Et puis il y a le volant. Ah, ce damné volant! Rétro à l'os, sa forme et son angle en font possiblement le pire que j'ai essayé dans ma vie. Je devais plier les mains à l'envers afin de saisir le volant correctement; sinon, je ne faisais qu'agripper le rebord. En outre, les boutons qui se trouvent au centre du volant sont tellement mal dessinés et disposés que leur manipulation s'avère ardue. J'aime les angles prononcés autant que n'importe quel amateur de voitures, mais sur le volant? Come on!
L'espace intérieur se veut fonctionnel. Pour une décapotable à quatre places, celles d'en arrière offrent un bon dégagement. Par contre, elles se trouvent légèrement surélevées par rapport aux baquets avant et donnent un peu l'impression de s'exposer. De plus, en sortir lorsque le toit est installé relève de l'exploit; croyez-moi, il n'y a pas de façon gracieuse de le faire.
Parlant du toit, l'ouvrir et le fermer semble assez simple. Il suffit de tirer sur le gros levier au-dessus du rétroviseur, de maintenir un bouton enfoncé et le tour est joué! Bien que le processus pour mettre le toit en place nécessite officiellement une vingtaine de secondes, il m'a paru aussi interminable que Le patient anglais. Par ailleurs, alors qu'il abaisse automatiquement les vitres en s'escamotant, il ne les relève pas en se déployant. Ce genre de petits détails fait toute la différence.
Ajoutez à cela son prix - un peu plus de 54 000 $ pour mon modèle d'essai - et la balance penche encore plus.
Sans contredit, rouler en Camaro SS se veut une expérience sensationnelle, surtout sur les routes lisses et désertes qui permettent de bien rincer le V8. Toutefois, dans la vie de tous les jours (comme lorsque vient le temps de regarder à travers la minuscule lunette arrière), la Camaro m'a déçue comme j'aurais aimé qu'elle ne le fasse pas.
Il y a près de 50 ans, la Camaro a déclaré la guerre à la Mustang. Aujourd'hui, j'ai raison de croire que la Mustang de cinquième génération fait mordre la poussière - et avaler les gaz d'échappement - à la nouvelle Camaro grâce à son glorieux V8 rugissant.
L'espace intérieur se veut fonctionnel. Pour une décapotable à quatre places, celles d'en arrière offrent un bon dégagement. Par contre, elles se trouvent légèrement surélevées par rapport aux baquets avant et donnent un peu l'impression de s'exposer. De plus, en sortir lorsque le toit est installé relève de l'exploit; croyez-moi, il n'y a pas de façon gracieuse de le faire.
Sans contredit, rouler en Camaro SS se veut une expérience sensationnelle. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |
Parlant du toit, l'ouvrir et le fermer semble assez simple. Il suffit de tirer sur le gros levier au-dessus du rétroviseur, de maintenir un bouton enfoncé et le tour est joué! Bien que le processus pour mettre le toit en place nécessite officiellement une vingtaine de secondes, il m'a paru aussi interminable que Le patient anglais. Par ailleurs, alors qu'il abaisse automatiquement les vitres en s'escamotant, il ne les relève pas en se déployant. Ce genre de petits détails fait toute la différence.
Ajoutez à cela son prix - un peu plus de 54 000 $ pour mon modèle d'essai - et la balance penche encore plus.
Sans contredit, rouler en Camaro SS se veut une expérience sensationnelle, surtout sur les routes lisses et désertes qui permettent de bien rincer le V8. Toutefois, dans la vie de tous les jours (comme lorsque vient le temps de regarder à travers la minuscule lunette arrière), la Camaro m'a déçue comme j'aurais aimé qu'elle ne le fasse pas.
Il y a près de 50 ans, la Camaro a déclaré la guerre à la Mustang. Aujourd'hui, j'ai raison de croire que la Mustang de cinquième génération fait mordre la poussière - et avaler les gaz d'échappement - à la nouvelle Camaro grâce à son glorieux V8 rugissant.