Côté souplesse, c'est justement à ce chapitre que le moteur du Mercedes s'est distingué, et ce, à tous les régimes. Mais de toute façon, avec 280 chevaux et 270 livres-pied, le V6 VQ35 de l'Infiniti met tout le monde d'accord.
En raison du caractère pointu du moteur, l'agrément de conduite du coupé RX-8 pourrait être limité si la boîte de vitesses n'était pas à la hauteur. Heureusement, il n'en est rien. Cette boîte est la plus réussie du trio : le levier est court, la course est réduite, et les engagements de rapports sont précis. De plus, l'étagement est parfait pour pouvoir tirer le meilleur parti du moteur. La boîte du C320 n'a déçu personne, mais n'a enthousiasmé personne non plus. Son étagement est bien adapté, mais on a jugé la course de l'embrayage et du levier un peu trop longue. Quant à l'Infiniti, elle était dotée de la boîte automatique à 5 rapports et à commande séquentielle. Un handicap en conduite sportive sur circuit, certes, mais mineur du fait de la rapidité du passage des rapports en mode séquentiel. De plus, le mode automatique se révèle d'une grande douceur sur route ouverte. Et de toute façon, la boîte manuelle à 6 rapports offerte est une vraie déception : commande dure et accrocheuse et étagement trop court des premiers rapports pour la conduite quotidienne.
Si le rotatif n'a cessé de s'améliorer, il n'a pourtant pas perdu son principal défaut: il consomme sans retenue en conduite sportive. Effrayant ! Par comparaison, ses deux adversaires se montrent presque raisonnables. Les consommations normalisées donnent logiquement l'avantage à la Mercedes.
Troisième séquence: danse avec les virages
Le comportement de la RX-8 était très attendu. La Mazda a tout simplement soulevé un élan d'enthousiasme. " Un pur délice ! " s'est exclamé l'un de nos essayeurs. Il faut dire qu'elle a tout pour elle : une direction rapide et précise, un centrage des masses excellent, des freins performants et endurants et un poids réduit (c'est la plus légère des trois). L'équilibre du châssis est exceptionnel, même lorsqu'on désactive le contrôle de la stabilité. Sa tenue de cap la place sans aucun doute dans le clan des vraies sportives.
En raison du caractère pointu du moteur, l'agrément de conduite du coupé RX-8 pourrait être limité si la boîte de vitesses n'était pas à la hauteur. Heureusement, il n'en est rien. Cette boîte est la plus réussie du trio : le levier est court, la course est réduite, et les engagements de rapports sont précis. De plus, l'étagement est parfait pour pouvoir tirer le meilleur parti du moteur. La boîte du C320 n'a déçu personne, mais n'a enthousiasmé personne non plus. Son étagement est bien adapté, mais on a jugé la course de l'embrayage et du levier un peu trop longue. Quant à l'Infiniti, elle était dotée de la boîte automatique à 5 rapports et à commande séquentielle. Un handicap en conduite sportive sur circuit, certes, mais mineur du fait de la rapidité du passage des rapports en mode séquentiel. De plus, le mode automatique se révèle d'une grande douceur sur route ouverte. Et de toute façon, la boîte manuelle à 6 rapports offerte est une vraie déception : commande dure et accrocheuse et étagement trop court des premiers rapports pour la conduite quotidienne.
Si le rotatif n'a cessé de s'améliorer, il n'a pourtant pas perdu son principal défaut: il consomme sans retenue en conduite sportive. Effrayant ! Par comparaison, ses deux adversaires se montrent presque raisonnables. Les consommations normalisées donnent logiquement l'avantage à la Mercedes.Troisième séquence: danse avec les virages
Le comportement de la RX-8 était très attendu. La Mazda a tout simplement soulevé un élan d'enthousiasme. " Un pur délice ! " s'est exclamé l'un de nos essayeurs. Il faut dire qu'elle a tout pour elle : une direction rapide et précise, un centrage des masses excellent, des freins performants et endurants et un poids réduit (c'est la plus légère des trois). L'équilibre du châssis est exceptionnel, même lorsqu'on désactive le contrôle de la stabilité. Sa tenue de cap la place sans aucun doute dans le clan des vraies sportives.