La puissance parvient aux roues motrices par le biais d’une boîte de vitesses automatique à 6 rapports, dont le fonctionnement reste transparent. Dans le cas du Edge SE, ce moteur n’anime que les roues avant, alors que les versions SEL et Limited peuvent être commandées avec deux ou quatre roues motrices, au choix. Le Edge Sport, quant à lui, est livré d’office avec la transmission intégrale.
En outre, la boîte de vitesses de l’Edge SE ne dispose pas du mode séquentiel SelectShift, qui sert à l’employer à la façon d’une boîte manuelle lorsque nécessaire.
Sympathique à conduire
Le succès du Ford Edge réside sans doute dans son comportement routier, qui ne réserve aucune surprise. La direction est précise et pas sur-assistée. D’ailleurs, le volant à gros boudin monté sur une colonne inclinable et télescopique, aide les conducteurs de tous gabarits d’avoir une position de conduite adéquate. On regrette cependant que les sièges baquets ne procurent pas beaucoup de soutien latéral.
La suspension indépendante aux quatre roues masque bien les défauts du revêtement, bien qu’elle impose une généreuse dose de roulis dans les courbes. Par ailleurs, le freinage, assuré par des disques aux quatre roues, se module aisément.
La banquette arrière convient parfaitement à deux adultes, trois au besoin. En outre, ses dossiers asymétriques (60/40) se rabattent sans difficulté, permettant de doubler la capacité du coffre (qui passe de 912 à 1951 litres). Un volume important, qui se compare, à quelques dizaines de litres près, à celui d’un Toyota Venza, l’utilitaire multisegment offrant le plus important volume utile de ce créneau.
À cause de sa ligne de caisse plutôt haute et de la lunette, qui a une petite surface, le Edge ne fournit pas un champ de vision arrière particulièrement important. De plus, la version SE ne peut être munie d’une caméra arrière, comme les autres versions. Les manoeuvres de stationnement réalisées avec cette version requièrent donc plus d’attention de la part du conducteur.
En outre, la boîte de vitesses de l’Edge SE ne dispose pas du mode séquentiel SelectShift, qui sert à l’employer à la façon d’une boîte manuelle lorsque nécessaire.
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| Le volant à gros boudin monté sur une colonne inclinable et télescopique, aide les conducteurs de tous gabarits d’avoir une position de conduite adéquate. (Photo: Luc Gagné/Auto123.com) |
Sympathique à conduire
Le succès du Ford Edge réside sans doute dans son comportement routier, qui ne réserve aucune surprise. La direction est précise et pas sur-assistée. D’ailleurs, le volant à gros boudin monté sur une colonne inclinable et télescopique, aide les conducteurs de tous gabarits d’avoir une position de conduite adéquate. On regrette cependant que les sièges baquets ne procurent pas beaucoup de soutien latéral.
La suspension indépendante aux quatre roues masque bien les défauts du revêtement, bien qu’elle impose une généreuse dose de roulis dans les courbes. Par ailleurs, le freinage, assuré par des disques aux quatre roues, se module aisément.
La banquette arrière convient parfaitement à deux adultes, trois au besoin. En outre, ses dossiers asymétriques (60/40) se rabattent sans difficulté, permettant de doubler la capacité du coffre (qui passe de 912 à 1951 litres). Un volume important, qui se compare, à quelques dizaines de litres près, à celui d’un Toyota Venza, l’utilitaire multisegment offrant le plus important volume utile de ce créneau.
À cause de sa ligne de caisse plutôt haute et de la lunette, qui a une petite surface, le Edge ne fournit pas un champ de vision arrière particulièrement important. De plus, la version SE ne peut être munie d’une caméra arrière, comme les autres versions. Les manoeuvres de stationnement réalisées avec cette version requièrent donc plus d’attention de la part du conducteur.
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| La banquette arrière convient parfaitement à deux adultes, trois au besoin. (Photo: Luc Gagné/Auto123.com) |