Pas seulement du style
Mais le Kia Sportage, ce n’est pas seulement du style, c’est aussi de la polyvalence. Car ne l’oublions pas, il demeure un utilitaire sport bien aménagé et pratique.
De ce côté, le confort des sièges pour tous les occupants est presque sans reproche, et même la banquette arrière propose suffisamment d’espace pour deux adultes de toute taille, auxquels on peut sans hésiter ajouter un enfant.
Quant à la liste d’équipement de ma version EX, elle est plutôt longue et comprend bien entendu toutes les formes de connectivité (iPod, Bluetooth, etc.), en plus d’un système de son dont la sonorité, sans imiter celle d’une salle de concert, équivaut aux ténors de la catégorie.
La caméra de recul, sièges chauffants et autres gâteries sont aussi de mise, mais évidemment il faut en payer le prix à l’achat.
Enfin, un bon mot sur l’espace de chargement, pas nécessairement parmi les plus grands à la base, qui s’agrandit quand même à plus de 2200 litres en abaissant simplement la banquette arrière. Après tout, un utilitaire doit aussi se montrer pratique.
Utilitaire mais pas sport
Le seul inconvénient, pourtant mince, du Kia Sportage, c’est sa consommation qu’on souhaiterait plus économique. Le petit moteur 4 cylindres 2,4 litres démène ses 176 chevaux avec vigueur, et se montre à la hauteur, mais donne parfois l’impression de travailler inutilement.
La boîte automatique à six rapports, et la transmission intégrale font en général un bon boulot, réagissant avec une rapidité plus qu’agréable, mais insuffisante pour répondre aux exigences du moteur.
Tant et si bien en fait que je n’ai pu faire mieux qu’une consommation supérieure à 10 litres aux 100 km, et cela sans véritablement excéder les limites du véhicule.
La Kia Sportage est donc un exercice de style remarquable, et un petit véhicule tout à fait pratique.
Mais le Kia Sportage, ce n’est pas seulement du style, c’est aussi de la polyvalence. Car ne l’oublions pas, il demeure un utilitaire sport bien aménagé et pratique.
De ce côté, le confort des sièges pour tous les occupants est presque sans reproche, et même la banquette arrière propose suffisamment d’espace pour deux adultes de toute taille, auxquels on peut sans hésiter ajouter un enfant.
Quant à la liste d’équipement de ma version EX, elle est plutôt longue et comprend bien entendu toutes les formes de connectivité (iPod, Bluetooth, etc.), en plus d’un système de son dont la sonorité, sans imiter celle d’une salle de concert, équivaut aux ténors de la catégorie.
La caméra de recul, sièges chauffants et autres gâteries sont aussi de mise, mais évidemment il faut en payer le prix à l’achat.
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| Un bon mot sur l’espace de chargement, qui s’agrandit quand même à plus de 2200 litres en abaissant simplement la banquette arrière. (Photo: Kia) |
Enfin, un bon mot sur l’espace de chargement, pas nécessairement parmi les plus grands à la base, qui s’agrandit quand même à plus de 2200 litres en abaissant simplement la banquette arrière. Après tout, un utilitaire doit aussi se montrer pratique.
Utilitaire mais pas sport
Le seul inconvénient, pourtant mince, du Kia Sportage, c’est sa consommation qu’on souhaiterait plus économique. Le petit moteur 4 cylindres 2,4 litres démène ses 176 chevaux avec vigueur, et se montre à la hauteur, mais donne parfois l’impression de travailler inutilement.
La boîte automatique à six rapports, et la transmission intégrale font en général un bon boulot, réagissant avec une rapidité plus qu’agréable, mais insuffisante pour répondre aux exigences du moteur.
Tant et si bien en fait que je n’ai pu faire mieux qu’une consommation supérieure à 10 litres aux 100 km, et cela sans véritablement excéder les limites du véhicule.
La Kia Sportage est donc un exercice de style remarquable, et un petit véhicule tout à fait pratique.
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