À présent que la grande Equus rivalise avec les meilleures berlines allemandes de luxe et que les ventes de Hyundai explosent grâce à des rapports qualité/prix alléchants et à l'une des garanties les plus complètes de l'industrie, il ne faut pas se surprendre que l'Elantra, maintenant à sa 20e année sur le marché, reçoive une métamorphose aussi grandiose.
En tant que berline compacte, elle évolue bien sûr dans l'un des créneaux les plus concurrentiels qui soient, avec des gros canons tels que la Toyota Corolla, la Honda Civic et la Mazda3. Sa présence grandissante sur nos routes prouve que l'Elantra tire plus que son épingle du jeu.
Visuellement, elle se démarque à coup sûr. La thématique de « sculpture fluide » si joliment inaugurée par la Sonata paraît encore plus sensationnelle sur sa petite frangine. Les courbes gracieuses et les arêtes saillantes lui confèrent de la prestance et un côté dramatique qui tranchent nettement avec les designs plutôt monotones dans la catégorie. L'intérieur séduit tout autant avec son tableau de bord qui semble couler vers l'arrière pour se fondre littéralement dans les portières et la console centrale.
Les acheteurs de voitures compactes s'attendent généralement à des produits économiques dans lesquels le tissu et le plastique abondent. C'est le cas ici, sauf que le souci du détail, la qualité d'assemblage et les différentes textures rendent le tout attrayant. J'ai testé la version GLS (20 999 $) équipée de sièges en tissu confortables, enveloppants et, à ma grande surprise, chauffants à l'arrière comme à l'avant. Aussi au menu : un toit ouvrant, une boîte automatique, un port USB, un climatiseur, des vitres, serrures et miroirs électriques ainsi qu'un éventail complet de dispositifs de sécurité.
En outre, avec un empattement long de 2,7 mètres, ce n'est pas l'espace qui manque dans l'habitacle. D'ailleurs, la nouvelle Elantra s'avère aussi spacieuse qu'une berline intermédiaire d'il y a 10 ans.
La voiture se conduit très bien sur la route, bien qu'elle n'affiche pas la même sportivité que la Mazda3. Le roulis de caisse demeure toutefois minime, tandis que la direction réagit au doigt et à l’œil. Évidemment, dans ce segment de marché, l'économie d'essence influence beaucoup les décisions. Malgré mon lourd pied droit et les nombreuses côtes qui ont ponctué ma semaine d'essai, j'ai obtenu une moyenne fort impressionnante de 6,8 L/100 km.
En tant que berline compacte, elle évolue bien sûr dans l'un des créneaux les plus concurrentiels qui soient, avec des gros canons tels que la Toyota Corolla, la Honda Civic et la Mazda3. Sa présence grandissante sur nos routes prouve que l'Elantra tire plus que son épingle du jeu.
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| L'intérieur séduit avec son tableau de bord qui semble couler vers l'arrière pour se fondre littéralement dans les portières et la console centrale. (Photo: Lesley Wimbush/Auto123.com) |
Visuellement, elle se démarque à coup sûr. La thématique de « sculpture fluide » si joliment inaugurée par la Sonata paraît encore plus sensationnelle sur sa petite frangine. Les courbes gracieuses et les arêtes saillantes lui confèrent de la prestance et un côté dramatique qui tranchent nettement avec les designs plutôt monotones dans la catégorie. L'intérieur séduit tout autant avec son tableau de bord qui semble couler vers l'arrière pour se fondre littéralement dans les portières et la console centrale.
Les acheteurs de voitures compactes s'attendent généralement à des produits économiques dans lesquels le tissu et le plastique abondent. C'est le cas ici, sauf que le souci du détail, la qualité d'assemblage et les différentes textures rendent le tout attrayant. J'ai testé la version GLS (20 999 $) équipée de sièges en tissu confortables, enveloppants et, à ma grande surprise, chauffants à l'arrière comme à l'avant. Aussi au menu : un toit ouvrant, une boîte automatique, un port USB, un climatiseur, des vitres, serrures et miroirs électriques ainsi qu'un éventail complet de dispositifs de sécurité.
En outre, avec un empattement long de 2,7 mètres, ce n'est pas l'espace qui manque dans l'habitacle. D'ailleurs, la nouvelle Elantra s'avère aussi spacieuse qu'une berline intermédiaire d'il y a 10 ans.
La voiture se conduit très bien sur la route, bien qu'elle n'affiche pas la même sportivité que la Mazda3. Le roulis de caisse demeure toutefois minime, tandis que la direction réagit au doigt et à l’œil. Évidemment, dans ce segment de marché, l'économie d'essence influence beaucoup les décisions. Malgré mon lourd pied droit et les nombreuses côtes qui ont ponctué ma semaine d'essai, j'ai obtenu une moyenne fort impressionnante de 6,8 L/100 km.
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| Le roulis de caisse demeure toutefois minime, tandis que la direction réagit au doigt et à l’œil. (Photo: Hyundai) |