Beaucoup de puissance, pas autant de raffinement
Bref, l’Optima Hybride est très musclée, mais pas aussi recherchée que les versions hybrides de la Fusion et la Camry. Je ne peux mettre le doigt dessus précisément, néanmoins le fonctionnement de l’Optima semble moins coulé que celui de ses deux rivales.
On dirait que les choses se produisent au hasard et inexplicablement. Le moteur à essence, par exemple, s’allume et tourne à différentes vitesses sans raison apparente. Ce moulin n’a pas la discrétion d’autres, ce qui accentue peut-être l’impression qu’il fait à sa tête.
Seulement comprenez-moi bien : cette indépendance ne se traduit pas par de la propulsion indésirable pour autant.
Le moteur recharge évidemment le bloc de batteries en plus de mouvoir le véhicule, donc rien de fâcheux à cet égard. On dirait simplement qu’il s’active davantage que celui de ses grandes rivales. Peu importe, l’Optima Hybride s’avère très douée dans d’autres domaines, surtout celui de la consommation.
En effet, sa cote de consommation s’élève à 5,6 L et 4,9 L/100 km en ville et sur la route, respectivement. Des chiffres impressionnants, et à peu près les meilleurs pour un modèle intermédiaire. Ma consommation réelle variait entre plus de 5 L/100 km et quelques 7 L/100 km. Les pentes et tout ce qui n’est pas effleurement de la pédale minent rapidement ce rendement, toutefois.
Fait intéressant, l’Optima Hybride vient d’établir un nouveau record Guinness pour la plus faible consommation chez un véhicule hybride à essence, ayant brûlé en moyenne 3,6 L/100 km en voyageant dans les 48 États américains contigus. Tout un exploit, et tout un pied léger!
L’expérience de conduite
Une fois la technologie hybride apprivoisée, le vrai charme de la voiture émerge. Il s’agit d’une machine silencieuse qui livre une tenue de route vive et une expérience honnête et bien maîtrisée. La suspension est un tantinet plus ferme que celle de la Fusion Hybride, bien qu’accommodante quand il le faut, sans compromettre les prouesses de l’Optima en virage.
La direction paraît légèrement élastique et un peu bizarre au début. Je préfère moins de résistance dans ce genre de véhicule, mais bon, c’est une question de goût. Par ailleurs, le système de freinage par récupération n’affecte pas les performances musclées des freins.
Malheureusement, la banquette arrière ne se rabat pas complètement pour accéder au coffre depuis l’habitacle, vu l’emplacement du bloc de batteries. Celui-ci réduit légèrement la taille du coffre aussi.
Bref, l’Optima Hybride est très musclée, mais pas aussi recherchée que les versions hybrides de la Fusion et la Camry. Je ne peux mettre le doigt dessus précisément, néanmoins le fonctionnement de l’Optima semble moins coulé que celui de ses deux rivales.
On dirait que les choses se produisent au hasard et inexplicablement. Le moteur à essence, par exemple, s’allume et tourne à différentes vitesses sans raison apparente. Ce moulin n’a pas la discrétion d’autres, ce qui accentue peut-être l’impression qu’il fait à sa tête.
Seulement comprenez-moi bien : cette indépendance ne se traduit pas par de la propulsion indésirable pour autant.
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| Sa cote de consommation s’élève à 5,6 L et 4,9 L/100 km en ville et sur la route, respectivement. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Le moteur recharge évidemment le bloc de batteries en plus de mouvoir le véhicule, donc rien de fâcheux à cet égard. On dirait simplement qu’il s’active davantage que celui de ses grandes rivales. Peu importe, l’Optima Hybride s’avère très douée dans d’autres domaines, surtout celui de la consommation.
En effet, sa cote de consommation s’élève à 5,6 L et 4,9 L/100 km en ville et sur la route, respectivement. Des chiffres impressionnants, et à peu près les meilleurs pour un modèle intermédiaire. Ma consommation réelle variait entre plus de 5 L/100 km et quelques 7 L/100 km. Les pentes et tout ce qui n’est pas effleurement de la pédale minent rapidement ce rendement, toutefois.
Fait intéressant, l’Optima Hybride vient d’établir un nouveau record Guinness pour la plus faible consommation chez un véhicule hybride à essence, ayant brûlé en moyenne 3,6 L/100 km en voyageant dans les 48 États américains contigus. Tout un exploit, et tout un pied léger!
L’expérience de conduite
Une fois la technologie hybride apprivoisée, le vrai charme de la voiture émerge. Il s’agit d’une machine silencieuse qui livre une tenue de route vive et une expérience honnête et bien maîtrisée. La suspension est un tantinet plus ferme que celle de la Fusion Hybride, bien qu’accommodante quand il le faut, sans compromettre les prouesses de l’Optima en virage.
La direction paraît légèrement élastique et un peu bizarre au début. Je préfère moins de résistance dans ce genre de véhicule, mais bon, c’est une question de goût. Par ailleurs, le système de freinage par récupération n’affecte pas les performances musclées des freins.
Malheureusement, la banquette arrière ne se rabat pas complètement pour accéder au coffre depuis l’habitacle, vu l’emplacement du bloc de batteries. Celui-ci réduit légèrement la taille du coffre aussi.
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| La suspension est un tantinet plus ferme que celle de la Fusion Hybride, bien qu’accommodante quand il le faut. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |