L’espace des places arrière n’offre qu’un confort relatif. Le volume du coffre se restreint à seulement 354 litres comparativement à 425 litres pour la Saab 9-3 XWD (38 730 $) et 480 litres pour l’Audi A4 2.0TFSI quattro (39 700 $).
Souplesse et dynamisme
Introduit pour 2010, le V6 de 2,5 litres développe 201 chevaux et 181 lb/pi de couple, soit la puissance similaire au quatre cylindres de l’Acura TSX Premium (36 290 $). Elle se transmet aux roues via une transmission automatique 7G-Tronic (sept rapports) qui est simplement imperceptible. Le démarrage du moteur se fait aussi dans la plus grande discrétion. La souplesse du moteur, ainsi qu’une insonorisation impeccable étouffe tous les bruits mécaniques.
Par contre au niveau des reprises et des accélérations c’est discret. Il faut vraiment considérer le poids de 1 690kg de la voiture qui handicape les performances. Cette motorisation a deux logiques, la première, un prix inférieur et la deuxième un souci d’économie de carburant.
La première est bien réelle, mais la deuxième déçoit un peu. Durant l’essai sans trop d’excès d’enthousiasme, j’ai été surpris de constater une consommation moyenne de 9,7 litres/100km. Je ne peux passer sous silence que ce petit 2,5L, demande une alimentation en super seulement.
Sur le plan dynamique, sans faire de comparaison avec la BMW 328i xDrive (44 000 $), elle demeure intéressante. Le fait que la voiture soit basse et équipée de la suspension Agility Control, elle offre une bonne tenue de route et un excellent comportement routier. Évidemment, dans les conditions hivernales, on considère aussi l’assurance que fournit la traction intégrale 4MATIC qui fait un travail absolument magnifique.
Les virages s’enfilent avec aisance, la suspension reste souple en amortissement, mais ferme en roulis et je constate une belle solidité de l’ensemble.
Se faire une idée
Au terme de mon essai, je me suis fait une idée assez claire de la C250 4MATIC. Elle présente de nombreuses qualités qui, majoritairement, remplissent nos attentes face à l’étoile, c’est bel et bien une Mercedes, mais peut-être juste un peu moins que les autres.
Souplesse et dynamisme
Introduit pour 2010, le V6 de 2,5 litres développe 201 chevaux et 181 lb/pi de couple, soit la puissance similaire au quatre cylindres de l’Acura TSX Premium (36 290 $). Elle se transmet aux roues via une transmission automatique 7G-Tronic (sept rapports) qui est simplement imperceptible. Le démarrage du moteur se fait aussi dans la plus grande discrétion. La souplesse du moteur, ainsi qu’une insonorisation impeccable étouffe tous les bruits mécaniques.
Par contre au niveau des reprises et des accélérations c’est discret. Il faut vraiment considérer le poids de 1 690kg de la voiture qui handicape les performances. Cette motorisation a deux logiques, la première, un prix inférieur et la deuxième un souci d’économie de carburant.
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| Bien que la C250 soit exclusive au marché canadien, elle se fond à merveille dans le parc automobile au pays. (Photo: Mercedes-Benz) |
La première est bien réelle, mais la deuxième déçoit un peu. Durant l’essai sans trop d’excès d’enthousiasme, j’ai été surpris de constater une consommation moyenne de 9,7 litres/100km. Je ne peux passer sous silence que ce petit 2,5L, demande une alimentation en super seulement.
Sur le plan dynamique, sans faire de comparaison avec la BMW 328i xDrive (44 000 $), elle demeure intéressante. Le fait que la voiture soit basse et équipée de la suspension Agility Control, elle offre une bonne tenue de route et un excellent comportement routier. Évidemment, dans les conditions hivernales, on considère aussi l’assurance que fournit la traction intégrale 4MATIC qui fait un travail absolument magnifique.
Les virages s’enfilent avec aisance, la suspension reste souple en amortissement, mais ferme en roulis et je constate une belle solidité de l’ensemble.
Se faire une idée
Au terme de mon essai, je me suis fait une idée assez claire de la C250 4MATIC. Elle présente de nombreuses qualités qui, majoritairement, remplissent nos attentes face à l’étoile, c’est bel et bien une Mercedes, mais peut-être juste un peu moins que les autres.
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