Je dis «relativement» parce que la Ridgeline brûle un peu moins, sinon autant d’essence que ses rivales à moteur V8, ce qui paraît illogique. Pourtant, c’est la vérité. Le V6 de 3,5 litres de Honda n’est pas si économe dans cette application que je l’aurais souhaité. En revanche, il se montre joliment raffiné avec ses 24 soupapes à calage variable, et ce, malgré son simple arbre à cames en tête. De plus, la puissance atteint 250 chevaux à 5700 tours/minute et le couple, 247 livres-pied à 4300 tours/minute. Une boîte automatique à cinq rapports s’occupe de gérer le tout.
Bon, j’avoue que ces chiffres ne sont pas renversants, mais il reste que la performance de la Ridgeline satisfait raisonnablement, autant au décollage que lors des dépassements. Précision : la caisse de mon exemplaire est demeurée vide tout au long de l’essai routier et je parie que les accélérations souffriraient pas mal avec une charge dans la caisse ou une remorque à l’arrière.
Polyvalence au rendez-vous
La Ridgeline possède un atout caché dans sa manche ou, pour être exact, sous son plancher de caisse. Il s’agit d’un coffre imperméable et verrouillable d’une capacité de 241 litres. On peut y ranger des outils, des articles de sport ou tout autre objet qui pourrait intéresser un voleur. Vancouver étant malheureusement reconnue comme la capitale du vol de véhicules au Canada, une telle commodité revêt une utilité des plus précieuses.
L’accès à ce coffre et à la caisse en général se veut extrêmement simple et convivial, grâce au hayon à double ouverture; on peut le rabattre normalement ou l’ouvrir sur le côté dans un angle de 90 degrés. Une fois que tout le chargement est en place, il ne reste plus qu’à profiter de l’expérience de conduite.
Facile à conduire
Avec la Honda Ridgeline 2010, on n’a pas vraiment l’impression de conduire une camionnette. Elle cache habilement son poids et son gabarit, ce qui augmente notre confiance sur la route et dans les manœuvres de stationnement, peu importe si l’on est habitué ou non avec ce genre de véhicules.
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| Sous son plancher de caisse on retrouve un coffre imperméable et verrouillable d’une capacité de 241 litres. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Bon, j’avoue que ces chiffres ne sont pas renversants, mais il reste que la performance de la Ridgeline satisfait raisonnablement, autant au décollage que lors des dépassements. Précision : la caisse de mon exemplaire est demeurée vide tout au long de l’essai routier et je parie que les accélérations souffriraient pas mal avec une charge dans la caisse ou une remorque à l’arrière.
Polyvalence au rendez-vous
La Ridgeline possède un atout caché dans sa manche ou, pour être exact, sous son plancher de caisse. Il s’agit d’un coffre imperméable et verrouillable d’une capacité de 241 litres. On peut y ranger des outils, des articles de sport ou tout autre objet qui pourrait intéresser un voleur. Vancouver étant malheureusement reconnue comme la capitale du vol de véhicules au Canada, une telle commodité revêt une utilité des plus précieuses.
L’accès à ce coffre et à la caisse en général se veut extrêmement simple et convivial, grâce au hayon à double ouverture; on peut le rabattre normalement ou l’ouvrir sur le côté dans un angle de 90 degrés. Une fois que tout le chargement est en place, il ne reste plus qu’à profiter de l’expérience de conduite.
Facile à conduire
Avec la Honda Ridgeline 2010, on n’a pas vraiment l’impression de conduire une camionnette. Elle cache habilement son poids et son gabarit, ce qui augmente notre confiance sur la route et dans les manœuvres de stationnement, peu importe si l’on est habitué ou non avec ce genre de véhicules.
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| La cabine se veut spacieuse et confortable. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |