Et même si j’ai profité du mode sport à plusieurs reprises, j’ai tout de même enregistré une consommation de 5,5 litres aux 100 km à la fin de la semaine, en alternant la ville et la route. Bon, ressaisissez-vous, là, je vais vous expliquer le pourquoi du comment.
La Lexus CT 200h, avec ses 134 ch et sa CVT, se laissait tout simplement conduire en mode EV. Jamais un hybride ne m’a-t-il encouragée à utiliser le mode 100 % électrique comme cette Lexus. Dans la circulation, dans mon quartier, dans les stationnements, je l’activais dès que l’occasion se présentait.
Et pourquoi? Parce qu’il fonctionnait jusqu’à 40 km/h et que je pouvais réellement accélérer sans l’éteindre. Je n’étais pas obligée de me traîner péniblement partout. Et les transitions essence-électricité? Pratiquement impeccables. Pas d’à-coups, pas d’hésitation, juste un passage fluide. J’ai pu la conduire comme une voiture normale.
Un hybride qui se comporte comme une odieuse machine à gaz polluante? C’est là que les anges se sont mis à chanter...
Bon, pas tout à fait, mais j’étais définitivement impressionnée, et je savais à ce moment précis que j’aimais cet hybride… toute une affirmation de ma part.
Ajoutez à cette suave expérience quatre freins à disques, des jantes en alliage de 16 pouces, des sièges et un volant gainés de cuir, l’interface Bluetooth et toutes les options audio qu’on pourrait souhaiter ainsi que le système Remote Touch optionnel jumelé à un écran ACL intégré au tableau de bord, le tout à partir d’un petit peu plus de 30 000 $, et la Lexus devient autrement plus intéressante.
Et cet hybride ne brille pas plus que tout autre parce qu’il s’agit d’un modèle « de luxe », mais bien parce que la technologie est enfin devenue potable du côté de la conduite (à mon humble avis). Félicitations, Lexus, tu m’as officiellement convertie.
Voilà. Je l’ai avoué.
La Lexus CT 200h, avec ses 134 ch et sa CVT, se laissait tout simplement conduire en mode EV. Jamais un hybride ne m’a-t-il encouragée à utiliser le mode 100 % électrique comme cette Lexus. Dans la circulation, dans mon quartier, dans les stationnements, je l’activais dès que l’occasion se présentait.
Et pourquoi? Parce qu’il fonctionnait jusqu’à 40 km/h et que je pouvais réellement accélérer sans l’éteindre. Je n’étais pas obligée de me traîner péniblement partout. Et les transitions essence-électricité? Pratiquement impeccables. Pas d’à-coups, pas d’hésitation, juste un passage fluide. J’ai pu la conduire comme une voiture normale.
La Lexus CT 200h, avec ses 134 ch et sa CVT, se laissait tout simplement conduire en mode EV. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |
Un hybride qui se comporte comme une odieuse machine à gaz polluante? C’est là que les anges se sont mis à chanter...
Bon, pas tout à fait, mais j’étais définitivement impressionnée, et je savais à ce moment précis que j’aimais cet hybride… toute une affirmation de ma part.
Ajoutez à cette suave expérience quatre freins à disques, des jantes en alliage de 16 pouces, des sièges et un volant gainés de cuir, l’interface Bluetooth et toutes les options audio qu’on pourrait souhaiter ainsi que le système Remote Touch optionnel jumelé à un écran ACL intégré au tableau de bord, le tout à partir d’un petit peu plus de 30 000 $, et la Lexus devient autrement plus intéressante.
Et cet hybride ne brille pas plus que tout autre parce qu’il s’agit d’un modèle « de luxe », mais bien parce que la technologie est enfin devenue potable du côté de la conduite (à mon humble avis). Félicitations, Lexus, tu m’as officiellement convertie.
Voilà. Je l’ai avoué.