À l'instar des autres principaux salons automobiles sur le continent, la vocation du Salon international de l'auto du Canada semble avoir changé.
Alors qu'autrefois, les projecteurs étaient tournés vers les plus récents designs et prototypes, les constructeurs mettent aujourd'hui beaucoup plus d'emphase sur leurs modèles de série à venir, des véhicules qui ont passé l'étape de «si seulement la compagnie avait le guts...»
Ainsi, lorsque les gens voient le prototype de la nouvelle Camaro ou de la Challenger, ils ne disent pas: «J'espère qu'elle va voir le jour». Ils pensent plutôt: «Super! Quand arrive-t-elle sur le marché?». Bref, les grands salons de l'auto d'Amérique du Nord ne reflètent plus les rêves des dirigeants d'entreprises mais bien les demandes et les besoins des consommateurs.
Je suis donc allé à Toronto en étant excité par toutes ces voitures -- plus précisément les voitures exotiques -- qui seront bientôt à notre portée.
C'est notamment le cas de l'Audi R8. Bien qu'elle ait l'air d'une machine futuriste ayant peu de chances d'être commercialisée, la R8 débarquera bel et bien en Amérique du Nord cette année, comme un couteau qui tranche du beurre. Je dois dire que ce supercar est nettement plus beau en personne que sur photos, ce qui est aussi vrai de la nouvelle Audi TT.
Après mon arrêt chez Audi, j'ai été attiré par une autre Allemande, la Mercedes-Benz SLR Édition 722. Certes, je ne suis pas un grand fan de la SLR «de base» (son style fait piètre figure aux côtés des Italiennes), mais cette nouvelle version est une vraie bête du tonnerre. En fait, on dirait une Dodge Viper dessinée par des Allemands -- des Allemands plutôt agressifs sur les bords.
Autre voiture exotique digne de mention (et l'exception à la règle): la Shelby GR-1. J'avais déjà admiré cette merveille de l'excellence automobile à quelques reprises, mais elle arrive encore à me couper le souffle. Sa brillante carrosserie en aluminium, son capot allongé, sa posture musclée... tout relève de la magie et du fantasme. Si seulement Ford pouvait la produire...
photo:Philippe Champoux, Ray Watson
 |
| Dodge Challenger |
Alors qu'autrefois, les projecteurs étaient tournés vers les plus récents designs et prototypes, les constructeurs mettent aujourd'hui beaucoup plus d'emphase sur leurs modèles de série à venir, des véhicules qui ont passé l'étape de «si seulement la compagnie avait le guts...»
Ainsi, lorsque les gens voient le prototype de la nouvelle Camaro ou de la Challenger, ils ne disent pas: «J'espère qu'elle va voir le jour». Ils pensent plutôt: «Super! Quand arrive-t-elle sur le marché?». Bref, les grands salons de l'auto d'Amérique du Nord ne reflètent plus les rêves des dirigeants d'entreprises mais bien les demandes et les besoins des consommateurs.
Je suis donc allé à Toronto en étant excité par toutes ces voitures -- plus précisément les voitures exotiques -- qui seront bientôt à notre portée.
C'est notamment le cas de l'Audi R8. Bien qu'elle ait l'air d'une machine futuriste ayant peu de chances d'être commercialisée, la R8 débarquera bel et bien en Amérique du Nord cette année, comme un couteau qui tranche du beurre. Je dois dire que ce supercar est nettement plus beau en personne que sur photos, ce qui est aussi vrai de la nouvelle Audi TT.
Après mon arrêt chez Audi, j'ai été attiré par une autre Allemande, la Mercedes-Benz SLR Édition 722. Certes, je ne suis pas un grand fan de la SLR «de base» (son style fait piètre figure aux côtés des Italiennes), mais cette nouvelle version est une vraie bête du tonnerre. En fait, on dirait une Dodge Viper dessinée par des Allemands -- des Allemands plutôt agressifs sur les bords.
 |
| Mercedes-Benz SLR Édition 722 |
Autre voiture exotique digne de mention (et l'exception à la règle): la Shelby GR-1. J'avais déjà admiré cette merveille de l'excellence automobile à quelques reprises, mais elle arrive encore à me couper le souffle. Sa brillante carrosserie en aluminium, son capot allongé, sa posture musclée... tout relève de la magie et du fantasme. Si seulement Ford pouvait la produire...
photo:Philippe Champoux, Ray Watson