Je ne suis peut-être pas hyper branché, mais des commandes simplistes et clairement étiquetées gérant un vaste éventail de fonctions et réglages ne m’ont jamais plongé dans la perplexité. Or, je me suis achoppé – momentanément – à l’interface supposément simple du MyFord Touch.
En effet, il faut beaucoup de temps et de pratique pour maîtriser ce système. Une fois qu’on a appris les commandes vocales et découvert et apprivoisé les fonctions de l’écran tactile, le système s’avère plutôt gratifiant… tout comme jouer de la guitare ou faire du monocycle, un coup la technique maîtrisée!
Au final, MyFord Touch est peut-être ou non aussi extraordinaire que Ford le soutient, mais à tout le moins, on parle d’une technologie vraiment cool qui divertira le conducteur technophile pendant un bon moment.
Il comprend non seulement l’écran tactile principal sur la console centrale, mais aussi deux petits écrans intégrés au bloc d’instruments, flanquant une grand indicateur de vitesse analogique. On manipule ces écrans à l’aide de commandes au volant, offrant l’accès à une panoplie d’affichages, de graphiques, de réglages et d’infos sur le véhicule.
Si l’électronique et les commandes tactiles ne vous font pas jubiler, les performances accrues pour 2011, elles, réussiront sûrement.
Plus puissant et performant
Dans le modèle Sport, le V6 Duratec grimpe de 3,5 à 3,7 litres et 265 à 305 chevaux costauds par rapport à l’an dernier. Cette cavalerie considérablement bonifiée ne sacrifie en rien la consommation, qui demeure à 12,2 et 8,8 litres aux 100 km en ville et sur la route, respectivement. Un autre avantage : l’utilisation d’essence ordinaire et non super.
Certes pas aussi raffiné ou musclé que le nouveau V6 EcoBoost de Ford, le Duratec accélère avec un enthousiasme surprenant, en partie grâce au judicieux étagement des rapports de la boîte automatique à six vitesses. Dans la version Sport, notons également la présence de palettes au volant et la synchronisation du régime en rétrogradation.
Et grâce à la transmission intégrale, aucun patinage ne venait gêner les accélérations à pleins gaz sur les surfaces sèches comme humides, un des avantages indéniables d’une telle configuration.
En effet, il faut beaucoup de temps et de pratique pour maîtriser ce système. Une fois qu’on a appris les commandes vocales et découvert et apprivoisé les fonctions de l’écran tactile, le système s’avère plutôt gratifiant… tout comme jouer de la guitare ou faire du monocycle, un coup la technique maîtrisée!
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| MyFord Touch comprend aussi deux petits écrans intégrés au bloc d’instruments, flanquant une grand indicateur de vitesse analogique. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Au final, MyFord Touch est peut-être ou non aussi extraordinaire que Ford le soutient, mais à tout le moins, on parle d’une technologie vraiment cool qui divertira le conducteur technophile pendant un bon moment.
Il comprend non seulement l’écran tactile principal sur la console centrale, mais aussi deux petits écrans intégrés au bloc d’instruments, flanquant une grand indicateur de vitesse analogique. On manipule ces écrans à l’aide de commandes au volant, offrant l’accès à une panoplie d’affichages, de graphiques, de réglages et d’infos sur le véhicule.
Si l’électronique et les commandes tactiles ne vous font pas jubiler, les performances accrues pour 2011, elles, réussiront sûrement.
Plus puissant et performant
Dans le modèle Sport, le V6 Duratec grimpe de 3,5 à 3,7 litres et 265 à 305 chevaux costauds par rapport à l’an dernier. Cette cavalerie considérablement bonifiée ne sacrifie en rien la consommation, qui demeure à 12,2 et 8,8 litres aux 100 km en ville et sur la route, respectivement. Un autre avantage : l’utilisation d’essence ordinaire et non super.
Certes pas aussi raffiné ou musclé que le nouveau V6 EcoBoost de Ford, le Duratec accélère avec un enthousiasme surprenant, en partie grâce au judicieux étagement des rapports de la boîte automatique à six vitesses. Dans la version Sport, notons également la présence de palettes au volant et la synchronisation du régime en rétrogradation.
Et grâce à la transmission intégrale, aucun patinage ne venait gêner les accélérations à pleins gaz sur les surfaces sèches comme humides, un des avantages indéniables d’une telle configuration.
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| Dans le modèle Sport, le V6 Duratec grimpe de 3,5 à 3,7 litres et 265 à 305 chevaux costauds par rapport à l’an dernier. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |