Typiquement Lexus, l’ensemble des commandes semble solide, quoique certains boutons soient moins faciles d’utilisation, comme ceux du réglage de la température. La chaîne audio de série est performante, mais ignorait plusieurs de dossiers de fichiers sur ma clé USB, possiblement à cause du taux de compression que j’ai choisi pour convertir mes CD en MP3.
Les sièges arrière accommoderont deux petits enfants, quoique les baquets étroits compliquent la tâche de boucler la ceinture de ma fille sur son siège d’appoint. Le dossier arrière ne se rabat pas, et il n’y a pas de trappe d’accès au coffre non plus.
Côté dimensions, la Lexus dispose plus ou moins du même dégagement pour la tête à l’avant que les G37, Série 3 et C70. L’espace pour les jambes à l’arrière, toutefois, souffre par rapport à ses rivales, particulièrement les BMW et Volvo.
Sous le capot, la IS 250C abrite un V6 de 2,5 litres produisant 204 chevaux et qui suffit à la tâche, mais la IS 350C extirpe 306 chevaux de son V6 de 3,5 litres. Une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports arrive de série dans la 250C, alors qu’une automatique à 6 rapports est en option, mais seule cette dernière est disponible avec la 350C. Comme tous les modèles Lexus, la puissance est livrée de façon douce et linéaire, alors que le 0 à 100 km/h s’achemine en 5,9 secondes, assez bien, considérant son poids de 1 760 kg (3 880 lbs).
Pourtant, le plus gros V6 consomme de l’essence raisonnablement. Notre moyenne monte à 11,4 L/100 km avec un mélange de ville et d’autoroute.
Bien que cette décapotable découle d’une berline, on sent la IS C solide : on distingue une légère torsion de la caisse sur des routes abîmées, mais il faut porter une nette attention pour le remarquer. Le roulement de la voiture se montre à peine ferme, mais pas au point où vos occupants se plaindront.
La Lexus IS 250C est offerte à partir de 52 100 $, mais notre IS 350C coûte 60 400 $ avant d’ajouter le système de navigation optionnel à 3 900 $ ainsi que les frais de transport de 1 950 $ et la taxe du climatiseur à 100 $.
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| Le dégagement pour les jambes à l’arrière de la IS C souffre par rapport à ses rivales. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Les sièges arrière accommoderont deux petits enfants, quoique les baquets étroits compliquent la tâche de boucler la ceinture de ma fille sur son siège d’appoint. Le dossier arrière ne se rabat pas, et il n’y a pas de trappe d’accès au coffre non plus.
Côté dimensions, la Lexus dispose plus ou moins du même dégagement pour la tête à l’avant que les G37, Série 3 et C70. L’espace pour les jambes à l’arrière, toutefois, souffre par rapport à ses rivales, particulièrement les BMW et Volvo.
Sous le capot, la IS 250C abrite un V6 de 2,5 litres produisant 204 chevaux et qui suffit à la tâche, mais la IS 350C extirpe 306 chevaux de son V6 de 3,5 litres. Une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports arrive de série dans la 250C, alors qu’une automatique à 6 rapports est en option, mais seule cette dernière est disponible avec la 350C. Comme tous les modèles Lexus, la puissance est livrée de façon douce et linéaire, alors que le 0 à 100 km/h s’achemine en 5,9 secondes, assez bien, considérant son poids de 1 760 kg (3 880 lbs).
Pourtant, le plus gros V6 consomme de l’essence raisonnablement. Notre moyenne monte à 11,4 L/100 km avec un mélange de ville et d’autoroute.
Bien que cette décapotable découle d’une berline, on sent la IS C solide : on distingue une légère torsion de la caisse sur des routes abîmées, mais il faut porter une nette attention pour le remarquer. Le roulement de la voiture se montre à peine ferme, mais pas au point où vos occupants se plaindront.
La Lexus IS 250C est offerte à partir de 52 100 $, mais notre IS 350C coûte 60 400 $ avant d’ajouter le système de navigation optionnel à 3 900 $ ainsi que les frais de transport de 1 950 $ et la taxe du climatiseur à 100 $.
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| La Lexus IS 350C est offerte à partir de 52 100 $. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |