En fait, malgré les améliorations apportées à la S Tiptronic, je préfère encore mieux la transmission manuelle séquentielle DSG.
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| Bien qu'il y ait trois sièges différents en option, ceux de base s'acquittent admirablement de leurs tâches quotidiennes. (Photo: Trevor Hofmann, Canadian Auto Press) |
Tout de même, j'opterais pour la manuelle n'importe quand, et ce, sans hésiter. Croyez-le ou non, Audi n'offre même pas encore de boîte manuelle dans sa meilleure TT. Je ne veux cependant pas me lancer ici dans une comparaison entre deux rivales; d'ailleurs, la liste des roadsters qui font compétition avec la Boxster est trop longue pour analyser toutes les différences.
Revenons à ce qui distingue la Boxster de toutes ses prétendantes, c'est-à-dire ses options de sièges aussi complexes que les volants proposés. Le siège baquet de base offre un support merveilleux, je le rappelle, mais il privilégie davantage le confort que la pure sensation de conduite sportive. Ceux qui recherchent une expérience de performance un peu plus extrême voudront opter pour le siège sport en option ou peut-être un mélange des deux, à savoir le siège sport adaptant qui offrent les renforts agressifs du siège sport avec la commodité de réglages électriques. Nul doute que le troisième siège optionnel de Porsche, entièrement électrique, sera populaire, étant donné que plusieurs acheteurs dans cette ligue veulent profiter d'une bonne dose de confort ET d'allégresse. Pour moi, le siège standard convenait très bien; il m'a toujours été confortable tout en me gardant bien droit. Il s'agit d'un bon compromis et je n'aurais pas de misère à m'asseoir dedans chaque matin pour aller travailler.
Je pourrais continuer encore longtemps à écrire sur le sujet, puisque aucun constructeur rival n'offre autant d'options que Porsche. Ce qui a de
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| Ce qui a de quoi titiller encore plus les sens cette année, c'est l'amélioration de la dynamique de conduite dans son ensemble.. (Photo: Trevor Hofmann, Canadian Auto Press) |
quoi titiller encore plus les sens cette année, c'est l'amélioration de la dynamique de conduite dans son ensemble. La plupart des adeptes de la marque allemande auraient été satisfaits de quelques ajouts à la puissance du moteur. Or, Porsche a non seulement accru le rendement du moteur de façon drastique - le moteur de base de 2,7 litres développe 15 chevaux de plus (pour un total de 240 à 6400 rpm) et 7 lb-pi de couple supplémentaire (pour un total de 199 lb-pi à 6000 rpm, tandis que la Boxster S voit sa puissance augmentée de 22 chevaux (pour un total de 280 à 6200 rpm et son couple, de 7 lb-pi (pour un total de 236 lb-pi à 6000 rpm - mais tous les autres aspects de la conduite ont été rehaussés sans exception, faisant de la Boxster 2005 une machine comme Porsche n'en a jamais construite auparavant.
Le châssis, par exemple, est désormais plus large, avec une réaction plus précise et plus directe à l'action du conducteur.
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| Pas mal toutes les composantes de tous les systèmes ont été améliorées, produisant ainsi une voiture encore plus agile que le modèle précédent, qui était pourtant l'un des plus cités par les critiques automobiles. (Photo: Trevor Hofmann, Canadian Auto Press) |
Le changement le plus évident peut être vu de l'extérieur, à savoir les roues qui sont passées de 16 à 17 pouces. La S est maintenant équipée de jantes standards de 18 pouces, tandis que des jantes 19 pouces sont maintenant disponibles pour toute la gamme. Dépendamment de la combinaison de roues et de pneus, la surface d'adhérence a aussi été élargie jusqu'à 35 mm au point le plus large. En outre, les composantes ont été renforcées. Par exemple, les roulements à billes des roues sont plus solides sur le modèle 2005. Le châssis a de plus été allégé grâce à de nouvelles cavités autour des roues avant et à un nouveau carénage en aluminium du soubassement.
