Mécanique
La force du Dakota réside dans un choix de moteurs varié : un V6 de 3,7 litres et deux V8 de 4,7 litres. Le premier développe 210 chevaux et les V8, 230 et 260 chevaux respectivement. Le couple moteur des V8 (290 lb-pi et 310 lb-pi) permet de tirer des charges pouvant aller jusqu'à 3 247 kg avec l'ensemble remorquage. Le V6 et le V8 de 230 chevaux peuvent être accouplés à une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports. La boîte de vitesses automatique à 5 rapports, en option, devient de série avec le 4,7 litres de 260 chevaux. On peut même opter pour un différentiel autobloquant.
Sur la route
Au chapitre du freinage, il faut opter sans hésiter pour le système ABS afin d'assurer des freinages stables et de distances raisonnables (100-0 km/h en 42,5 mètres). L'ensemble disques-tambours est de série, mais on peut obtenir des freins arrière à disque en option.
La direction à crémaillère est assez précise et transmet bien les sensations de la route. Le V8 de 230 chevaux que nous avions à l'essai
s'avère souple, mais la programmation dite économique de la boîte automatique gâche la sauce. En circulation urbaine, on doit utiliser le deuxième rapport, puisqu'il n'est pas de possible de maintenir le troisième rapport.
Stable sur la route sèche, le Dakota s'avère plus facile et plus sécuritaire à conduire en mode 4RM sur les routes enneigées et glacées. Le V8 de 3,7 litres fournit de bonnes accélérations (0-100 km/h en 11 secondes), mais la rétrogradation lente des rapports, lors des dépassements, le désavantage (80-120 km/h en 9,4 secondes). En hiver, par grand froid, nous avons obtenu une consommation moyenne de 20 litres aux 100 km.
Bête de travail
Le Dodge Dakota s'inscrit dans la pure tradition des camionnettes américaines, où la capacité de chargement et de remorquage compte davantage que le raffinement.
J'aime
Le couple des V8
La capacité de remorquage
La suspension confortable
La capacité de freinage avec ABS
L'instrumentation
J'aime moins
L'ABS en option
La boîte de vitesses automatique mal étagée
Le confort des sièges en cuir
L'espace et confort arrière (Club Cab)
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Sur la route
Au chapitre du freinage, il faut opter sans hésiter pour le système ABS afin d'assurer des freinages stables et de distances raisonnables (100-0 km/h en 42,5 mètres). L'ensemble disques-tambours est de série, mais on peut obtenir des freins arrière à disque en option.
La direction à crémaillère est assez précise et transmet bien les sensations de la route. Le V8 de 230 chevaux que nous avions à l'essai
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Stable sur la route sèche, le Dakota s'avère plus facile et plus sécuritaire à conduire en mode 4RM sur les routes enneigées et glacées. Le V8 de 3,7 litres fournit de bonnes accélérations (0-100 km/h en 11 secondes), mais la rétrogradation lente des rapports, lors des dépassements, le désavantage (80-120 km/h en 9,4 secondes). En hiver, par grand froid, nous avons obtenu une consommation moyenne de 20 litres aux 100 km.
Bête de travail
Le Dodge Dakota s'inscrit dans la pure tradition des camionnettes américaines, où la capacité de chargement et de remorquage compte davantage que le raffinement.
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Le couple des V8
La capacité de remorquage
La suspension confortable
La capacité de freinage avec ABS
L'instrumentation
J'aime moins
L'ABS en option
La boîte de vitesses automatique mal étagée
Le confort des sièges en cuir
L'espace et confort arrière (Club Cab)
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