Le nouveau LR4 est essentiellement un LR3 bichonné. Bon, je ne le montre peut-être pas à sa juste valeur. Le LR4 est en fait l’évolution du LR3 dans le sens où il a remonté la gamme et se rapproche plus que jamais du Range Rover trônant au sommet.
Les divergences visuelles entre les LR se limitent à la calandre, au pare-choc avant et aux phares renouvelés. Les feux arrière ainsi que les phares contiennent désormais des DEL, qui font fureur en ce moment. L’habitacle est grandement amélioré par rapport aux modèles précédents, profitant de matériaux et d’une finition encore plus somptueux. L’aménagement du tableau de bord et l’ergonomie ont subi le même traitement, les commandes du système infoloisirs étant remplacées par un écran tactile plus convivial. On a revu les sièges de première et deuxième rangée, et de nouvelles couleurs intérieures sont également au menu.
Les changements les plus évidents ne sont pas visibles en tant que tel, mais immédiatement perceptibles. On a largué le sous-puissant, surconsommant V6 de 4 litres. Le V8 de 4,4 litres précédent a été remplacé par un nouveau modèle de 5 litres qui porte la puissance presque au niveau du 4,2 litres suralimenté animant auparavant les Range Rover. Produisant 375 ch et autant de couple, le LR4 atteint 100 km/h en 7,9 secondes, seulement 7 dixièmes moins vite que la version Sport suralimentée. Puisque cette motorisation est partagée avec Jaguar, on peut s’attendre à une version suralimentée dans un avenir rapproché qui devrait développer plus de 500 ch.
Le LR4 profite d’une batterie de nouvelles technologies et commodités variant d’un alternateur intelligent qui interrompt la recharge de la batterie pendant que le véhicule accélère (un des nombreux trucs améliorant la consommation) à un réseau de cinq caméras surveillant la route autour du véhicule.
Le comportement routier devrait être enrichi d’importants organes mécaniques, tels les freins, la direction et la suspension étant entièrement retravaillés. Cela, évidemment pas au détriment des légendaires compétences hors route du Land Rover, le LR4 conservant la suspension pneumatique réglable et le système Terrain Response. Ce dernier gère tous les dispositifs d’assistance au freinage, à la stabilité, à la montée et la descente de pentes, permettant au Land Rover d’escalader tout, sauf la Grande Muraille de Chine.
Les prix du nouveau LR4 commencent à 59 990 $, une augmentation de 6 000 $ par rapport au LR3 sortant, ce qui est raisonnable, vu l’amélioration des attributs et l’apport de puissance. Les options varient entre des rails de toit à 180 $ à l’ensemble HSE LUX à sept places à 10 800 $. Le LR4 est déjà arrivé chez les concessionnaires.
photo:Land Rover
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Les divergences visuelles entre les LR se limitent à la calandre, au pare-choc avant et aux phares renouvelés. Les feux arrière ainsi que les phares contiennent désormais des DEL, qui font fureur en ce moment. L’habitacle est grandement amélioré par rapport aux modèles précédents, profitant de matériaux et d’une finition encore plus somptueux. L’aménagement du tableau de bord et l’ergonomie ont subi le même traitement, les commandes du système infoloisirs étant remplacées par un écran tactile plus convivial. On a revu les sièges de première et deuxième rangée, et de nouvelles couleurs intérieures sont également au menu.
Les changements les plus évidents ne sont pas visibles en tant que tel, mais immédiatement perceptibles. On a largué le sous-puissant, surconsommant V6 de 4 litres. Le V8 de 4,4 litres précédent a été remplacé par un nouveau modèle de 5 litres qui porte la puissance presque au niveau du 4,2 litres suralimenté animant auparavant les Range Rover. Produisant 375 ch et autant de couple, le LR4 atteint 100 km/h en 7,9 secondes, seulement 7 dixièmes moins vite que la version Sport suralimentée. Puisque cette motorisation est partagée avec Jaguar, on peut s’attendre à une version suralimentée dans un avenir rapproché qui devrait développer plus de 500 ch.
Le LR4 profite d’une batterie de nouvelles technologies et commodités variant d’un alternateur intelligent qui interrompt la recharge de la batterie pendant que le véhicule accélère (un des nombreux trucs améliorant la consommation) à un réseau de cinq caméras surveillant la route autour du véhicule.
Le comportement routier devrait être enrichi d’importants organes mécaniques, tels les freins, la direction et la suspension étant entièrement retravaillés. Cela, évidemment pas au détriment des légendaires compétences hors route du Land Rover, le LR4 conservant la suspension pneumatique réglable et le système Terrain Response. Ce dernier gère tous les dispositifs d’assistance au freinage, à la stabilité, à la montée et la descente de pentes, permettant au Land Rover d’escalader tout, sauf la Grande Muraille de Chine.
Les prix du nouveau LR4 commencent à 59 990 $, une augmentation de 6 000 $ par rapport au LR3 sortant, ce qui est raisonnable, vu l’amélioration des attributs et l’apport de puissance. Les options varient entre des rails de toit à 180 $ à l’ensemble HSE LUX à sept places à 10 800 $. Le LR4 est déjà arrivé chez les concessionnaires.
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