Lorsque la banquette arrière prend sa place, le volume du coffre ne s’élève qu’à 297 litres, à peu près l’équivalent d’un compartiment à gants. L’espace augmente heureusement quand on rabat la banquette, en revanche ne vous attendez pas à y charger un écran géant ou le sac de hockey de plus de deux joueurs.
Non, tout se passe à l’avant. Les sièges performent bien à tous les égards, mais le clou du spectacle reste sans contredit la console centrale. Dans ce qui s’avère un des écrans modernes les plus branchés, les commandes inférieures peuvent passer d’une fonction à l’autre à l’aide d’un bouton.
D’abord, on nous propose les commandes de CVCA typiques sous forme d’une paire de molettes et de boutons de positionnement des bouches d’air. En cliquant sur D juste au-dessus du petit écran, on se fait immédiatement transporter en mode « Drive ». Ici, on peut choisir entre les réglages Normal, Sport et Eco selon ses goûts et son humeur. L’écran affiche ensuite le couple, la pression de suralimentation ou le degré de performance écologique du conducteur.
Au-dessus, les systèmes de navigation et audio intégrés sont plutôt simples. Modernes et jeunes, ils égaient davantage l’habitacle, généralement bien exécuté, soit dit en passant.
Du punch?
Ô que si! Ce petit utilitaire se dévergonde à l’aide d’un quatre-cylindres turbo de 1,6 litre et 188 ch. Sans blague! Grâce aux 117 pi-lb de couple entre 2 000 et 5 200 tours, vous vous ferez même une petite frayeur la première fois que vous enfoncerez le champignon. Non, je ne plaisante toujours pas!
Le Juke ne suscite que gaieté sur la route, et sur la piste aussi. Lors du dernier Festival des essais de l’AJAC, je me suis défoulé au volant d’un SL à transmission intégrale avec Xtronic, zigzaguant entre les cônes avec euphorie. Non, il ne clanchera pas une GTI, seulement de nombreux conducteurs de soi-disant coupés sportifs (Scion tC et Kia Forte Koup) quitteront plutôt embarrassés au bout d’une séance en piste.
 |
| Lorsque la banquette arrière prend sa place, le volume du coffre ne s’élève qu’à 297 litres. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Non, tout se passe à l’avant. Les sièges performent bien à tous les égards, mais le clou du spectacle reste sans contredit la console centrale. Dans ce qui s’avère un des écrans modernes les plus branchés, les commandes inférieures peuvent passer d’une fonction à l’autre à l’aide d’un bouton.
D’abord, on nous propose les commandes de CVCA typiques sous forme d’une paire de molettes et de boutons de positionnement des bouches d’air. En cliquant sur D juste au-dessus du petit écran, on se fait immédiatement transporter en mode « Drive ». Ici, on peut choisir entre les réglages Normal, Sport et Eco selon ses goûts et son humeur. L’écran affiche ensuite le couple, la pression de suralimentation ou le degré de performance écologique du conducteur.
Au-dessus, les systèmes de navigation et audio intégrés sont plutôt simples. Modernes et jeunes, ils égaient davantage l’habitacle, généralement bien exécuté, soit dit en passant.
Du punch?
Ô que si! Ce petit utilitaire se dévergonde à l’aide d’un quatre-cylindres turbo de 1,6 litre et 188 ch. Sans blague! Grâce aux 117 pi-lb de couple entre 2 000 et 5 200 tours, vous vous ferez même une petite frayeur la première fois que vous enfoncerez le champignon. Non, je ne plaisante toujours pas!
Le Juke ne suscite que gaieté sur la route, et sur la piste aussi. Lors du dernier Festival des essais de l’AJAC, je me suis défoulé au volant d’un SL à transmission intégrale avec Xtronic, zigzaguant entre les cônes avec euphorie. Non, il ne clanchera pas une GTI, seulement de nombreux conducteurs de soi-disant coupés sportifs (Scion tC et Kia Forte Koup) quitteront plutôt embarrassés au bout d’une séance en piste.
 |
| Ce petit utilitaire se dévergonde à l’aide d’un quatre-cylindres turbo de 1,6 litre et 188 ch. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |