Dégagement pour les pieds recherché
À l'intérieur du Liberty, le design général est agréable, mais le tableau de bord et les panneaux de porte sont moulés dans un plastique bon marché. Le levier de vitesses semble sorti tout droit d'un Cherokee Chief 1978. Et pourtant, les boutons montés dans les portes sont quasi identiques à ceux de Mercedes-Benz, tandis que les commandes de chauffage et de ventilation sont des plus conviviales, tout comme la chaîne audio.
Les sièges ont des coussins plutôt courts, et leur rembourrage vous ankylose les jambes au bout d'une demi-heure. La plus grosse plainte va au manque d'espace pour les jambes, particulièrement à l'avant. C'est très étroit pour les pieds; il n'y a pas de repose-pieds pour le conducteur. Une fois qu'on a relâché la pédale d'embrayage, on ne sait pas où placer notre pied gauche. Les tapis protecteurs sont aussi gros que les napperons sur ma table de cuisine.
Les seuils de porte sont larges, ce qui complique la sortie du véhicule; on a remarqué le même problème avec d'autres produits Chrysler. L'aire de chargement a un compartiment de rangement pratique sous le plancher, mais il n'est pas très profond; c'est mieux pour entreposer des objets sales afin d'éviter de tacher la moquette. Et avec l'ensemble de remorquage offert en option, le Liberty peut tirer jusqu'à 2 268 kilos (5 000 livres).
Superbe toit ouvrant
La forme du Liberty est purement Jeep; on ne le confondra pas avec un véhicule d'une autre marque. Il a l'air de la progéniture du Commander et du Patriot. La lunette s'ouvre séparément du hayon, ce qui est pratique. Les rétroviseurs extérieurs pourraient être plus gros.
Offert en option, le toit panoramique Sky Slider est magnifique, puisqu'il s'ouvre du pare-brise jusqu'à l'arrière du VUS. Donc, tous les passagers peuvent profiter du soleil ou prendre une douche collective, selon leurs désirs. Durant le test, le toit semble hermétique, et l'habitacle ne semble pas vraiment plus bruyant à haute vitesse. Je n'ai qu'une seule inquiétude : dans quel état trouverons-nous la mécanique et le matériel du toit dans dix ans.
À l'intérieur du Liberty, le design général est agréable, mais le tableau de bord et les panneaux de porte sont moulés dans un plastique bon marché. Le levier de vitesses semble sorti tout droit d'un Cherokee Chief 1978. Et pourtant, les boutons montés dans les portes sont quasi identiques à ceux de Mercedes-Benz, tandis que les commandes de chauffage et de ventilation sont des plus conviviales, tout comme la chaîne audio.
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| À l'intérieur du Liberty, le design général est agréable. |
Les sièges ont des coussins plutôt courts, et leur rembourrage vous ankylose les jambes au bout d'une demi-heure. La plus grosse plainte va au manque d'espace pour les jambes, particulièrement à l'avant. C'est très étroit pour les pieds; il n'y a pas de repose-pieds pour le conducteur. Une fois qu'on a relâché la pédale d'embrayage, on ne sait pas où placer notre pied gauche. Les tapis protecteurs sont aussi gros que les napperons sur ma table de cuisine.
Les seuils de porte sont larges, ce qui complique la sortie du véhicule; on a remarqué le même problème avec d'autres produits Chrysler. L'aire de chargement a un compartiment de rangement pratique sous le plancher, mais il n'est pas très profond; c'est mieux pour entreposer des objets sales afin d'éviter de tacher la moquette. Et avec l'ensemble de remorquage offert en option, le Liberty peut tirer jusqu'à 2 268 kilos (5 000 livres).
Superbe toit ouvrant
La forme du Liberty est purement Jeep; on ne le confondra pas avec un véhicule d'une autre marque. Il a l'air de la progéniture du Commander et du Patriot. La lunette s'ouvre séparément du hayon, ce qui est pratique. Les rétroviseurs extérieurs pourraient être plus gros.
Offert en option, le toit panoramique Sky Slider est magnifique, puisqu'il s'ouvre du pare-brise jusqu'à l'arrière du VUS. Donc, tous les passagers peuvent profiter du soleil ou prendre une douche collective, selon leurs désirs. Durant le test, le toit semble hermétique, et l'habitacle ne semble pas vraiment plus bruyant à haute vitesse. Je n'ai qu'une seule inquiétude : dans quel état trouverons-nous la mécanique et le matériel du toit dans dix ans.
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| La lunette s'ouvre séparément du hayon, ce qui est pratique. |