Absorber les aléas de la route revient à une paire de jambes MacPherson modifiées à l’avant et à des triangles supérieur et inférieur modifiés à l’arrière. On a choisi les deux suspensions en fonction de leur compacité. Les jambes MacPherson et la servodirection laissent plus de place sous le capot pour le moteur à essence à cycle Atkinson de 2,4 litres ainsi que pour les commandes électroniques. À l’arrière, les triangles de suspension laissent assez de place pour un coffre spacieux et une bonne ouverture qui nous permet de charger nos grosses valises.
On doit s’habituer à conduire la HS 250h en ville : la voiture carbure une grande partie du temps à l’électricité et les piétons ne l’entendent pas venir. Même lorsque le moteur à essence intervient, il y a très peu de bruit pour annoncer son arrivée.
Le stationnement demande un peu de pratique. La HS 250h ne dispose pas de capteurs de recul à moins d’opter pour l’ensemble Ultra Premium comportant un système de navigation et une caméra de recul. Même sans le système, on doit pratiquer son stationnement en parallèle environ dix minutes afin de le parfaire. La voiture est de la bonne taille pour à peu près tous les espaces.
Si vous devez composer avec un long trajet quotidien, soyez certain que les 187 chevaux (moteurs à essence et électrique combinés) sauront vous déplacer, changer de voie et accélérer sur les brettelles d’autoroute avec entrain. Lexus a doté la boîte de vitesses de trois modes. Le premier, « Power », modifie la façon dont le système réagit lorsqu’on appuie sur la pédale. Ensuite vient le mode « Normal », d’où les chiffres de consommation sont tirés. Enfin, le mode « Economy » peut améliorer la consommation d’un maximum de 7 % et s’avère idéal pour la grand-route.
Ce que j’ai remarqué derrière le volant de la HS 250h, c’est que je ne ressentais jamais de stress, ni le besoin de me battre dans la circulation. J’étais dans ma petite bulle douillette. Je n’éprouvais tout simplement pas le besoin de me dépêcher ou de pousser la voiture dans les courbes (ce que l’on peut faire allègrement si ça nous chante). Ce que j’entends par vrai plaisir de la conduire, je parle du contraire d’un sourire exaltant et des mains crispées sur le volant. C’est une expérience relaxante et rafraîchissante. Bref, cette Lexus a la cote.
Le prix de détail pour la version Premium est de 39 900$ tandis que celui de l'édition Ultra Premium est de 48 750$.
photo:Charles Renny
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| Elle ne dispose pas de capteurs de recul à moins d’opter pour l’ensemble Ultra Premium comportant un système de navigation et une caméra de recul. |
On doit s’habituer à conduire la HS 250h en ville : la voiture carbure une grande partie du temps à l’électricité et les piétons ne l’entendent pas venir. Même lorsque le moteur à essence intervient, il y a très peu de bruit pour annoncer son arrivée.
Le stationnement demande un peu de pratique. La HS 250h ne dispose pas de capteurs de recul à moins d’opter pour l’ensemble Ultra Premium comportant un système de navigation et une caméra de recul. Même sans le système, on doit pratiquer son stationnement en parallèle environ dix minutes afin de le parfaire. La voiture est de la bonne taille pour à peu près tous les espaces.
Si vous devez composer avec un long trajet quotidien, soyez certain que les 187 chevaux (moteurs à essence et électrique combinés) sauront vous déplacer, changer de voie et accélérer sur les brettelles d’autoroute avec entrain. Lexus a doté la boîte de vitesses de trois modes. Le premier, « Power », modifie la façon dont le système réagit lorsqu’on appuie sur la pédale. Ensuite vient le mode « Normal », d’où les chiffres de consommation sont tirés. Enfin, le mode « Economy » peut améliorer la consommation d’un maximum de 7 % et s’avère idéal pour la grand-route.
Ce que j’ai remarqué derrière le volant de la HS 250h, c’est que je ne ressentais jamais de stress, ni le besoin de me battre dans la circulation. J’étais dans ma petite bulle douillette. Je n’éprouvais tout simplement pas le besoin de me dépêcher ou de pousser la voiture dans les courbes (ce que l’on peut faire allègrement si ça nous chante). Ce que j’entends par vrai plaisir de la conduire, je parle du contraire d’un sourire exaltant et des mains crispées sur le volant. C’est une expérience relaxante et rafraîchissante. Bref, cette Lexus a la cote.
Le prix de détail pour la version Premium est de 39 900$ tandis que celui de l'édition Ultra Premium est de 48 750$.
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| Ce que j’ai remarqué derrière le volant de la HS 250h, c’est que je ne ressentais jamais de stress, ni le besoin de me battre dans la circulation. |
photo:Charles Renny
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