoïdale, l'arrière des Tundra, en version 4 x 2, ne chasse pas, même sur une route détrempée.
Concluant
Mes premières impressions sont donc positives : Toyota a réussi à créer cette fois une vraie camionnette américaine. Elle ne satisfera pas tout le monde, car certains voudraient déjà une foule d'options pour multiplier les versions et les modèles. Les moteurs diesels viendront sûrement s'ajouter, de même qu'une version à ¾ de tonne.
Dans sa sagesse et sa jeune expérience acquise du domaine des camionnettes, Toyota veut cette fois réussir avec des valeurs sûres, bien équipées et solidement bâties. Attendons l'annonce des prix et un essai concluant pour confirmer nos dires, mais l'entreprise n'a pas créé une toute nouvelle usine dans l'Indiana pour rien.
Crédit photo : Toyota
Si vous désirez essayer ou obtenir un prix pour ce véhicule, vous n'avez qu'à effectuer une recherche de concessionnaires / commerçants pour votre région.
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Toyota a mis le paquet à ce chapitre en dotant toutes les Tundra de quatre freins à disque, surdimensionnés pour cette catégorie; on note même des étriers à 4 pistons à l'avant et un système d'antiblocage et de contrôle de la pression des plus efficaces. En termes de freinage, j'avais l'impression de conduire un X5 de BMW. J'ai hâte de comparer avec la concurrence qui, j'en ai bien peur, rougira de honte. Et ce sera tant mieux. Tout le monde cherchera à niveler par le haut.
Ça tient la route !
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| Tundra Double Cab |
Avec sa reconfiguration des amortisseurs, Ford est parvenue à bien maîtriser ces petits soubresauts. La GMC Silverado 2007, essayée tout récemment, semble également bien maîtriser cet effet par rapport aux versions antérieures.
La Toyota Tundra se compare avantageusement à ses deux concurrentes à ce chapitre. La direction est précise et rend la maniabilité facile en zone urbaine. Avec ses lames de suspension arrière en forme trapézoïdale, l'arrière des Tundra, en version 4 x 2, ne chasse pas, même sur une route détrempée.
Concluant
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Dans sa sagesse et sa jeune expérience acquise du domaine des camionnettes, Toyota veut cette fois réussir avec des valeurs sûres, bien équipées et solidement bâties. Attendons l'annonce des prix et un essai concluant pour confirmer nos dires, mais l'entreprise n'a pas créé une toute nouvelle usine dans l'Indiana pour rien.
Crédit photo : Toyota
Si vous désirez essayer ou obtenir un prix pour ce véhicule, vous n'avez qu'à effectuer une recherche de concessionnaires / commerçants pour votre région.
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