Boîte « 6 »
La puissance parvient aux roues motrices par l'intermédiaire d'une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports. Montée d'office, elle comporte des rapports longs, et son levier requiert un maniement préférablement doux, chose que les amateurs de tout-terrain reconnaîtront. D'ailleurs, personne ne cherchera à battre un record d'accélération avec ce 4 x 4. Passer de 0 à 100 km/h en plus de 11 secondes n'inspire pas un comportement de coursier. Non. On tire plus d'agrément de ce véhicule en essayant de franchir une longue mare de boue sans s'y embourber !
Jeep propose également une boîte de vitesses automatique à 4 rapports parmi les options des trois versions. Elle n'a rien de sophistiqué mais, selon le constructeur, les connaisseurs apprécient ses vertus.
Le constructeur se gargarise des nombreuses améliorations apportées au véhicule par rapport au modèle qu'il remplace : entre autres, son châssis à longerons dont la rigidité structurelle aurait crû de 100 %, et sa carrosserie, de 50 %; les voies élargies (+9 centimètres), la carrosserie plus longue (+5 centimètres) et plus large (+14 centimètres).
Vivre à... l'étroit
Si l'absence relative de bruits et de vibrations parasites semble confirmer l'amélioration de la rigidité structurelle du véhicule, les centimètres gagnés en longueur et en largeur, eux, ne laissent pas de traces. À bord du Wrangler, on se sent à l'étroit, comme dans un TJ, un sentiment propre à ce véhicule.
L'accès à bord demeure aussi exigeant. On doit littéralement « grimper » à bord du Wrangler pour y prendre place. De toute façon, ne l'achète-t-on pas pour sa garde au sol élevée qui lui permet de franchir les obstacles qui immobiliseraient tout autre véhicule ?
La banquette arrière demeure symbolique. Y accéder requiert l'agilité d'un gymnaste. De plus, le dégagement pour les jambes et les pieds ne convient qu'à de jeunes enfants. Ça aussi, quand on connaît le véhicule, on le sait...
« Mieux » qu'une MX-5!
À l'arrière, une large porte donne accès à une toute petite aire à bagages. Forte de 190 litres, elle dépasse à peine le volume du coffre d'une Mazda MX-5 (150 litres). Si la banquette arrière est occupée par des passagers (les pauvres !), il faudra penser « bikini et brosse à dents » si l'on part en voyage.
Ouvrir cette porte très large sur laquelle repose le pneu de secours, requiert aussi un important dégagement derrière le véhicule. De plus, puisque cette porte ne dispose d'aucun mécanisme de retenue, si le véhicule est garé en pente, une fois ouverte il sera nécessaire de la retenir pour éviter qu'elle ne se referme.
La puissance parvient aux roues motrices par l'intermédiaire d'une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports. Montée d'office, elle comporte des rapports longs, et son levier requiert un maniement préférablement doux, chose que les amateurs de tout-terrain reconnaîtront. D'ailleurs, personne ne cherchera à battre un record d'accélération avec ce 4 x 4. Passer de 0 à 100 km/h en plus de 11 secondes n'inspire pas un comportement de coursier. Non. On tire plus d'agrément de ce véhicule en essayant de franchir une longue mare de boue sans s'y embourber !
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| Le maniement de la boîte de vitesses manuelle à 6 rapports requiert un certain doigté. |
Jeep propose également une boîte de vitesses automatique à 4 rapports parmi les options des trois versions. Elle n'a rien de sophistiqué mais, selon le constructeur, les connaisseurs apprécient ses vertus.
Le constructeur se gargarise des nombreuses améliorations apportées au véhicule par rapport au modèle qu'il remplace : entre autres, son châssis à longerons dont la rigidité structurelle aurait crû de 100 %, et sa carrosserie, de 50 %; les voies élargies (+9 centimètres), la carrosserie plus longue (+5 centimètres) et plus large (+14 centimètres).
Vivre à... l'étroit
Si l'absence relative de bruits et de vibrations parasites semble confirmer l'amélioration de la rigidité structurelle du véhicule, les centimètres gagnés en longueur et en largeur, eux, ne laissent pas de traces. À bord du Wrangler, on se sent à l'étroit, comme dans un TJ, un sentiment propre à ce véhicule.
L'accès à bord demeure aussi exigeant. On doit littéralement « grimper » à bord du Wrangler pour y prendre place. De toute façon, ne l'achète-t-on pas pour sa garde au sol élevée qui lui permet de franchir les obstacles qui immobiliseraient tout autre véhicule ?
La banquette arrière demeure symbolique. Y accéder requiert l'agilité d'un gymnaste. De plus, le dégagement pour les jambes et les pieds ne convient qu'à de jeunes enfants. Ça aussi, quand on connaît le véhicule, on le sait...
« Mieux » qu'une MX-5!
À l'arrière, une large porte donne accès à une toute petite aire à bagages. Forte de 190 litres, elle dépasse à peine le volume du coffre d'une Mazda MX-5 (150 litres). Si la banquette arrière est occupée par des passagers (les pauvres !), il faudra penser « bikini et brosse à dents » si l'on part en voyage.
Ouvrir cette porte très large sur laquelle repose le pneu de secours, requiert aussi un important dégagement derrière le véhicule. De plus, puisque cette porte ne dispose d'aucun mécanisme de retenue, si le véhicule est garé en pente, une fois ouverte il sera nécessaire de la retenir pour éviter qu'elle ne se referme.
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| La présence d'un caisson de graves restreint l'aire de chargement déjà très minime. |