Peu importe la route ou la météo
En général, la Porsche Panamera 2010 se montre très délicate et relaxante. Même en empruntant les routes secondaires endommagées de Sudbury, en Ontario, je l’ai sentie flotter comme sur un nuage. Certaines bosses m’ont fait grincer des dents, mais elles n’ont jamais effleuré la mécanique en dessous.
Le long empattement et la suspension pneumatique ajustable par le conducteur procurent ensemble un confort de roulement quasi parfait et assurément digne d’une berline de luxe. On a presque l’impression de conduire une Audi A6 ou une Lexus GS, mais avec une plus grande agilité.
Double personnalité
Ceci étant dit, la Panamera recèle une autre personnalité. Différents modes de fonctionnement peuvent être sélectionnés afin de raffermir la suspension, accélérer la réponse de la pédale des gaz et de la transmission de même qu’ajouter du piquant aux sensations ressenties par le pilote.
Stimulé par une musique entraînante livrée par le puissant système de son Bose, ce dernier peut activer le mode «Sport Plus» et changer les rapports près du régime maximal à l’aide des palettes au volant. La poussée soutenue qui en résulte se voit agrémentée d’un grondement féroce qui ressemble à celui d’un bon vieux V8 américain. Sur chaussée mouillée ou parsemée de sable, le derrière de la Panamera a même tendance à se dérober gracieusement si l’on écrase la pédale au plancher.
En pleine accélération, on finit par croire que le moteur libère plus de chevaux que le nombre avancé par Porsche. L’agressivité déployée dès que l’on appuie sur le bouton de réglage fait vite oublier le La-Z-Boy dans lequel on se trouvait quelques secondes auparavant.
Gratification et confiance maximales
Le système de traction intégrale de la Panamera 4S achemine normalement le gros de la puissance du moteur aux roues arrière. Il réagit de façon presque télépathique lorsqu’on pousse la voiture sur des surfaces glissantes. Contrôler la direction avec l’aide de l’accélérateur se révèle immensément plaisant et le comportement routier en général nous séduit par son côté dynamique mais prévisible. Notons que le système antidérapage peut être désactivé complètement.
En général, la Porsche Panamera 2010 se montre très délicate et relaxante. Même en empruntant les routes secondaires endommagées de Sudbury, en Ontario, je l’ai sentie flotter comme sur un nuage. Certaines bosses m’ont fait grincer des dents, mais elles n’ont jamais effleuré la mécanique en dessous.
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| Même en empruntant les routes secondaires endommagées de Sudbury, en Ontario, je l’ai sentie flotter comme sur un nuage. (Photo: Justin Pritchard/ Auto123.com) |
Le long empattement et la suspension pneumatique ajustable par le conducteur procurent ensemble un confort de roulement quasi parfait et assurément digne d’une berline de luxe. On a presque l’impression de conduire une Audi A6 ou une Lexus GS, mais avec une plus grande agilité.
Double personnalité
Ceci étant dit, la Panamera recèle une autre personnalité. Différents modes de fonctionnement peuvent être sélectionnés afin de raffermir la suspension, accélérer la réponse de la pédale des gaz et de la transmission de même qu’ajouter du piquant aux sensations ressenties par le pilote.
Stimulé par une musique entraînante livrée par le puissant système de son Bose, ce dernier peut activer le mode «Sport Plus» et changer les rapports près du régime maximal à l’aide des palettes au volant. La poussée soutenue qui en résulte se voit agrémentée d’un grondement féroce qui ressemble à celui d’un bon vieux V8 américain. Sur chaussée mouillée ou parsemée de sable, le derrière de la Panamera a même tendance à se dérober gracieusement si l’on écrase la pédale au plancher.
En pleine accélération, on finit par croire que le moteur libère plus de chevaux que le nombre avancé par Porsche. L’agressivité déployée dès que l’on appuie sur le bouton de réglage fait vite oublier le La-Z-Boy dans lequel on se trouvait quelques secondes auparavant.
Gratification et confiance maximales
Le système de traction intégrale de la Panamera 4S achemine normalement le gros de la puissance du moteur aux roues arrière. Il réagit de façon presque télépathique lorsqu’on pousse la voiture sur des surfaces glissantes. Contrôler la direction avec l’aide de l’accélérateur se révèle immensément plaisant et le comportement routier en général nous séduit par son côté dynamique mais prévisible. Notons que le système antidérapage peut être désactivé complètement.
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| À l’intérieur, la Porsche Panamera offre un généreux dégagement à tous les niveaux, même pour les passagers les plus corpulents. (Photo: Justin Pritchard/ Auto123.com) |