Peut-être plus « petit » que le Ford, le NV peut tout de même avaler une beurrée de trucs. Grâce aux portières arrière s’articulant sur 243 degrés, aux charnières non envahissantes et à la porte coulissante côté passager, charger et décharger des boîtes devient un jeu d’enfant. Mais bon, on peut en dire autant de ses rivaux. Mon « épreuve divan » a prouvé que le NV peut clairement s’acquitter d’à peu près tout.
Et le NV courtise à la fois le conducteur et le passager, offrant plus de dégagement pour la tête et les jambes que le Ford. En optimisant le confort du passager, en installant les sièges les plus douillets de tout fourgon, Nissan a réussi à créer un outil qui pourrait s’avérer relaxant pour les longues journées de travail. Au sujet desdits sièges : après avoir charrié des douzaines et des douzaines de boîtes, vous serez heureux de vous y glisser!
Vous serez peut-être aussi ravis par la présence du tonitruant V8 de 5,6 litres optionnel de Nissan… pourvu que quelqu’un d’autre s’occupe de la facture à la pompe. Avec ses 317 chevaux et 385 pi-lb de couple, le NV pulvérise le V8 de 5,4 litres de Ford, rivalise presque son V10 et ne fait qu’une bouchée du V8 de 6,0 litres de GM. L’avantage de GM? La possibilité d’obtenir, pour un prix, un moteur Duramax diesel. De série dans le NV : un V6 de 4,0 litres et 261 ch.
Et avec le V8, notre fidèle fourgon peut tracter jusqu’à 4 308 kilos.
Pour un véhicule à essence, le NV a en masse de culot, et les effets sonores pour l’accompagner aussi. Avec le divan, un passager et un ou deux autres cossins à bord, on aurait dit qu’il était vide. Bien beau toute cette puissance, mais encore faut-il pouvoir calmer les ardeurs de la bête. Entre les excellents et sérieusement costauds disques ventilés de 14 pouces et plus aux quatre coins. Au moindre effleurement de la pédale gauche, le NV ralentissait impeccablement. Par ailleurs, la suspension rustre nous fait apprécier d’autant plus les sièges douillets.
Dans la guerre des prix, tous ces véhicules industriels commandent un peu plus de 30 000 $ avant les mesures incitatives, ajustements et autres rabais. Mon 2500 V8 SV avec toit standard affichait une étiquette de 35 678 $, encore une fois conforme à la norme.
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| En optimisant le confort du passager, en installant les sièges les plus douillets de tout fourgon, Nissan a réussi à créer un outil qui pourrait s’avérer relaxant pour les longues journées de travail. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |
Et le NV courtise à la fois le conducteur et le passager, offrant plus de dégagement pour la tête et les jambes que le Ford. En optimisant le confort du passager, en installant les sièges les plus douillets de tout fourgon, Nissan a réussi à créer un outil qui pourrait s’avérer relaxant pour les longues journées de travail. Au sujet desdits sièges : après avoir charrié des douzaines et des douzaines de boîtes, vous serez heureux de vous y glisser!
Vous serez peut-être aussi ravis par la présence du tonitruant V8 de 5,6 litres optionnel de Nissan… pourvu que quelqu’un d’autre s’occupe de la facture à la pompe. Avec ses 317 chevaux et 385 pi-lb de couple, le NV pulvérise le V8 de 5,4 litres de Ford, rivalise presque son V10 et ne fait qu’une bouchée du V8 de 6,0 litres de GM. L’avantage de GM? La possibilité d’obtenir, pour un prix, un moteur Duramax diesel. De série dans le NV : un V6 de 4,0 litres et 261 ch.
Et avec le V8, notre fidèle fourgon peut tracter jusqu’à 4 308 kilos.
Pour un véhicule à essence, le NV a en masse de culot, et les effets sonores pour l’accompagner aussi. Avec le divan, un passager et un ou deux autres cossins à bord, on aurait dit qu’il était vide. Bien beau toute cette puissance, mais encore faut-il pouvoir calmer les ardeurs de la bête. Entre les excellents et sérieusement costauds disques ventilés de 14 pouces et plus aux quatre coins. Au moindre effleurement de la pédale gauche, le NV ralentissait impeccablement. Par ailleurs, la suspension rustre nous fait apprécier d’autant plus les sièges douillets.
Dans la guerre des prix, tous ces véhicules industriels commandent un peu plus de 30 000 $ avant les mesures incitatives, ajustements et autres rabais. Mon 2500 V8 SV avec toit standard affichait une étiquette de 35 678 $, encore une fois conforme à la norme.
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| De série dans le NV : un V6 de 4,0 litres et 261 ch. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |