L’habitacle n’a pas changé beaucoup côté dimensions. Les passagers avant perdent un peu de dégagement pour la tête, cependant tout le monde profite d’un peu plus d’espace pour les épaules et les hanches. La visibilité est très bonne tout autour.
Pour 2010, la E350 conserve son V6 de 3,5 litres qui développe 268 chevaux et un couple de 258 lb-pi, mais troque l’automatique à 5 rapports pour la nouvelle boîte à 7 rapports avec mode manuel. Cette nouvelle transmission permet une plus grande économie d’essence : 12,7/8,3 contre 12,9/9,0 en 2009. Notre moyenne de consommation se situe à 11,9 L/100 km.
Nous avons également enregistré un temps de 0 à 100 km en 6,6 secondes, ce qui est plus rapide que ce que l’on croyait. Vous pouvez toujours obtenir plus de performance avec la E550 de 382 chevaux, quoiqu’elle coûte presque dix mille de plus.
La direction de la E350 se comporte un peu bizarrement; en tournant le volant on se rend compte que la voiture ne commence à obéir qu’après une demi-seconde. On ne la sent pas déconnectée, et on s’habitue, bien que cette direction ne semble pas chirurgicalement précise. On a clairement mis l’emphase sur la douceur de roulement : la voiture roule silencieusement, se comporte bien sur des surfaces abîmées et excelle à vitesse de croisière d’autoroute. Les acheteurs de Classe E devraient avoir en tête ces caractéristiques de toute façon, à part son écusson prestigieux, bien sûr.
En ce moment, la berline Classe E ne s’offre qu’en trois versions : E350 4MATIC, E550 4MATIC et la E63 AMG de 518 chevaux. La E300 de 228 chevaux a disparu, et une version BlueTEC turbodiesel devrait retrouver sa place dans la gamme bientôt.
Malgré le retrait du modèle de base de l’an dernier, le prix d’entrée de la Classe E n’a pas été aussi bas depuis 1999. À 62 900 $, la E350 4MATIC coûte presque trois mille dollars de moins que l’ancienne E300. Ne vous inquiétez pas, il y a plus de 13 000 $ en options qui vous attendent, si vous croyez que cette voiture n’a pas assez d’équipement.
La E350 a de nombreuses adversaires. De l’Allemagne : Audi A6 et BMW Série 5. Du Japon : Infiniti M35, Lexus GS 350 et Acura RL. De l’Amérique : Cadillac STS, Lincoln MKS et, choix discutable, Chrysler 300C. Dernière et non la moindre, si vous n’exigez pas un écusson de prestige, une Hyundai Genesis tout équipée avec moteur V8 fait le travail et coûte moins cher.
Malgré la baisse de prix, la Mercedes se vend toujours quelques milliers de dollars de plus que les A6 3.0 TFSI quattro et BMW 528i xDrive.
Pour les loyalistes de Mercedes-Benz, la nouvelle Classe E se révèle meilleure que jamais, et constitue une admirable ambassadrice de la marque. Cette E350 s’affirme extrêmement confortable et solide, par contre, je crois personnellement qu’elle manque un peu de caractère.
Néanmoins, Mercedes a réussi à rendre une très bonne voiture encore supérieure, ce qui n’est jamais une tâche facile.
photo:Philippe Champoux, Matthieu Lambert
Pour 2010, la E350 conserve son V6 de 3,5 litres qui développe 268 chevaux et un couple de 258 lb-pi, mais troque l’automatique à 5 rapports pour la nouvelle boîte à 7 rapports avec mode manuel. Cette nouvelle transmission permet une plus grande économie d’essence : 12,7/8,3 contre 12,9/9,0 en 2009. Notre moyenne de consommation se situe à 11,9 L/100 km.
Nous avons également enregistré un temps de 0 à 100 km en 6,6 secondes, ce qui est plus rapide que ce que l’on croyait. Vous pouvez toujours obtenir plus de performance avec la E550 de 382 chevaux, quoiqu’elle coûte presque dix mille de plus.
La direction de la E350 se comporte un peu bizarrement; en tournant le volant on se rend compte que la voiture ne commence à obéir qu’après une demi-seconde. On ne la sent pas déconnectée, et on s’habitue, bien que cette direction ne semble pas chirurgicalement précise. On a clairement mis l’emphase sur la douceur de roulement : la voiture roule silencieusement, se comporte bien sur des surfaces abîmées et excelle à vitesse de croisière d’autoroute. Les acheteurs de Classe E devraient avoir en tête ces caractéristiques de toute façon, à part son écusson prestigieux, bien sûr.
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| Pour 2010, la E350 conserve son V6 de 3,5 litres qui développe 268 chevaux et un couple de 258 lb-pi. |
En ce moment, la berline Classe E ne s’offre qu’en trois versions : E350 4MATIC, E550 4MATIC et la E63 AMG de 518 chevaux. La E300 de 228 chevaux a disparu, et une version BlueTEC turbodiesel devrait retrouver sa place dans la gamme bientôt.
Malgré le retrait du modèle de base de l’an dernier, le prix d’entrée de la Classe E n’a pas été aussi bas depuis 1999. À 62 900 $, la E350 4MATIC coûte presque trois mille dollars de moins que l’ancienne E300. Ne vous inquiétez pas, il y a plus de 13 000 $ en options qui vous attendent, si vous croyez que cette voiture n’a pas assez d’équipement.
La E350 a de nombreuses adversaires. De l’Allemagne : Audi A6 et BMW Série 5. Du Japon : Infiniti M35, Lexus GS 350 et Acura RL. De l’Amérique : Cadillac STS, Lincoln MKS et, choix discutable, Chrysler 300C. Dernière et non la moindre, si vous n’exigez pas un écusson de prestige, une Hyundai Genesis tout équipée avec moteur V8 fait le travail et coûte moins cher.
Malgré la baisse de prix, la Mercedes se vend toujours quelques milliers de dollars de plus que les A6 3.0 TFSI quattro et BMW 528i xDrive.
Pour les loyalistes de Mercedes-Benz, la nouvelle Classe E se révèle meilleure que jamais, et constitue une admirable ambassadrice de la marque. Cette E350 s’affirme extrêmement confortable et solide, par contre, je crois personnellement qu’elle manque un peu de caractère.
Néanmoins, Mercedes a réussi à rendre une très bonne voiture encore supérieure, ce qui n’est jamais une tâche facile.
photo:Philippe Champoux, Matthieu Lambert
Mercedes Classe E E350 4MATIC 2010
Mercedes Classe E E350 4MATIC 2010
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