Et son coefficient de traînée de 0,24 en fait la voiture de production la plus aérodynamique sur le marché. Tout ça pour faire de ces coupés une proposition plus émotive que les berlines, et si nous nous fions à notre essai, Mercedes a réussi. Cette voiture ne passe pas inaperçue.
Apparemment, la berline et le coupé ne partagent aucune plaque de carrosserie. Un nombre surprenant de lignes parcourent les nouveaux coupés ici et là, mais tout semble se compléter. J’ai particulièrement aimé la vue arrière aux trois quarts, qui met en valeur les puissants flancs, censés faire écho à la musculature athlétique du coupé « Ponton » 220 1955.
Excellent habitacle de Classe E
Les coupés et les berlines ont plus de choses en commun lorsqu’il s’agit de l’habitacle. Les deux voitures héritent du nouveau système COMMAND qui permet de régler à peu près tout à l’aide de la commande fixée à la console et d’un écran de dix-sept centimètres. Comme pour tous ces systèmes, il y a une période d’adaptation, mais je l’ai trouvé relativement facile à utiliser.
Pour jouir d’un système de navigation dans la E350, il faut opter pour l’ensemble haut de gamme, qui comprend aussi la commande vocale, un disque dur pour stocker la musique, une chaîne audio supérieure, le dispositif PARKTRONIC et sa fonction d’aide au stationnement et un pare-soleil de lunette arrière électrique.
La première chose qu’on remarque en se glissant derrière le volant, ce sont les sièges absolument magnifiques dotés de dossiers très hauts. Le cuir et le capitonnage ne pourraient être de plus grande qualité, et le siège du conducteur profite de 10 réglages électriques ET de quatre réglages de soutien lombaire. J’ai mis environ 10 minutes à trouver une position confortable, mais une fois arrivé, on se croirait dans un très douillet maillot intégral.
Le volant est gros et épais. Essentielle à l’ambiance de l’habitacle de tout coupé sport est une console centrale volumineuse, et dans ce cas-ci, elle fut élégamment dessinée et même reprise sous forme d’une mini-console à l’arrière. Les sièges arrière sont inclinés vers l’arrière pour le confort, mais même s’ils sont toujours accueillants, toute personne approchant les six pieds y serait serrée.
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| Les coupés et les berlines héritent du nouveau système COMMAND. |
Apparemment, la berline et le coupé ne partagent aucune plaque de carrosserie. Un nombre surprenant de lignes parcourent les nouveaux coupés ici et là, mais tout semble se compléter. J’ai particulièrement aimé la vue arrière aux trois quarts, qui met en valeur les puissants flancs, censés faire écho à la musculature athlétique du coupé « Ponton » 220 1955.
Excellent habitacle de Classe E
Les coupés et les berlines ont plus de choses en commun lorsqu’il s’agit de l’habitacle. Les deux voitures héritent du nouveau système COMMAND qui permet de régler à peu près tout à l’aide de la commande fixée à la console et d’un écran de dix-sept centimètres. Comme pour tous ces systèmes, il y a une période d’adaptation, mais je l’ai trouvé relativement facile à utiliser.
Pour jouir d’un système de navigation dans la E350, il faut opter pour l’ensemble haut de gamme, qui comprend aussi la commande vocale, un disque dur pour stocker la musique, une chaîne audio supérieure, le dispositif PARKTRONIC et sa fonction d’aide au stationnement et un pare-soleil de lunette arrière électrique.
La première chose qu’on remarque en se glissant derrière le volant, ce sont les sièges absolument magnifiques dotés de dossiers très hauts. Le cuir et le capitonnage ne pourraient être de plus grande qualité, et le siège du conducteur profite de 10 réglages électriques ET de quatre réglages de soutien lombaire. J’ai mis environ 10 minutes à trouver une position confortable, mais une fois arrivé, on se croirait dans un très douillet maillot intégral.
Le volant est gros et épais. Essentielle à l’ambiance de l’habitacle de tout coupé sport est une console centrale volumineuse, et dans ce cas-ci, elle fut élégamment dessinée et même reprise sous forme d’une mini-console à l’arrière. Les sièges arrière sont inclinés vers l’arrière pour le confort, mais même s’ils sont toujours accueillants, toute personne approchant les six pieds y serait serrée.
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| Les sièges arrière sont inclinés vers l’arrière pour le confort tout en restant aussi accueillants. |