Cela dit, après avoir conduit notre berline à boîte automatique sur plus de 1700 kilomètres, sur des parcours mixtes de campagne et de ville, nous avons relevé une moyenne de 9,7 litres aux 100 kilomètres. Une différence qui confirme la « règle » du 15% d’écart qu’on observe généralement entre les cotes de Transports Canada et la réalité.
Or, malgré des différences de dotation relativement importantes entre le modèle de base et les deux autres versions équipées d’un 4-cylindres, la raison d’être de l’Accord LX reste difficile à expliquer. Après tout, débourser 2 500 $ ou 6 000 $ de moins pour avoir un moteur dégonflé, qui consomme autant de carburant et rejette autant de CO2 dans l’atmosphère que la version plus puissante laisse pantois.
Intérieur v-a-s-t-e!
Au chapitre de l’habitabilité, l’Accord ne se prête pas à la controverse. Au contraire, cette berline Honda peut accueillir quatre adultes dans le plus grand confort, cinq au besoin. À l’avant, on retrouve des sièges baquets très amples, alors que la banquette arrière dispose d’un dégagement extrêmement généreux au niveau des genoux, des pieds, des hanches et de la tête.
Fait à noter, à cause d’une découpe plus généreuse de ses portières avant, l’embarquement du conducteur est plus facile dans une Accord que dans une Ford Fusion. De plus, l’EX-L a bel et bien des sièges chauffants en équipement de série, mais c’est parce qu’elle a aussi une sellerie de cuir, qui rend la chose quasiment incontournable pour les régions du pays qui subissent un hiver rigoureux.
Comme le veut la mode actuelle du design des intérieurs d’automobiles, qui fait fi de la simplicité volontaire au profit de la multiplication des commutateurs et autres boutons, le tableau de bord de l’Accord EX-L en met plein la vue, tant au conducteur qu’aux passagers. Sa section centrale regorge de commutateurs : on en compte 36 et la plupart ne peuvent être reconnus au simple touché. Une molette servant au système multimédia ajoute à cette complexité d’opération. Tout cela requiert beaucoup d’attention de la part du conducteur, qui devrait en porter davantage à la route...
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| Contrairement à l’Accord LX, l’EX et l’EX-L ont des roues en alliage de 17 pouces. |
Or, malgré des différences de dotation relativement importantes entre le modèle de base et les deux autres versions équipées d’un 4-cylindres, la raison d’être de l’Accord LX reste difficile à expliquer. Après tout, débourser 2 500 $ ou 6 000 $ de moins pour avoir un moteur dégonflé, qui consomme autant de carburant et rejette autant de CO2 dans l’atmosphère que la version plus puissante laisse pantois.
Intérieur v-a-s-t-e!
Au chapitre de l’habitabilité, l’Accord ne se prête pas à la controverse. Au contraire, cette berline Honda peut accueillir quatre adultes dans le plus grand confort, cinq au besoin. À l’avant, on retrouve des sièges baquets très amples, alors que la banquette arrière dispose d’un dégagement extrêmement généreux au niveau des genoux, des pieds, des hanches et de la tête.
Fait à noter, à cause d’une découpe plus généreuse de ses portières avant, l’embarquement du conducteur est plus facile dans une Accord que dans une Ford Fusion. De plus, l’EX-L a bel et bien des sièges chauffants en équipement de série, mais c’est parce qu’elle a aussi une sellerie de cuir, qui rend la chose quasiment incontournable pour les régions du pays qui subissent un hiver rigoureux.
Comme le veut la mode actuelle du design des intérieurs d’automobiles, qui fait fi de la simplicité volontaire au profit de la multiplication des commutateurs et autres boutons, le tableau de bord de l’Accord EX-L en met plein la vue, tant au conducteur qu’aux passagers. Sa section centrale regorge de commutateurs : on en compte 36 et la plupart ne peuvent être reconnus au simple touché. Une molette servant au système multimédia ajoute à cette complexité d’opération. Tout cela requiert beaucoup d’attention de la part du conducteur, qui devrait en porter davantage à la route...
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| Cette berline Honda peut accueillir quatre adultes dans le plus grand confort, cinq au besoin. |