Intérieur douillet
Je n'ai jamais été un grand fan des habitacles austères et froids de Mercedes. Quelques-uns de ses récents produits s'avèrent un peu plus chaleureux, par contre (le GL, notamment). Malheureusement, ce n'est pas le cas de la Classe C, qui offre en plus très peu d'espace pour les jambes, les coudes et, si vous mesurez plus de six pieds, la tête. Le point le plus irritant selon moi est la console centrale extra large qui réduit les puits de chaque côté. Les sièges avant sont très agréables, autant en termes de support que de confort, mais le tout est gâché par le fait que les genoux des passagers se touchent presque. Il me fait plaisir de vous annoncer que la nouvelle génération de la Classe C s'est nettement améliorée à ce chapitre.
Tout comme l'extérieur, l'intérieur de la C 2007 est bien conçu et assemblé avec des matériaux de qualité supérieure. Le cuir, entre autres, est épais et souple. Par ailleurs, le calme et le silence règnent constamment, même en roulant à plus de 120 km/h. La multitude de boutons nécessite quelques minutes d'apprentissage, après quoi il n'y a que la tige du régulateur de vitesse qui demeure un peu compliquée.
Un mini char d'assaut
La Classe C est une voiture compacte solide comme le roc. Dès que les portes se ferment (avec un son convaincant), on se sent aussitôt en sécurité. Sur la route, la C se montre rassurante et compétente. Stable et sereine, elle enchaîne les kilomètres avec une énergie infatigable. Son V6 de 3,0 litres développant 228 chevaux n'est pas le plus performant qui soit, mais il est suffisamment en forme pour propulser le modèle C280 4MATIC (à traction intégrale) de 0 à 100 km/h en 7,5 secondes. En outre, la boîte automatique à cinq rapports ne commet jamais de faux pas.
Le sentiment de rouler dans un char d'assaut est également attribuable aux lourdes commandes. Les pédales de frein et d'accélérateur ainsi que la direction exigent un effort de manipulation supérieur à la moyenne. L'accélérateur, par surcroît, est caractérisé par un léger délai entre l'enfoncement de la pédale et la réaction du moteur. Cependant, les distances de freinage sont plutôt courtes et la direction, malgré son manque de feedback, est précise.
Je n'ai jamais été un grand fan des habitacles austères et froids de Mercedes. Quelques-uns de ses récents produits s'avèrent un peu plus chaleureux, par contre (le GL, notamment). Malheureusement, ce n'est pas le cas de la Classe C, qui offre en plus très peu d'espace pour les jambes, les coudes et, si vous mesurez plus de six pieds, la tête. Le point le plus irritant selon moi est la console centrale extra large qui réduit les puits de chaque côté. Les sièges avant sont très agréables, autant en termes de support que de confort, mais le tout est gâché par le fait que les genoux des passagers se touchent presque. Il me fait plaisir de vous annoncer que la nouvelle génération de la Classe C s'est nettement améliorée à ce chapitre.
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| Voici un bon exemple d'un habitacle austère de Mercedes. |
Tout comme l'extérieur, l'intérieur de la C 2007 est bien conçu et assemblé avec des matériaux de qualité supérieure. Le cuir, entre autres, est épais et souple. Par ailleurs, le calme et le silence règnent constamment, même en roulant à plus de 120 km/h. La multitude de boutons nécessite quelques minutes d'apprentissage, après quoi il n'y a que la tige du régulateur de vitesse qui demeure un peu compliquée.
Un mini char d'assaut
La Classe C est une voiture compacte solide comme le roc. Dès que les portes se ferment (avec un son convaincant), on se sent aussitôt en sécurité. Sur la route, la C se montre rassurante et compétente. Stable et sereine, elle enchaîne les kilomètres avec une énergie infatigable. Son V6 de 3,0 litres développant 228 chevaux n'est pas le plus performant qui soit, mais il est suffisamment en forme pour propulser le modèle C280 4MATIC (à traction intégrale) de 0 à 100 km/h en 7,5 secondes. En outre, la boîte automatique à cinq rapports ne commet jamais de faux pas.
Le sentiment de rouler dans un char d'assaut est également attribuable aux lourdes commandes. Les pédales de frein et d'accélérateur ainsi que la direction exigent un effort de manipulation supérieur à la moyenne. L'accélérateur, par surcroît, est caractérisé par un léger délai entre l'enfoncement de la pédale et la réaction du moteur. Cependant, les distances de freinage sont plutôt courtes et la direction, malgré son manque de feedback, est précise.
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| Le V6 de 3,0 litres est couplé à une très bonne boîte automatique à cinq rapports. |