Deux bémols cependant en matière de finition : les portières se referment avec une sonorité étrange, laissant présager une certaine fragilité… ou des bruits de caisse à venir, un peu comme si les portières étaient assemblées avec du métal plus léger et moins solide. Autre bémol, les dos des sièges arrière est laissé directement sur le métal. Petit détail, mais détail quand même.
Sur la route
Au volant, la petite Fiesta étonne par son dynamisme et son amusante conduite. Même si on se refuse à confirmer mécanique et autres détails, puisque la version canadienne sera probablement outillée autrement, il n’en demeure pas moins que cette petite voiture avait un peu de mordant.
Pas question de conduire avec vigueur mais le petit moteur 1,6 litre se montre nerveux, enfilant les accélérations avec douceur et vivacité. Quant à la direction, directement calquée sur les modèles européens, elle transmet toute l’information nécessaire pour s’amuser derrière le volant tout en étant précise.
En fait, la petite Ford Fiesta se manie avec agilité et vigueur. Il faut cependant porter une attention toute particulière à la boîte de vitesses manuelle dont le troisième rapport exige doigté et précision, mais dans l’ensemble elle se débrouille à merveille. En fait, on la croirait plus grosse qu’elle ne l’est en réalité tellement la conduite est agréable.
Et même si les suspensions ne feront sans doute pas l’unanimité puisqu’elles sont un tantinet rigides, elles doivent demeurer telles quelles. Elles permettent une conduite assurée, le maintien de la voiture en trajectoire, et n’affectent pas vraiment le confort des passagers. Bref SVP monsieur Ford, laissez aussi ces suspensions en sol canadien!
Pour ceux que la chose intéresse au terme d’un essai de quelques jours, et sans faire beaucoup d’effort pour limiter déplacements et conduite urbaine, j’ai maintenu une moyenne inférieure à 7 litres au 100 kilomètres.
La grande question maintenant est celle du prix. La Ford Fiesta de notre essai, munie de tous les accessoires possibles et imaginables, y compris une sellerie de cuir, avait un prix européen plutôt élevé. Mais la transition se fera différemment au Canada et on souhaite l’opposer directement au prix de la Focus, et surtout directement dans les pattes de ses rivales.
Bref, il faudra attendre quelques mois, mais pour qui magasine une sous-compacte, l’attente en vaut la peine!
photo:Matthieu Lambert
Sur la route
Au volant, la petite Fiesta étonne par son dynamisme et son amusante conduite. Même si on se refuse à confirmer mécanique et autres détails, puisque la version canadienne sera probablement outillée autrement, il n’en demeure pas moins que cette petite voiture avait un peu de mordant.
Pas question de conduire avec vigueur mais le petit moteur 1,6 litre se montre nerveux, enfilant les accélérations avec douceur et vivacité. Quant à la direction, directement calquée sur les modèles européens, elle transmet toute l’information nécessaire pour s’amuser derrière le volant tout en étant précise.
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| La petite Ford Fiesta se manie avec agilité et vigueur. |
En fait, la petite Ford Fiesta se manie avec agilité et vigueur. Il faut cependant porter une attention toute particulière à la boîte de vitesses manuelle dont le troisième rapport exige doigté et précision, mais dans l’ensemble elle se débrouille à merveille. En fait, on la croirait plus grosse qu’elle ne l’est en réalité tellement la conduite est agréable.
Et même si les suspensions ne feront sans doute pas l’unanimité puisqu’elles sont un tantinet rigides, elles doivent demeurer telles quelles. Elles permettent une conduite assurée, le maintien de la voiture en trajectoire, et n’affectent pas vraiment le confort des passagers. Bref SVP monsieur Ford, laissez aussi ces suspensions en sol canadien!
Pour ceux que la chose intéresse au terme d’un essai de quelques jours, et sans faire beaucoup d’effort pour limiter déplacements et conduite urbaine, j’ai maintenu une moyenne inférieure à 7 litres au 100 kilomètres.
La grande question maintenant est celle du prix. La Ford Fiesta de notre essai, munie de tous les accessoires possibles et imaginables, y compris une sellerie de cuir, avait un prix européen plutôt élevé. Mais la transition se fera différemment au Canada et on souhaite l’opposer directement au prix de la Focus, et surtout directement dans les pattes de ses rivales.
Bref, il faudra attendre quelques mois, mais pour qui magasine une sous-compacte, l’attente en vaut la peine!
photo:Matthieu Lambert
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