Le groupe motopropulseur a déjà fait ses preuves avec la Hyundai Genesis. Il a toutefois été retravaillé afin de pouvoir générer 10 chevaux supplémentaires. Une pression ferme sur l’accélérateur entraîne une poussée plus explosive que ce à quoi je m’attendais compte tenu du gabarit de l’Equus. Elle peut vraiment déplacer beaucoup d’air, autant au décollage que dans la voie de dépassement. Attendez-vous à un chrono d’environ 6,5 secondes pour le 0-100 km/h.
Détail d’importance : pour le moment, l’Equus ne propose qu’un système d’entraînement à roues motrices arrière. Hyundai demeure assez vague quant à la disponibilité éventuelle d’une traction intégrale.
Douce et efficace
Il est clair que la compagnie a voulu faire de cette grande berline un nuage de confort. Sa structure reste solide en tout temps et elle peut absorber les plus gros chocs en douceur. Un mode Sport contrôlé par le conducteur permet de raffermir légèrement la suspension afin de rehausser la tenue de route.
Honnêtement, je n’ai jamais senti le besoin de m’en servir, même dans les sections les plus tortueuses de la Californie. Pourtant, je me suis montré intraitable à l’endroit de l’Equus. En revanche, j’ai trouvé la direction un peu artificielle. Celles des Allemandes offrent en majorité un feedback beaucoup plus clair et donnent au pilote l’impression de s’impliquer plus activement dans la conduite.
Dans l’ensemble, l’Equus demeure une excellente grande routière, que l’on file à vive allure sur une longue ligne droite ou qu’on négocie intensément une série d’épingles en montagne.
Déliciuus Equus
Plusieurs aspects de la nouvelle Hyundai Equus 2011 en font un régal et un choix judicieux pour tous les amateurs de grand luxe. Ces personnes mettront la main sur une voiture hautement compétente qui n’a pas peur d’affronter les gros canons de la catégorie… en plus de sauver des dizaines de milliers de dollars et de pouvoir les investir ailleurs.
Un traitement royal les attend. Et avec l’Equus, le fabricant coréen pourra peut-être lui-même prétendre au trône un de ces jours.
Détail d’importance : pour le moment, l’Equus ne propose qu’un système d’entraînement à roues motrices arrière. Hyundai demeure assez vague quant à la disponibilité éventuelle d’une traction intégrale.
Douce et efficace
Il est clair que la compagnie a voulu faire de cette grande berline un nuage de confort. Sa structure reste solide en tout temps et elle peut absorber les plus gros chocs en douceur. Un mode Sport contrôlé par le conducteur permet de raffermir légèrement la suspension afin de rehausser la tenue de route.
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| L’Equus demeure une excellente grande routière, que l’on file à vive allure sur une longue ligne droite ou qu’on négocie intensément une série d’épingles en montagne. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Honnêtement, je n’ai jamais senti le besoin de m’en servir, même dans les sections les plus tortueuses de la Californie. Pourtant, je me suis montré intraitable à l’endroit de l’Equus. En revanche, j’ai trouvé la direction un peu artificielle. Celles des Allemandes offrent en majorité un feedback beaucoup plus clair et donnent au pilote l’impression de s’impliquer plus activement dans la conduite.
Dans l’ensemble, l’Equus demeure une excellente grande routière, que l’on file à vive allure sur une longue ligne droite ou qu’on négocie intensément une série d’épingles en montagne.
Déliciuus Equus
Plusieurs aspects de la nouvelle Hyundai Equus 2011 en font un régal et un choix judicieux pour tous les amateurs de grand luxe. Ces personnes mettront la main sur une voiture hautement compétente qui n’a pas peur d’affronter les gros canons de la catégorie… en plus de sauver des dizaines de milliers de dollars et de pouvoir les investir ailleurs.
Un traitement royal les attend. Et avec l’Equus, le fabricant coréen pourra peut-être lui-même prétendre au trône un de ces jours.
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