Plus tôt cette semaine-là, on a également planifié un voyage au zoo avec un couple d’amis et leur fille. Avec sept personnes à bord, deux glacières, une poussette et deux autres sacs, personne ne s’est plaint d’un manque d’espace ou d’oxygène. La banquette de troisième rangée est assez spacieuse pour trois enfants, quoique fixer trois sièges d’appoint soit un défi. Deux adultes seront à l’aise pour des courts voyages, et accéder à cette banquette s’avère relativement facile.
Le système de navigation équipant de série le QX profite d’une disposition de commandes améliorée ainsi que des graphiques agréables à l’œil. La carte semble être en retard d’environ 200 pieds, toutefois : les intersections que je traversais s’approchaient toujours à l’écran, alors je devais ajuster mes habilités de navigation en conséquence. J’assume qu’on s’y habitue après un bout de temps, mais plusieurs jurons ont été prononcés, ce qui n’est pas si grave compte tenu que les enfants portaient leurs casques d’écoute…
Autrement, l’habitacle de cet Infiniti enveloppe ses occupants de cuir souple, de boiseries foncées et de commandes intuitives. Les sièges avant sont ventilés et chauffants, alors que les places latérales dans la deuxième banquette sont chauffantes également. Il y a plein de porte-gobelets et de points de rangement pour les longs voyages, même dans la troisième rangée.
Comme le QX56 précédent, le modèle 2011 redessiné utilise un V8 de 5,6 litres à 32 soupapes. Cependant, une mise à niveau, incluant l’ajout de l’injection directe, fait grimper la puissance à 400 chevaux et un couple de 413 livres-pied, donc 80 étalons supplémentaires. Jumelé à une boîte automatique à 7 rapports, le nouveau QX boucle le 0-100 km/h en 7 secondes : il aurait pu être plus rapide si la boîte réagissait plus rapidement aux demandes d’accélération à plein régime.
Pas qu’un accélérateur plus nerveux soit mieux, faut-il le préciser, puisque le QX effectue ses passages de rapports en douceur et étale sa puissance de façon très linéaire. On ne bouscule pas un lutteur Sumo.
Les performances en freinage du QX méritent des éloges. Le VUS ne requiert que 43 mètres pour passer de 100 à 0 km/h, ce qui est impressionnant pour un véhicule haut sur pattes de 2 654 kilos. Un bon lutteur Sumo doit être solide sur pattes afin d’éviter de se faire pousser hors du l’arène.
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| Même avec sept personnes et leur sacs à bord, il y a amplement d’espace. (Photo: Michel Deslauriers/Auto123.com) |
Le système de navigation équipant de série le QX profite d’une disposition de commandes améliorée ainsi que des graphiques agréables à l’œil. La carte semble être en retard d’environ 200 pieds, toutefois : les intersections que je traversais s’approchaient toujours à l’écran, alors je devais ajuster mes habilités de navigation en conséquence. J’assume qu’on s’y habitue après un bout de temps, mais plusieurs jurons ont été prononcés, ce qui n’est pas si grave compte tenu que les enfants portaient leurs casques d’écoute…
Autrement, l’habitacle de cet Infiniti enveloppe ses occupants de cuir souple, de boiseries foncées et de commandes intuitives. Les sièges avant sont ventilés et chauffants, alors que les places latérales dans la deuxième banquette sont chauffantes également. Il y a plein de porte-gobelets et de points de rangement pour les longs voyages, même dans la troisième rangée.
Comme le QX56 précédent, le modèle 2011 redessiné utilise un V8 de 5,6 litres à 32 soupapes. Cependant, une mise à niveau, incluant l’ajout de l’injection directe, fait grimper la puissance à 400 chevaux et un couple de 413 livres-pied, donc 80 étalons supplémentaires. Jumelé à une boîte automatique à 7 rapports, le nouveau QX boucle le 0-100 km/h en 7 secondes : il aurait pu être plus rapide si la boîte réagissait plus rapidement aux demandes d’accélération à plein régime.
Pas qu’un accélérateur plus nerveux soit mieux, faut-il le préciser, puisque le QX effectue ses passages de rapports en douceur et étale sa puissance de façon très linéaire. On ne bouscule pas un lutteur Sumo.
Les performances en freinage du QX méritent des éloges. Le VUS ne requiert que 43 mètres pour passer de 100 à 0 km/h, ce qui est impressionnant pour un véhicule haut sur pattes de 2 654 kilos. Un bon lutteur Sumo doit être solide sur pattes afin d’éviter de se faire pousser hors du l’arène.
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| Le QX56 dispose maintenant de 400 chevaux et d’un couple de 413 livres-pied, bon pour un 0-100 km/h de 7 secondes. (Photo: Michel Deslauriers/Auto123.com) |