Jumelé à une boîte de vitesses automatique à 7 rapports avec mode manuel, ce moteur permet à cette imposante propulsion d’atteindre 100 km/h en un peu plus de 5 secondes, lors d’un départ arrêté.
Les reprises sont de même nature : une vague pression de l’accélérateur suffit à faire décoller cette Mercedes comme si elle avait été au repos... à 100 km/h! N’oublions pas que cette voiture a été imaginée, entre autres, pour les conducteurs allemands et leurs « Autobahn ». Dans le contexte du réseau routier nord-américain, il est triste d’admettre que cette « E » dispose de certaines capacités étonnantes qu’on ne peut que rarement exploiter pleinement...
Silhouette digne des plus grands designers
L’élégance de ce coupé reste indéniable. La voiture enchante quiconque l’aperçoit. Difficile de ne pas la reconnaître au premier coup d’œil d’ailleurs, que ce soit par sa calandre à grille pentagonale ornée d’une grosse étoile à trois branches ou les phares profilés à doubles optiques. La surface vitrée latérale très généreuse se distingue également, avec sa forme d’arc très net qui rejoint une longue droite plane. On dénote tout à coup l’absence d’un montant central (ou pilier B). Autrefois, les Américains auraient qualifié ce design par l’expression « Hard Top » (toit rigide). Aujourd’hui, il y en a qui pensent que les designers de Mercedes ont inventé un nouveau style...
Pour pallier l’absence de ce montant central, où seraient ordinairement fixées les ceintures des places avant, un bras motorisé a été prévu. Dès qu’on fait démarrer le moteur, il entraîne vers l’avant la ceinture pour la rendre accessible à l’occupant du siège avant.
On reconnaît cette voiture, aussi, à ses feux de jour à diodes électroluminescentes (DEL). Ils se logent dans l’espace inférieur de la calandre, où se trouveraient d’ordinaire des projecteurs antibrouillards.
La E 550 optimise évidemment le confort de ses occupants. D’abord avec des sièges confortables et ajustables de nombreuses façons, entre autres, grâce aux bourrelets réglables qui permettent d’en ajuster le niveau de support latéral. Habillés d’un cuir Nappa de riche texture, ils sont naturellement chauffants (de série), mais aussi ventilés (contre supplément).
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| La puissance du moteur parvient aux roues arrière par le biais d’une boîte automatique 7 rapports munie d’un moteur manuel. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Les reprises sont de même nature : une vague pression de l’accélérateur suffit à faire décoller cette Mercedes comme si elle avait été au repos... à 100 km/h! N’oublions pas que cette voiture a été imaginée, entre autres, pour les conducteurs allemands et leurs « Autobahn ». Dans le contexte du réseau routier nord-américain, il est triste d’admettre que cette « E » dispose de certaines capacités étonnantes qu’on ne peut que rarement exploiter pleinement...
Silhouette digne des plus grands designers
L’élégance de ce coupé reste indéniable. La voiture enchante quiconque l’aperçoit. Difficile de ne pas la reconnaître au premier coup d’œil d’ailleurs, que ce soit par sa calandre à grille pentagonale ornée d’une grosse étoile à trois branches ou les phares profilés à doubles optiques. La surface vitrée latérale très généreuse se distingue également, avec sa forme d’arc très net qui rejoint une longue droite plane. On dénote tout à coup l’absence d’un montant central (ou pilier B). Autrefois, les Américains auraient qualifié ce design par l’expression « Hard Top » (toit rigide). Aujourd’hui, il y en a qui pensent que les designers de Mercedes ont inventé un nouveau style...
Pour pallier l’absence de ce montant central, où seraient ordinairement fixées les ceintures des places avant, un bras motorisé a été prévu. Dès qu’on fait démarrer le moteur, il entraîne vers l’avant la ceinture pour la rendre accessible à l’occupant du siège avant.
On reconnaît cette voiture, aussi, à ses feux de jour à diodes électroluminescentes (DEL). Ils se logent dans l’espace inférieur de la calandre, où se trouveraient d’ordinaire des projecteurs antibrouillards.
La E 550 optimise évidemment le confort de ses occupants. D’abord avec des sièges confortables et ajustables de nombreuses façons, entre autres, grâce aux bourrelets réglables qui permettent d’en ajuster le niveau de support latéral. Habillés d’un cuir Nappa de riche texture, ils sont naturellement chauffants (de série), mais aussi ventilés (contre supplément).
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| D’excellents sièges baquets rendent les longs trajets agréables. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |