Malgré tout, l'habitacle de la B200 renferme des commodités fort intéressantes, sans parler de l'espace disponible. J'ai été étonné de voir le dégagement au niveau des jambes et de la tête, surtout aux places avant. Les Allemands sont peut-être parmi les plus grands Européens, mais même des joueurs de basket-ball n'auraient pas à se plaindre.
En outre, quand les dossiers arrière sont rabattus, l'aire de chargement à plat peut contenir 1530 litres de bagages et d'équipements. L'accès est facile grâce à la vaste ouverture du hayon. Tout ceci accroît la polyvalence et l'utilité de la B200 pour ses propriétaires.
Quatre cylindres et une CVT
Un moteur de 2,0 litres à quatre cylindres et simple arbre à cames en tête alimente la Mercedes-Benz B200. Rien dans cette description ne semble très sophistiqué, mais il n'en demeure pas moins que les accélérations sont suffisamment rapides et la performance urbaine, acceptable. Côté reprises, par contre, c'est plus laborieux. Sur l'autoroute, le petit moteur peine à assurer des dépassements efficaces malgré la présence d'une transmission à variation continue (CVT).
La B200 (version de base) que j'ai testée développait 134 chevaux à 5700 tours/minute et un couple de 136 livres-pied à 3500 tours/minute. Avec la boîte CVT, la consommation de carburant se chiffre à 9,2 L/100 km en ville et à 7,2 L/100 km sur l'autoroute au dire du constructeur, ce qui est raisonnable en conduite normale. Mon ordinateur m'indiquait une moyenne variant entre 7,6 et 8,9 L/100 km; j'étais satisfait.
(Notez que ceux qui requièrent plus de puissance ont l'option de la version turbocompressée. Dans ce cas, le rendement est de 193 chevaux à 5000 tours/minute et le couple, de 207 livres-pied à seulement 1800 tours/minute.)
Il est toutefois dommage que la petite B200 exige de l'essence super. Avec les prix à la pompe que l'on connaît présentement, la facture devient vite salée.
Excellente maniabilité
En général, la Mercedes-Benz B200 2008 est vraiment plaisante à conduire. Le premier élément qui vient compromettre l'expérience est le bruit du moteur. À l'accélération, ce dernier émet un cri plus ou moins raffiné et, disons-le, indigne d'une Mercedes. À vitesse de croisière, les choses se calment considérablement. On apprécie alors la conduite relevée, caractérisée par un roulement et une maniabilité de qualité.
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| Un moteur de 2,0 litres à quatre cylindres et simple arbre à cames en tête alimente la Mercedes-Benz B200. |
En outre, quand les dossiers arrière sont rabattus, l'aire de chargement à plat peut contenir 1530 litres de bagages et d'équipements. L'accès est facile grâce à la vaste ouverture du hayon. Tout ceci accroît la polyvalence et l'utilité de la B200 pour ses propriétaires.
Quatre cylindres et une CVT
Un moteur de 2,0 litres à quatre cylindres et simple arbre à cames en tête alimente la Mercedes-Benz B200. Rien dans cette description ne semble très sophistiqué, mais il n'en demeure pas moins que les accélérations sont suffisamment rapides et la performance urbaine, acceptable. Côté reprises, par contre, c'est plus laborieux. Sur l'autoroute, le petit moteur peine à assurer des dépassements efficaces malgré la présence d'une transmission à variation continue (CVT).
La B200 (version de base) que j'ai testée développait 134 chevaux à 5700 tours/minute et un couple de 136 livres-pied à 3500 tours/minute. Avec la boîte CVT, la consommation de carburant se chiffre à 9,2 L/100 km en ville et à 7,2 L/100 km sur l'autoroute au dire du constructeur, ce qui est raisonnable en conduite normale. Mon ordinateur m'indiquait une moyenne variant entre 7,6 et 8,9 L/100 km; j'étais satisfait.
(Notez que ceux qui requièrent plus de puissance ont l'option de la version turbocompressée. Dans ce cas, le rendement est de 193 chevaux à 5000 tours/minute et le couple, de 207 livres-pied à seulement 1800 tours/minute.)
Il est toutefois dommage que la petite B200 exige de l'essence super. Avec les prix à la pompe que l'on connaît présentement, la facture devient vite salée.
Excellente maniabilité
En général, la Mercedes-Benz B200 2008 est vraiment plaisante à conduire. Le premier élément qui vient compromettre l'expérience est le bruit du moteur. À l'accélération, ce dernier émet un cri plus ou moins raffiné et, disons-le, indigne d'une Mercedes. À vitesse de croisière, les choses se calment considérablement. On apprécie alors la conduite relevée, caractérisée par un roulement et une maniabilité de qualité.
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| La B200 exploite le système d'amortissement sélectif de Mercedes qui tient compte des conditions routières. |