Évidemment, les quatre rapports de la transmission n’améliorent en rien la situation. Au moins, j’ai senti que cette boîte était bien assortie au moteur, les ratios de démultiplication étant adéquatement calculés.
De belles surprises à l’intérieur
L’aménagement intérieur est conservateur mais néanmoins agréable à l’œil compte tenu du prix de l’Avenger. Les commandes sont simples, logiquement disposées et faciles à manipuler.
J’ai trouvé les sièges baquets remarquablement confortables, eux qui offrent beaucoup de support lombaire et d’appuis latéraux pour nous garder efficacement en place. Le dégagement pour les jambes et la tête à l’avant est aussi louable.
Idem pour ce fameux revêtement de sièges en tissu qui résiste aux taches, aux odeurs et à l’électricité statique. Et il ne faut surtout pas oublier de souligner le compartiment Chill Zone (optionnel) qui peut garder au frais jusqu’à quatre cannettes.
L’aspect pratique de l’habitacle est maximisé par les nombreux rangements et porte-bouteilles, sans parler des dossiers arrière rabattables 60/40 et de leur généreuse trappe intégrée pour accéder au coffre. Le dossier du siège du passager avant peut lui aussi se rabattre pour permettre de loger des objets en longueur, par exemple un escabeau.
Sécurité en deçà des attentes
Les freins à disque aux quatre roues avec antiblocage continuent d’être inclus de série en versions SXT et R/T (en option avec la SE). C’est bien, mais ce n’est pas assez. En effet, il est regrettable que le programme de stabilisation électronique de Dodge demeure facultatif avec les Avenger SE et SXT.
Je vous recommande fortement de débourser le supplément qu’exige cette option, surtout qu’elle s’accompagne de l’antipatinage. Ensemble, ces systèmes rehaussent considérablement la protection des occupants sur la route, à plus forte raison dans des conditions typiques du climat canadien.
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| J’ai trouvé les sièges baquets remarquablement confortables, eux qui offrent beaucoup de support lombaire. |
De belles surprises à l’intérieur
L’aménagement intérieur est conservateur mais néanmoins agréable à l’œil compte tenu du prix de l’Avenger. Les commandes sont simples, logiquement disposées et faciles à manipuler.
J’ai trouvé les sièges baquets remarquablement confortables, eux qui offrent beaucoup de support lombaire et d’appuis latéraux pour nous garder efficacement en place. Le dégagement pour les jambes et la tête à l’avant est aussi louable.
Idem pour ce fameux revêtement de sièges en tissu qui résiste aux taches, aux odeurs et à l’électricité statique. Et il ne faut surtout pas oublier de souligner le compartiment Chill Zone (optionnel) qui peut garder au frais jusqu’à quatre cannettes.
L’aspect pratique de l’habitacle est maximisé par les nombreux rangements et porte-bouteilles, sans parler des dossiers arrière rabattables 60/40 et de leur généreuse trappe intégrée pour accéder au coffre. Le dossier du siège du passager avant peut lui aussi se rabattre pour permettre de loger des objets en longueur, par exemple un escabeau.
Sécurité en deçà des attentes
Les freins à disque aux quatre roues avec antiblocage continuent d’être inclus de série en versions SXT et R/T (en option avec la SE). C’est bien, mais ce n’est pas assez. En effet, il est regrettable que le programme de stabilisation électronique de Dodge demeure facultatif avec les Avenger SE et SXT.
Je vous recommande fortement de débourser le supplément qu’exige cette option, surtout qu’elle s’accompagne de l’antipatinage. Ensemble, ces systèmes rehaussent considérablement la protection des occupants sur la route, à plus forte raison dans des conditions typiques du climat canadien.
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| L’aspect pratique de l’habitacle est maximisé par les nombreux rangements et porte-bouteilles. |