Par ailleurs, une fois que le V6 reprend vie, la transmission se comporte comme si elle sortait d’un profond coma, se montrant lente à réagir aux commandes du pilote. Ces petits défauts ternissent ce qui, autrement, reste une automobile de très grand luxe agréable à conduire.
Notons que le moteur électrique ne peut la faire avancer à lui seul, se contentant d’un rôle de soutien à l’accélération et à haute vitesse — à l’instar du système hybride IMA de Honda. Bref, si vous aimeriez vous balader en ville tout en silence grâce à la seule force de l’électricité, oubliez ça. Vous aurez, par contre, le net sentiment de faire votre part pour réduire les gaz à effet de serre.
La S400 HYBRID en bref
Il est évidemment difficile de critiquer la Mercedes-Benz S400 HYBRID 2010, moins énergivore et moins polluante que les berlines concurrentes à moteur V8 et même leurs versions hybrides. Le problème vient du fait que les acheteurs bénéficient seulement d’une meilleure performance environnementale — aucun gain de puissance ni de prestige. Pour un client qui magasine dans ce créneau, un supplément de 20 000 $ pour profiter de la fougue nettement supérieure de la BMW ActiveHybrid 7 ou de la Lexus LS 600h L se veut un petit prix à payer.
En gros, ce que j’essaie de vous dire, c’est que les acheteurs de la S400 HYBRID ont au départ une idée bien arrêtée et qu’ils ne désirent aucun autre modèle que celui-ci. Personnellement, il n’y a rien de mal là-dedans…
Notons que le moteur électrique ne peut la faire avancer à lui seul, se contentant d’un rôle de soutien à l’accélération et à haute vitesse — à l’instar du système hybride IMA de Honda. Bref, si vous aimeriez vous balader en ville tout en silence grâce à la seule force de l’électricité, oubliez ça. Vous aurez, par contre, le net sentiment de faire votre part pour réduire les gaz à effet de serre.
La Classe S affiche une telle prestance et a un tel cachet que tous les passants l’admirent d’un regard approbateur. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
La S400 HYBRID en bref
Il est évidemment difficile de critiquer la Mercedes-Benz S400 HYBRID 2010, moins énergivore et moins polluante que les berlines concurrentes à moteur V8 et même leurs versions hybrides. Le problème vient du fait que les acheteurs bénéficient seulement d’une meilleure performance environnementale — aucun gain de puissance ni de prestige. Pour un client qui magasine dans ce créneau, un supplément de 20 000 $ pour profiter de la fougue nettement supérieure de la BMW ActiveHybrid 7 ou de la Lexus LS 600h L se veut un petit prix à payer.
En gros, ce que j’essaie de vous dire, c’est que les acheteurs de la S400 HYBRID ont au départ une idée bien arrêtée et qu’ils ne désirent aucun autre modèle que celui-ci. Personnellement, il n’y a rien de mal là-dedans…