À l’intérieur, la Fusion est bénie de sièges confortables pouvant prendre à peu près n’importe quel gabarit humain, et la banquette arrière peut accommoder trois personnes si elles ne sont pas gênées de se frotter les épaules un peu. La voiture est silencieuse à haute vitesse et à 100 km/h, le moteur à combustion vire à seulement 1 800 tr/min.
La finition intérieure de la Fusion est agréable, malgré quelques surfaces en plastique rugueux sur le tableau de bord et les panneaux de porte. Les commandes de climatisation sont placées trop bas sur la planche de bord centrale, et on doit détourner les yeux de la route pour manipuler les petits boutons : on retrouve des commandes auxiliaires sur l’écran tactile du système de navigation, cependant. Le système multimédia SYNC de Ford et de Microsoft est de série et, comme toujours, performe très bien.
La Hybride est également pourvue d’un des tableaux d’affichage les plus colorés et les plus informatifs que nous ayons vu dans une voiture à ce jour, qui s’appelle SmartGauge. L’indicateur de vitesse est situé au centre, flanqué d’affichages programmables tels que niveau d’essence, consommation en temps réel et niveau de charge de la batterie. Lorsqu’on diminue notre consommation, des feuilles vertes garnissent l’affichage. Si on roule le pied au plancher, les feuilles s’envolent.
L’affichage de la puissance est très intéressant, puisqu’il vous indique au moyen d’un graphique lorsque vous êtes en mode électrique, lorsque vous ne l’êtes pas, et comment retourner en mode électrique. Lorsque la ligne rouge se trouve dans la zone verte variable, vous roulez sur la batterie, et y retourner ne requiert souvent qu’un léger relâchement de l’accélérateur. Tout d’un coup, l’écoconduite devient amusante, plus que dans les hybrides de Toyota et de Honda.
La Fusion profite d’un des plus grands coffres de sa catégorie, mais les batteries de la version hybride diminuent le volume quelque peu : 334 litres contre 467. C’est quand même plus d’espace que dans la Camry Hybrid (300 litres) et la Nissan Altima Hybride (286 litres), mais moins que dans la Toyota Prius.
Visuellement, la Fusion a du style mais a aussi un petit côté fade. Bon, des berlines intermédiaires magnifiquement belles et élancées sont rares, mais la Fusion semble se démarquer, si ce n’est de sa calandre chromée massive, qui ressemble à un rasoir d’homme à trois lames. Certains l’aiment, d’autres non. De plus, les jantes en alliage ont l’air d’enjoliveurs. À part quelques écussons, la version Hybride passe pour une Fusion ordinaire.
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| La banquette arrière peut accommoder trois personnes si elles ne sont pas gênées de se frotter les épaules un peu. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
La finition intérieure de la Fusion est agréable, malgré quelques surfaces en plastique rugueux sur le tableau de bord et les panneaux de porte. Les commandes de climatisation sont placées trop bas sur la planche de bord centrale, et on doit détourner les yeux de la route pour manipuler les petits boutons : on retrouve des commandes auxiliaires sur l’écran tactile du système de navigation, cependant. Le système multimédia SYNC de Ford et de Microsoft est de série et, comme toujours, performe très bien.
La Hybride est également pourvue d’un des tableaux d’affichage les plus colorés et les plus informatifs que nous ayons vu dans une voiture à ce jour, qui s’appelle SmartGauge. L’indicateur de vitesse est situé au centre, flanqué d’affichages programmables tels que niveau d’essence, consommation en temps réel et niveau de charge de la batterie. Lorsqu’on diminue notre consommation, des feuilles vertes garnissent l’affichage. Si on roule le pied au plancher, les feuilles s’envolent.
L’affichage de la puissance est très intéressant, puisqu’il vous indique au moyen d’un graphique lorsque vous êtes en mode électrique, lorsque vous ne l’êtes pas, et comment retourner en mode électrique. Lorsque la ligne rouge se trouve dans la zone verte variable, vous roulez sur la batterie, et y retourner ne requiert souvent qu’un léger relâchement de l’accélérateur. Tout d’un coup, l’écoconduite devient amusante, plus que dans les hybrides de Toyota et de Honda.
La Fusion profite d’un des plus grands coffres de sa catégorie, mais les batteries de la version hybride diminuent le volume quelque peu : 334 litres contre 467. C’est quand même plus d’espace que dans la Camry Hybrid (300 litres) et la Nissan Altima Hybride (286 litres), mais moins que dans la Toyota Prius.
Visuellement, la Fusion a du style mais a aussi un petit côté fade. Bon, des berlines intermédiaires magnifiquement belles et élancées sont rares, mais la Fusion semble se démarquer, si ce n’est de sa calandre chromée massive, qui ressemble à un rasoir d’homme à trois lames. Certains l’aiment, d’autres non. De plus, les jantes en alliage ont l’air d’enjoliveurs. À part quelques écussons, la version Hybride passe pour une Fusion ordinaire.
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| Certains aiment le style de la Fusion, d’autres non, mais la calandre chromée fait jaser. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |