Encore plus génial : l’intérieur paraît tout aussi «cool» que l’extérieur. Selon moi, les deux équipes de designers ont parié sur celle qui recevrait le plus d’accolades. Le tableau de bord présente un look huppé, une fonctionnalité dans la bonne moyenne et une qualité de matériaux plus ou moins relevée. Une chose est sûre : assis dans le siège du conducteur, on a carrément l’impression qu’il s’agit d’une chic et chouette compacte européenne.
Le meilleur
Attendez, ça devient encore mieux! Si vous vénérez comme moi les voitures européennes, vous savez que leur conduite obtient toujours de meilleures notes que les versions nord-américaines. La Ford Focus en est un très bon exemple. Les temps ont cependant changé et rien n’est plus vrai qu’avec la Fiesta.
Mes attentes envers cette Ford étaient assez élevées et, comble de joie, je n’ai pas été déçu! Déferlant et se faufilant à vive allure sur le boulevard Skyline et la route La Honda au sud de San Francisco, la Fiesta que j’ai testée a livré une performance pour le moins impressionnante. Les épingles à haute vitesse et les transitions de conditions des chaussées (eau, sable, terre, feuilles mortes, etc.) l’ont peu ébranlée et déstabilisée. Un rêve! Qui plus est, la servo-direction à assistance électrique de Ford offre une sensation parfaite au centre et se montre d’une lourdeur idéale. On est bien loin des ennuyantes boîtes à savon que sont certaines sous-compactes actuelles!
La Fiesta tire son énergie d’un moteur à quatre cylindres en ligne de 1,6 litre qui développe 120 chevaux. Bien que la puissance reste inégalée dans la catégorie, ces 120 chevaux ne se déploient totalement qu’au régime élevé de 6350 tours/minute. Pour ce qui est du couple, il atteint 112 livres-pied à 5000 tours/minute. Bref, rien de spectaculaire ne survient en deçà des 4000 tours/minute.
Le manque de fougue à bas régime s’est énormément fait sentir lors des ascensions tortueuses où le deuxième rapport s’imposait. En conduite urbaine normale, cependant, le moteur fait plus que l’affaire. En prime, on parle d’une consommation pouvant descendre jusqu’à 6 litres aux 100 kilomètres, donc les arrêts à la station-service se feront plutôt rares.
L’avantage de la boîte de vitesses
Les acheteurs de la Ford Fiesta 2011 auront le choix entre une boîte manuelle à cinq rapports et la nouvelle boîte séquentielle automatisée PowerShift à double embrayage et à six rapports de Ford. Cette dernière représente un type de transmission de plus en plus populaire. En raison des contraintes de temps imposées par les organisateurs de l’événement médiatique, je n’ai pas vraiment eu la chance d’explorer le potentiel de la boîte PowerShift. Je peux quand même vous dire qu’elle livre des passages rapides et fluides. Ford soutient qu’elle avantage aussi la performance et l’économie de carburant.
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| On parle d’une consommation pouvant descendre jusqu’à 6 litres aux 100 kilomètres, donc les arrêts à la station-service se feront plutôt rares. (Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com) |
Le meilleur
Attendez, ça devient encore mieux! Si vous vénérez comme moi les voitures européennes, vous savez que leur conduite obtient toujours de meilleures notes que les versions nord-américaines. La Ford Focus en est un très bon exemple. Les temps ont cependant changé et rien n’est plus vrai qu’avec la Fiesta.
Mes attentes envers cette Ford étaient assez élevées et, comble de joie, je n’ai pas été déçu! Déferlant et se faufilant à vive allure sur le boulevard Skyline et la route La Honda au sud de San Francisco, la Fiesta que j’ai testée a livré une performance pour le moins impressionnante. Les épingles à haute vitesse et les transitions de conditions des chaussées (eau, sable, terre, feuilles mortes, etc.) l’ont peu ébranlée et déstabilisée. Un rêve! Qui plus est, la servo-direction à assistance électrique de Ford offre une sensation parfaite au centre et se montre d’une lourdeur idéale. On est bien loin des ennuyantes boîtes à savon que sont certaines sous-compactes actuelles!
La Fiesta tire son énergie d’un moteur à quatre cylindres en ligne de 1,6 litre qui développe 120 chevaux. Bien que la puissance reste inégalée dans la catégorie, ces 120 chevaux ne se déploient totalement qu’au régime élevé de 6350 tours/minute. Pour ce qui est du couple, il atteint 112 livres-pied à 5000 tours/minute. Bref, rien de spectaculaire ne survient en deçà des 4000 tours/minute.
Le manque de fougue à bas régime s’est énormément fait sentir lors des ascensions tortueuses où le deuxième rapport s’imposait. En conduite urbaine normale, cependant, le moteur fait plus que l’affaire. En prime, on parle d’une consommation pouvant descendre jusqu’à 6 litres aux 100 kilomètres, donc les arrêts à la station-service se feront plutôt rares.
L’avantage de la boîte de vitesses
Les acheteurs de la Ford Fiesta 2011 auront le choix entre une boîte manuelle à cinq rapports et la nouvelle boîte séquentielle automatisée PowerShift à double embrayage et à six rapports de Ford. Cette dernière représente un type de transmission de plus en plus populaire. En raison des contraintes de temps imposées par les organisateurs de l’événement médiatique, je n’ai pas vraiment eu la chance d’explorer le potentiel de la boîte PowerShift. Je peux quand même vous dire qu’elle livre des passages rapides et fluides. Ford soutient qu’elle avantage aussi la performance et l’économie de carburant.
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| La servo-direction à assistance électrique de Ford offre une sensation parfaite au centre et se montre d’une lourdeur idéale. (Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com) |