Faisant valoir son caractère très moderne malgré un design vieux de 50 ans, la GS Carrera GT se conduit comme beaucoup de voitures de nos jours, s’avérant aussi confortable qu’athlétique. Malheureusement pour moi (mais heureusement pour la Porsche), l’itinéraire choisi empruntait la magnifique autoroute Pacific Coast — splendide mais bougrement achalandée. Le moteur de 2,0 litres distribue sa puissance de façon assez linéaire et constante, livrant une bonne dose de plaisir jusqu’à 4500 tours/minute (chut, ne le dites pas à Porsche…). Et puis, il émet un rugissement à faire réveiller les morts! Quel son!
La Pacific Coast est célèbre pour sa série de grandes courbes qui s’enchaînent comme dans un rêve et, honnêtement, la voiture s’est révélée beaucoup moins exigeante à conduire que ce à quoi je m’attendais. Sa direction non assistée est lourde et précise, sauf en son centre. Je dois quand même avouer qu’elle manque de vivacité lors des manœuvres rapides. Les freins à tambour aux quatre roues, eux, ont suffi à la tâche malgré une course de pédale trop longue.
Ces petits détails, sans oublier la course du levier de vitesses, ont rendu l’expérience de conduite très sollicitante mais aussi très gratifiante. Si seulement on pouvait en dire autant des bolides d’aujourd’hui…
Après la 356B 2000 GS Carrera GT, je suis monté à bord d’une 356B Carrera 2 Cabriolet. Je ne l’ai pas réalisé sur le coup, mais il s’agit à la fois de la voiture la plus rarissime et la plus dispendieuse que j’aurai essayée dans ma vie. Seulement 34 exemplaires de cette ultime 356 Cabriolet ont été produits et, si vous avez suivi mes tweets récemment (@Matt_St_Pierre), vous savez que leur valeur s’élève à un million $US. Si je l’avais su avant de décoller, je n’aurais jamais apprécié cette intense sensation.
Ici, le quatre-cylindres de 2,0 litres génère 130 chevaux et peut atteindre seulement 200 km/h. Comparativement au coupé, le cabriolet rouge que j’ai testé s’apparentait davantage à une décapotable Cadillac Coupe De Ville. Le confort de roulement m’a surpris.
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| La GS Carrera GT se conduit comme beaucoup de voitures de nos jours, s’avérant aussi confortable qu’athlétique. (Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com) |
La Pacific Coast est célèbre pour sa série de grandes courbes qui s’enchaînent comme dans un rêve et, honnêtement, la voiture s’est révélée beaucoup moins exigeante à conduire que ce à quoi je m’attendais. Sa direction non assistée est lourde et précise, sauf en son centre. Je dois quand même avouer qu’elle manque de vivacité lors des manœuvres rapides. Les freins à tambour aux quatre roues, eux, ont suffi à la tâche malgré une course de pédale trop longue.
Ces petits détails, sans oublier la course du levier de vitesses, ont rendu l’expérience de conduite très sollicitante mais aussi très gratifiante. Si seulement on pouvait en dire autant des bolides d’aujourd’hui…
Après la 356B 2000 GS Carrera GT, je suis monté à bord d’une 356B Carrera 2 Cabriolet. Je ne l’ai pas réalisé sur le coup, mais il s’agit à la fois de la voiture la plus rarissime et la plus dispendieuse que j’aurai essayée dans ma vie. Seulement 34 exemplaires de cette ultime 356 Cabriolet ont été produits et, si vous avez suivi mes tweets récemment (@Matt_St_Pierre), vous savez que leur valeur s’élève à un million $US. Si je l’avais su avant de décoller, je n’aurais jamais apprécié cette intense sensation.
Ici, le quatre-cylindres de 2,0 litres génère 130 chevaux et peut atteindre seulement 200 km/h. Comparativement au coupé, le cabriolet rouge que j’ai testé s’apparentait davantage à une décapotable Cadillac Coupe De Ville. Le confort de roulement m’a surpris.
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| Après la 356B 2000 GS Carrera GT, je suis monté à bord d’une 356B Carrera 2 Cabriolet. (Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com) |