Le Pentastar de 292 chevaux ne rivalisera jamais avec le HEMI de la Charger SRT8 quand vient le temps de décoller. Toutefois, les nouveaux ratios de démultiplication et le nouvel étagement rendent les changements de rapport instantanés, facilitant les manœuvres de dépassement et conférant à la grosse berline un caractère énergique. Notons que les exemplaires munis des groupes d'options Rallye et Blacktop possèdent des sélecteurs de vitesses au volant et un affichage du rapport choisi au milieu de l'instrumentation.
Du côté de la suspension, des coussinets hydrauliques remplacent les anciens en uréthane rigide et absorbent les chocs plus prononcés de très belle façon. Lors des tests de tenue de route, les modèles à traction intégrale se sont montrés stables et sécuritaires, bien que le poids supplémentaire ait rendu leur maniabilité et leur performance moins vives que celles des modèles à propulsion.
Cela dit, les personnes qui affrontent les rigoureux hivers canadiens seront enchantées de pouvoir équiper leur Charger à moteur V6 d'un système de traction intégrale – le V8 n'en a plus l'exclusivité. En outre, lorsque deux roues motrices suffisent, l'essieu avant se désengage automatiquement de la boîte de vitesses pour maximiser l'efficacité énergétique.
Personnellement, j'opterais pour une Charger Blacktop même si la SRT8 génère une puissance prodigieuse. Vêtue d'une carrosserie noir mat et reposant fièrement sur des jantes en aluminium de 20 pouces au fini noir lustré, la furtive Blacktop paraît menaçante mais quand même plaisante, comparativement à la brutale et bestiale SRT8. La console en aluminium brossé présente un levier de vitesses digne du bon vieux temps et les sièges bénéficient de renforts latéraux additionnels.
Ce n'est certes pas une bombe de 470 chevaux, mais cette arme plus légère l'emporte sur sa grande sœur au chapitre de l'agilité et du plaisir pur.
À l'instar de la Ford Mustang, la Dodge Charger 2012 à moteur V6 ne représente plus un compromis; on la désire autant pour sa performance que son aspect économique. Chrysler est toutefois le seul fabricant nord-américain à offrir une boîte à huit rapports.
Du côté de la suspension, des coussinets hydrauliques remplacent les anciens en uréthane rigide et absorbent les chocs plus prononcés de très belle façon. Lors des tests de tenue de route, les modèles à traction intégrale se sont montrés stables et sécuritaires, bien que le poids supplémentaire ait rendu leur maniabilité et leur performance moins vives que celles des modèles à propulsion.
Notons que les exemplaires munis des groupes d'options Rallye et Blacktop possèdent des sélecteurs de vitesses au volant et un affichage du rapport choisi au milieu de l'instrumentation. (Photo: Dodge) |
Cela dit, les personnes qui affrontent les rigoureux hivers canadiens seront enchantées de pouvoir équiper leur Charger à moteur V6 d'un système de traction intégrale – le V8 n'en a plus l'exclusivité. En outre, lorsque deux roues motrices suffisent, l'essieu avant se désengage automatiquement de la boîte de vitesses pour maximiser l'efficacité énergétique.
Personnellement, j'opterais pour une Charger Blacktop même si la SRT8 génère une puissance prodigieuse. Vêtue d'une carrosserie noir mat et reposant fièrement sur des jantes en aluminium de 20 pouces au fini noir lustré, la furtive Blacktop paraît menaçante mais quand même plaisante, comparativement à la brutale et bestiale SRT8. La console en aluminium brossé présente un levier de vitesses digne du bon vieux temps et les sièges bénéficient de renforts latéraux additionnels.
Ce n'est certes pas une bombe de 470 chevaux, mais cette arme plus légère l'emporte sur sa grande sœur au chapitre de l'agilité et du plaisir pur.
À l'instar de la Ford Mustang, la Dodge Charger 2012 à moteur V6 ne représente plus un compromis; on la désire autant pour sa performance que son aspect économique. Chrysler est toutefois le seul fabricant nord-américain à offrir une boîte à huit rapports.