Confort respectable
La qualité de finition de l'habitacle n'est plus aussi spartiate que par le passé. L'aménagement de la Laramie se révèle complet et pratique avec plusieurs coffrets et espaces de rangement. Les sièges au recouvrement de cuir sont un peu glissants. L'emplacement et la manipulation des leviers rendent leur ajustement plus difficile que d'habitude. Mon passager a critiqué le renflement allongé de l'accoudoir qui empiétait sur l'espace pour ses genoux. Si la sonorité de l'audio est bonne, les commandes sont trop complexes inutilement.
Ce sont les assises des sièges arrière qu'on remonte plutôt que leur dossier qu'on rabat. Il me semble qu'on y gagnerait en espace et en souplesse si l'on faisait le contraire.
Rétroviseurs à revoir
La visibilité est bonne tout autour. De gros rétroviseurs auraient constitué un atout en mode remorquage, mais on a choisi de placer les sections convexes en haut à droite, ce qui s'est révélé une nuisance : ce choix rendait les dépassements très délicats car il cachait le véhicule et nous empêchait d'évaluer la distance réelle du véhicule. Heureusement, nous comptions sur le rétro intérieur pour compléter les manoeuvres. Il en allait de même pour reculer avec la remorque.
Du couple et de la douceur
Accouplé à une excellente boîte de vitesses automatique à 6 rapports, le nouveau Cummins diesel de 6,7 litres grogne un peu au départ, mais une fois lancé, il ronronne à 1800 tr/min à 115 km/h. Le passage des rapports est souple. Le mode remorquage facilite les départs en côte et à pleine charge. Le contrôle du changement des rapports sur le levier de vitesses devient un allié pour modifier le régime et les rapports au besoin. Doté d'un couple de 650 livres-pied, ce Cummins réagit rapidement aux sollicitations sans s'emballer. Même à pleine charge, il possède des réserves de puissance. À vide, nous avons obtenu les données suivantes : 0 à 100 km/h en 8,8 secondes et les dépassements de 80 à 120 km/h en 7,3 secondes. Au chapitre du freinage, Dodge peut faire mieux : plus de 50 mètres pour s'arrêter de 100 à 0 km/h nous semble trop long. Avec ses 350 chevaux et conçu pour tirer jusqu'à 9000 kilos (20 000 livres), cette camionnette se riait de notre charge de 4500 livres. Nous avons particulièrement apprécié sa consommation moyenne de carburant qui, au cours des 12 000 kilomètres, s'est située à 18,99 litres aux 100 kilomètres, ce qui est bien en deçà des gros V8 à essence de la concurrence et de certains autres moteurs diesel de la concurrence. Il nous a donné entière satisfaction au chapitre de la puissance, de la souplesse et de la consommation.
La qualité de finition de l'habitacle n'est plus aussi spartiate que par le passé. L'aménagement de la Laramie se révèle complet et pratique avec plusieurs coffrets et espaces de rangement. Les sièges au recouvrement de cuir sont un peu glissants. L'emplacement et la manipulation des leviers rendent leur ajustement plus difficile que d'habitude. Mon passager a critiqué le renflement allongé de l'accoudoir qui empiétait sur l'espace pour ses genoux. Si la sonorité de l'audio est bonne, les commandes sont trop complexes inutilement.
Ce sont les assises des sièges arrière qu'on remonte plutôt que leur dossier qu'on rabat. Il me semble qu'on y gagnerait en espace et en souplesse si l'on faisait le contraire.
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| L'aménagement intérieur est adéquat, mais l'ergonomie n'est pas optimale. |
Rétroviseurs à revoir
La visibilité est bonne tout autour. De gros rétroviseurs auraient constitué un atout en mode remorquage, mais on a choisi de placer les sections convexes en haut à droite, ce qui s'est révélé une nuisance : ce choix rendait les dépassements très délicats car il cachait le véhicule et nous empêchait d'évaluer la distance réelle du véhicule. Heureusement, nous comptions sur le rétro intérieur pour compléter les manoeuvres. Il en allait de même pour reculer avec la remorque.
Du couple et de la douceur
Accouplé à une excellente boîte de vitesses automatique à 6 rapports, le nouveau Cummins diesel de 6,7 litres grogne un peu au départ, mais une fois lancé, il ronronne à 1800 tr/min à 115 km/h. Le passage des rapports est souple. Le mode remorquage facilite les départs en côte et à pleine charge. Le contrôle du changement des rapports sur le levier de vitesses devient un allié pour modifier le régime et les rapports au besoin. Doté d'un couple de 650 livres-pied, ce Cummins réagit rapidement aux sollicitations sans s'emballer. Même à pleine charge, il possède des réserves de puissance. À vide, nous avons obtenu les données suivantes : 0 à 100 km/h en 8,8 secondes et les dépassements de 80 à 120 km/h en 7,3 secondes. Au chapitre du freinage, Dodge peut faire mieux : plus de 50 mètres pour s'arrêter de 100 à 0 km/h nous semble trop long. Avec ses 350 chevaux et conçu pour tirer jusqu'à 9000 kilos (20 000 livres), cette camionnette se riait de notre charge de 4500 livres. Nous avons particulièrement apprécié sa consommation moyenne de carburant qui, au cours des 12 000 kilomètres, s'est située à 18,99 litres aux 100 kilomètres, ce qui est bien en deçà des gros V8 à essence de la concurrence et de certains autres moteurs diesel de la concurrence. Il nous a donné entière satisfaction au chapitre de la puissance, de la souplesse et de la consommation.
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| La motorisation nous a grandement impressionnés grâce à une redoutable efficacité. |