5 — La nouvelle boîte de vitesse
Infiniti a pris une très bonne décision en laissant de côté la transmission à variation continue pour faire appel à une boîte de vitesse traditionnelle pour le passage à cette deuxième génération. Lorsque le JX avait été présenté en 2013 (il avait été rebaptisé QX60 à sa deuxième année, en 2014), c’est LA chose qui avait déçu tout le monde.
Qu’on se comprenne bien. On ne tape pas ici sur l’efficacité de la technologie, mais pour l’expérience derrière le volant, ça ne cadre pas avec celle qu’on attend d’un produit de luxe.
Puis, au passage, pour ceux qui en auront besoin, la nouvelle boîte fait passer la capacité de remorquage de 5000 à 6000 livres.
6 — L’expérience à bord
C’est de loin le point fort du QX60. On profite à l’intérieur d’un environnement de bonne facture. En fait, c’est toute la conception qui se place à l’abri de basses critiques. La qualité des matériaux passe le test, tout comme le design de la planche de bord et de la console centrale. La convivialité est au rendez-vous avec des commandes faciles à utiliser. Et non, il n’est pas nécessaire d’aller dans les menus du système de navigation pour régler moult fonctions usuelles comme l’intensité de la ventilation.
Quant à l’interface multimédia, elle fait ce qu’elle a à faire, soit nous offrir toute la connectivité possible en nous laissant le choix de jouer le jeu ou non (par exemple l’option de se brancher à Internet).
À l’arrière, le volume est généreux à la deuxième rangée et l’accès à la troisième est toujours facilité par le fait qu’on peut glisser les sièges de type capitaine vers l’avant pour se libérer de l’espace. Ce n’est pas parfait, mais on a maximisé l’espace à la disposition.
La qualité d’assemblage est peut-être l’élément qui demeure le plus à travailler, mais dans l’ensemble, les remontrances à propos de l’habitacle sont rares.