Et je n’ai même pas parlé de la chaîne audio. L’héroïque chaîne Bose propose deux haut-parleurs fixés aux sièges avant libérant un son ambiophonique. On trouve même le système « Forest Air » qui diffuse occasionnellement une douce brise d’air ionisé, infusant l’habitacle de fraîcheur forestière.
Beaucoup d’espace, trop d’avertisseurs
Sur le plan fonctionnel, l’habitacle de la M offre beaucoup d’espace pour 4 personnes dans toutes les directions ainsi qu’un aménagement relativement simple pour ses dizaines de commandes. Les avertisseurs du genre « vous quittez votre voie », « vous êtes sur le point d’accrocher la Taurus » et « vous allez emboutir quelqu’un, nono », sont tous inclus… mais on peut les désactiver au besoin.
Le bruit du vent et de la route est bien étouffé, et en gros, l’habitacle de la M se révèle un endroit très relaxant et luxueux où il fait bon vivre et respirer.
Un moteur démentiel
Un contraste merveilleusement divertissant arrive sous forme d’un formidable V8 à injection directe de 5,6 litres et 420 ch, qui vient troubler la tranquillité intérieure à coup de rugissements virils sur demande.
Le moteur fait frémir la bête au démarrage et fait frissonner la M sur sa suspension d’un demi-pouce environ lorsqu’on enfonce le gaz au neutre. De plus, après avoir rapidement mis la M56x en branle, votre chroniqueur a eu fort à faire pour se remémorer une autre voiture automatique si pressée de partir follement en trombe à la moindre pression de l’accélérateur.
Quand le moteur haut de gamme s’approche de sa ligne rouge à 6 500 tours, l’accélération folle semble d’autant plus inappropriée qu’elle est encaissée dans un cockpit si raffiné. Un plus petit V6 est offert, pour ceux qui s’inquiètent de la consommation et des contraventions.
Le mode manuel de la boîte à sept rapports est rapide et sensible, mais si on laisse le levier en « D », l’énorme moulin tire paisiblement sans franchir les 2 000 tours.
 |
| L’héroïque chaîne Bose propose deux haut-parleurs fixés aux sièges avant libérant un son ambiophonique. (Photo: Infiniti) |
Beaucoup d’espace, trop d’avertisseurs
Sur le plan fonctionnel, l’habitacle de la M offre beaucoup d’espace pour 4 personnes dans toutes les directions ainsi qu’un aménagement relativement simple pour ses dizaines de commandes. Les avertisseurs du genre « vous quittez votre voie », « vous êtes sur le point d’accrocher la Taurus » et « vous allez emboutir quelqu’un, nono », sont tous inclus… mais on peut les désactiver au besoin.
Le bruit du vent et de la route est bien étouffé, et en gros, l’habitacle de la M se révèle un endroit très relaxant et luxueux où il fait bon vivre et respirer.
Un moteur démentiel
Un contraste merveilleusement divertissant arrive sous forme d’un formidable V8 à injection directe de 5,6 litres et 420 ch, qui vient troubler la tranquillité intérieure à coup de rugissements virils sur demande.
Le moteur fait frémir la bête au démarrage et fait frissonner la M sur sa suspension d’un demi-pouce environ lorsqu’on enfonce le gaz au neutre. De plus, après avoir rapidement mis la M56x en branle, votre chroniqueur a eu fort à faire pour se remémorer une autre voiture automatique si pressée de partir follement en trombe à la moindre pression de l’accélérateur.
Quand le moteur haut de gamme s’approche de sa ligne rouge à 6 500 tours, l’accélération folle semble d’autant plus inappropriée qu’elle est encaissée dans un cockpit si raffiné. Un plus petit V6 est offert, pour ceux qui s’inquiètent de la consommation et des contraventions.
Le mode manuel de la boîte à sept rapports est rapide et sensible, mais si on laisse le levier en « D », l’énorme moulin tire paisiblement sans franchir les 2 000 tours.
 |
| Un contraste merveilleusement divertissant arrive sous forme d’un formidable V8 à injection directe de 5,6 litres et 420 ch. (Photo: Infiniti) |